Laboratoires FORTEPHARMA

Fondés en 1999 à Monaco par le docteur Yann Rougier, expert et passionné de Nutrition-santé, nos laboratoires proposent des compléments alimentaires, des dispositifs médicaux ainsi que des médicaments à base de plantes.
Leader sur le segment de la Minceur depuis plus de 15 ans, nous sommes également reconnus grâce à nos gammes Beauté, Energie, Santé mais également Ruche, que nous avons baptisée Gamme Royale : Gelée royale bio, Dynamisant royal, Sérum royal, Propolis royale, Propolis spray, Pastilles royales miel & citron…. Ces compléments alimentaires sont composés des 4 ingrédients de la ruche, rigoureusement sélectionnés : sans conservateur, sans colorant, sans édulcorant de synthèse et sans arômes artificiels.
Leurs actifs sont d’origine naturelle et leurs formules élaborées selon la réglementation européenne.
Face au phénomène d’effondrement des colonies d'abeilles et conscient des vertus des produits de la ruche pour la santé et du rôle essentiel des abeilles sur la biodiversité et l’écosystème, nous avons choisi de nous engager et de soutenir l'initiative « Un Toit pour les abeilles ».
En outre, la recherche constante de la meilleure qualité pour nos produits est la préoccupation majeure des Laboratoires Forté Pharma. Ces derniers respectent notamment les réglementations européennes, sont certifiés* par Ecocert ou Certisys, et garantissent qualité et sécurité grâce à des contrôles scientifiques réalisés par des organismes indépendants. Un gage de qualité reconnaissable sur nos produits via le logo Sélection Royale que vous retrouverez sur l’ensemble de la gamme.
Retrouvez la gamme royale par ici : https://fr.fortepharma.com/collections/produits-de-la-ruche
*Gelée Royale Bio 2000mg, Gelée Royale Bio Junior, spray propolis Junior
Les ruches en images
L'apiculteur : Victor BRUMELOT

Je suis né dans un petit hameau des Cévennes, et malgré le fait que je me sois beaucoup déplacé pour mes études, c’est là que j’ai installé ma première ruche en 2009.
A la suite d’un BTS gestion et maîtrise de l’eau et un master en agroécologie, je rencontre Daniel, un retraité anciennement instituteur devenu apiculteur professionnel.
On échange énormément sur ce qui reste chez lui une passion tant technique qu’intellectuelle.
Il m’encourage à aller travailler avec des professionnels.
Lors d’un voyage en Tasmanie je trouve une entreprise qui m’embauche pour la saison.
De retour en France j’apprends l’élevage de reine avec Daniel que j’aide sur ses ruches.
On réalise aussi beaucoup d’essaims à la fois pour lui et pour moi. Un achat de quelques ruches me permet de faire mon élevage, et d’atteindre rapidement 50 ruches.
Le matériel a été cependant pour moi un investissement conséquent.
J’ai commencé avec de l’abeille noire et de la caucasienne.
Plus tard je fais une saison vers Annecy avec un autre apiculteur, puis à plusieurs reprises à Salon de Provence avec Silvère.
Depuis je fais presque tous les ans au moins une partie de la saison avec lui.
Mais l’éloignement géographique avec les Hautes Alpes, où je suis installé avec ma femme et ma petite fille, ne me permet pas d’envisager cette activité sur le long terme avec lui.
En parallèle d’une formation chez les compagnons en charpente je continue l’apiculture.
Je reste toujours sensibilisé aux problématiques environnementales.
Cependant, je me rends compte que continuer l’apiculture à cette échelle là (de 50 à 75 ruches) n’est pas viable économiquement,
et me permet difficilement de la conjuguer avec une autre pratique professionnelle.
Je suis pourtant dans une démarche de labellisation en Bio et je suis en questionnement sur une démarche d’installation à titre principale en lien avec la chambre d’agriculture.
Le parrainage peut me permettre de partager ma passion, de mieux faire connaître l’apiculture et ses aléas mais aussi de m’aider financièrement pour pérenniser mon projet.

nouvelles fraiches
Bonjour à vous tous, mes parrains, marraines.
Aujourd'hui, quelques nouvelles des abeilles.
La saison apicole touche à sa fin, mais le travail, lui, continue. J'ai terminé la récolte et l’extraction du miel.
Je prépare désormais l’hivernage, notamment en luttant contre le varroa, un parasite de l’abeille qui est également vecteur de maladies et de virus. Cette année, j’ai testé pour la première fois l’encagement des reines dans des cages Scalvini pendant 21 jours. Ce système permet de lutter efficacement contre le varroa, même s’il demande du temps et une bonne organisation, notamment parce qu’il nécessite de faire un élevage de reines pour en remplacer certaines. Il permet toutefois de faire d’une pierre deux coups : en changeant certaines reines et en offrant à la ruche un vrai nettoyage sanitaire. En effet, sans couvain, les varroas n’ont plus de « logement » où se développer.
C’est aussi la période de la mise en pot, de la recherche de débouchés pour le miel, de l’entretien des ruchers et du matériel, ainsi que des visites de colonies pour bien préparer l’hivernage, notamment via le partitionnement des ruches.
L’une des étapes importantes de cette préparation, c’est ce qu’on appelle le partitionnement des ruches. Pour faire simple, cela consiste à réduire l’espace intérieur de la ruche à ce dont les abeilles ont réellement besoin pour passer l’hiver dans de bonnes conditions.
Quand les températures baissent, les colonies rétrécissent : il y a moins d’abeilles, moins d’activité, et donc moins besoin de place. Si on laisse trop d’espace vide à l’intérieur de la ruche, les abeilles auront du mal à maintenir la chaleur, ce qui peut être dangereux pour elles. En ajoutant des cloisons isolantes, appelées partitions, on réduit le volume à chauffer, un peu comme si on fermait des pièces inutilisées dans une maison pour économiser le chauffage.
Cela aide aussi les abeilles à concentrer leurs réserves de miel autour de la grappe hivernale, ce qui limite les déplacements et les pertes d’énergie.
Bref, le partitionnement, c’est un petit geste simple, mais très utile pour aider les abeilles à passer l’hiver en meilleure forme.
C’est aussi la période de la mise en pot, de la recherche de débouchés pour le miel, de l’entretien des ruchers et du matériel, ainsi que des visites de colonies pour bien préparer l’hivernage, notamment via le partitionnement des ruches.
C’est également un bon moment pour chercher de nouveaux emplacements pour les ruches, chez des particuliers ou des agriculteurs, par exemple.
J’espère que vous allez bien, et merci encore pour votre soutien !
À bientôt,
Victor Brumelot
Le Rucher de Lus-la-Croix-Haute

Depuis janvier 2021 je suis en agriculture Biologique et j'utilise des ruches Langstroth qui ont la particularité d'être plus légères et facilement manipulables.
Une partie de mon cheptel se situe aujourd’hui à Veynes, une petite ville de la vallée du Buëch.
De façon générale la flore du Buëch est en partie liée à une activité d’élevage (prairies, haies).
Le pissenlit est une des premières réelles miellées après le saule.
Il y a beaucoup d’arbres fruitiers dans les hautes alpes, mais seul les vielles plantations extensives ou
les fruitiers sauvages permettent d’y installer des ruches sans craindre une intoxication aux pesticides.
Les prunelliers, aubépines et autres arbustes permettent également de maintenir les colonies.
Certaines zones sont bordées de marronniers et d’acacias.
Sur mon rucher de montagne après Lus La Croix Haute, au fond du vallon de la Jarjatte, les prairies semis permanentes et permanentes
font la joie des abeilles ainsi que les forêts de résineux. J’espère qu’elles apprécient la tranquillité et leur vue sur les montagnes du Dévoluy.
Que se passe-t-il ce mois-ci sur votre rucher ?
Souvenez-vous… il y a quelque temps, on vous parlait d’un projet un peu spécial, inspiré par la ruche, les abeilles et tout l’univers qui les entoure.
Aujourd’hui, le secret n’en est plus un car ce projet a enfin pris vie ! Nous sommes fiers de vous présenter notre calendrier de l’avent immersif 2025 – Les Alvéoles de la Ruche.
Un calendrier pas com...