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Les ruches en images

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L'apiculteur : Nicolas et Francesco DESFORGES

UTPLA apiculteur Nicolas et Francesco DESFORGES

Nicolas et Francesco sont deux amis apiculteurs du Nord de la Seine et Marne.
Ils ont décidé de travailler ensemble en exploitant chacun leurs ruches sur des ruchers partagés et en ayant investi dans du matériel commun pour la miellerie.
Tous les deux pratiquent une apiculture sédentaire et respectueuse de l’abeille.
Ils sont sensibilisés aux problèmes de la biodiversité.
Leur cheptel est de 70 ruches environ.
Ils travaillent avec des ruches Dadant 10 cadres.

Ils consacrent principalement leur activité à la production de miels.
Ils font également de l'élevage de reines pour créer des essaims destinés pour la cheptel et à la vente.  

Juillet: point saison

Chers parrains,

La saison apicole 2025 s’est achevée cette semaine avec la dernière récolte.
Cette année, nous n’avons pas transhumé sur le sarrasin : notre agriculteur partenaire n’en a malheureusement pas semé.

Le miel d’été, quant à lui, n’a pas répondu à nos attentes. Les fortes chaleurs et l’absence quasi totale de pluie depuis début mai (à peine 10 mm début juillet) ont considérablement limité les miellées estivales.

Malgré cela, la saison reste globalement satisfaisante, grâce aux belles récoltes de printemps et d’acacia.

Les prochaines semaines seront consacrées :

  • aux traitements contre le varroa,

  • à la surveillance active du frelon asiatique, déjà bien présent autour des ruches,

  • et à la poursuite de l’élevage de reines, pour préparer les essaims de la saison prochaine.

Un grand merci pour votre fidèle soutien tout au long de l’année.
À très bientôt pour d’autres nouvelles de nos abeilles !

Francesco et Nicolas

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Le rucher de la Violette

Le rucher de la Violette

Le rucher de la Violette est installé dans une zone de bois et de culture.

Les abeilles trouvent à proximité une nourriture saine et variée : aubépine, prunellier, acacia, tilleul, châtaignier, luzerne...

L'apiculteur : Frédéric JULIEN

UTPLA apiculteur Frédéric JULIEN

Apiculteur depuis une quinzaine d’années, j’ai débuté avec seulement quelques ruches au départ…
Suite à une reconversion il y a 3 ans, je me suis installé en professionnel avec un cheptel qui compte aujourd’hui une centaine de ruches.

Mes ruchers d’hivernage se trouvent au pied du Garlaban, ce qui me permet, selon les années de récolter du miel de Romarin, de Thym ou de Garrigue.
Je suis apiculteur transhumant sur les châtaigniers d’Ardèche, la lavande des Alpes de Hautes Provence ou en Montagne.
Depuis le début de mon activité, je m’efforce de respecter le cahier des charges de l’apiculture biologique. Depuis maintenant deux ans, je suis certifié apiculteur bio avec le label AB..
Au cours de l’année, toute la famille participe aussi aux diverses activités : mon fils pour les transhumances, ma femme pour les visites de rucher, ma fille pour l’extraction et le mise en pots. L’apiculture chez nous est un engagement familial !

En plus de la vente de miel, je me suis spécialisé dans l’élevage et la sélection de reines. Je propose à la vente des essaims, des reines ou cellules royales.
Voilà un petit aperçu, et si vous passez par chez nous, nous serons heureux de vous accueillir pour vous faire découvrir le rucher des JULIEN.

Report de portes ouvertes

Bonjour,

votre apiculteur Frédéric a du annuler la porte ouverte samedi 13 septembre en raison de la pluie qui s'est invitée.
Cette dernière est donc repoussée au samedi 20.

Voir le programme et s'inscrire


Il reste quelques places si vous souhaitez encore vous joindre à l'évènement.
Ces visites sont gratuites pour les parrains ;-)

 

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Le Rucher de Garlaban

Le Rucher de Garlaban

Le rucher est situé au pied du Garlaban, colline chère à Marcel Pagnol, Situé au-dessus du petit village de Lascours.
Il domine toute la vallée de l’Huveaune et le pays d’Aubagne.

Il est niché sur des restanques, « bancaou » en provençal.
Les abeilles partent butiner les romarins, thyms, sumacs et autres plantes aromatiques de la garrigue.
Ce qui permet de récolter un miel de printemps très clair au parfum de thym et romarin, puis un miel de garrigues beaucoup plus foncé et plus fort en bouche.
Elles apportent aussi un excellent pollen de cistes cotonneux.

Suivant les années, je peux aussi récolter du miellat de chêne.
Au mois de juin, le rucher transhume sur les champs de lavande, pour y revenir ensuite au début de l’hiver.

L'apiculteur : Jorris VAN BERGEN

UTPLA apiculteur Jorris VAN BERGEN

J’ai commencé l ’apiculture aux Pays-Bas, avec une dizaine de ruches dans le jardin de mes parents, et comme hobby à côté de mon emploi en tant que prof de français dans un collège.
En recherche d’un meilleur endroit pour les abeilles - et pour l’apiculteur surtout - je suis parti en voyage en 2014 et j’ai abouti dans les Alpes Maritimes,
où j’ai fait du wwoofing (Lien : www.wwoof.fr) chez un autre apiculteur du réseau Un Toit pour les Abeilles, Philippe Chavignon.
Ebloui par la beauté environnante et le bien-être des abeilles, j’ai fini par trouver ma vie dans cet endroit.
Je m’installerai apiculteur à titre exclusif en 2019 après avoir obtenu mon diplôme agricole avec spécialisation apicole.
Je conduis mes ruches en AB, label qui correspond à mes valeurs et à ma personnalité.
Je m’installerai à Saint-Léger, pittoresque village à 45 minutes du "Rucher des Gorges de Daluis" sur lequel est greffé mon exploitation, que j’ai baptisée le "Rucher Au Septième Miel".

L'apiculture provençale en crise

Chères marraines et chers parrains,

L’heure est grave pour l’apiculture provençale et malheureusement nous n’y faisons pas exception. Deux facteurs sont causes pour les difficultés que subit la filière. D’une part, les rendements à la ruche sont à la baisse depuis maintenant deux saisons. Nous sommes passés de 30 kilos à la ruche de moyenne pluriannuelle à 20 kilos en 2023 et seulement 16 kilos en 2024. La cause ? D’une part la situation météorologique défavorable qui reflète sans doute un changement climatique, d’autre part une lavandiculture en crise. En effet, le miel de lavande/lavandin représente bien 60 pourcent de la miellée en provence et donc 60 pourcent du chiffre d’affaires des apiculteurs de la région en dépend. Or, les champs de lavande se font de plus en plus rares en Provence à cause d’une situation économique insoutenable : les lavandiculteurs font aujourd’hui de la perte sur leur activité. Sans les lavandes, une grande partie des apiculteurs provençaux sont voués à disparaître, et avec eux les abeilles dont ils s’occupent.

Mais si seulement ces rendements étaient notre unique problème ! On pourrait se concentrer sur d’autres miellées d’été (sauvages) ou trouver des solutions plus créatives. Mais l’autre grande difficulté à laquelle nous faisons face, et ce surtout en agriculture biologique, c’est la problématique conjoncturelle. En effet, le cours du miel bio a chuté depuis maintenant plusieurs années. Le pouvoir d’achat du consommateur étant de plus en plus modeste, il se (re)dirige vers des produits de moindre coût et de moindre qualité, venant des quatre coins du monde et se vendant en grande surface sous l’appellation ‘miel’. Du coup, notre miel bio français de qualité en petit magasin bio ne se vend plus comme avant. Et cela se répercute sur le marché du gros. Apiculteurs producteurs de miel, nous vendons une bonne partie de notre production sur ce marché du gros, en fûts de 300 kg, aux grossistes qui nous payaient un prix correct avant la guerre en Ukraine. Aujourd’hui, ces grossistes ne nous achètent plus de miel, eux-mêmes en difficulté de l’écouler. Nous sommes donc obligés de vendre une grande partie de notre production à un prix beaucoup plus bas qu’avant – jusqu’à 40 pourcent de moins !

C’est cette lame à double tranchant – moins de rendement pour un moindre prix de revient – qui nous oblige à trouver des solutions pour rester en vie. La seule solution que j’ai trouvée jusqu’à présent c’est d’augmenter le cheptel en faisant beaucoup d’essaims. Cela palie au moins à la problématique du rendement. Mais ce n’est pas une solution durable, car plus de ruches égale plus de travail et donc un apiculteur qui se fatigue… De plus, la miellerie (dont nous sommes locataires) est beaucoup trop petite pour stocker tout le matériel associé à ces ruches.

C’est sur ce dernier point que je vais pouvoir finir avec une note positive donnant de l’espoir. Nous essayons d’acheter une propriété – maison et terrain – pour nous installer plus définitivement. C’est encore précaire et je ne manquerai pas de vous tenir au courant dans mes prochaines nouvelles mais en tous cas cela nous motive et nous donne de l’énergie de se projeter dans un avenir plus durable !

Chères marraines et chers parrains, merci pour votre soutien fidèle pendant ces temps difficiles pour notre métier. Nous vous souhaitons de très belles et chaleureuses fêtes de fin d’année et une bonne dégustation pour ceux d'entre vous qui ont récemment reçu notre colis de miels!

Jorris & Tiffanie

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Le Rucher au Septième Miel

Le Rucher au Septième Miel

Je suis passionné par le monde des abeilles et par l’apiculture, et j’ai aujourd’hui la formidable chance d’en faire mon métier.
Je possède actuellement une centaine de ruches, et le projet est d’atteindre les 300 ruches, ce qui me permettrait à moi et à ma famille de vivre de cette activité.
C’est un très beau métier, mais qui connaît beaucoup de défis au quotidien, non seulement liés à la fragilité de l’abeille dans la nature de moins en moins sauvage,
mais aussi aux charges de travail très concentrées sur la saison apicole.
J’élève moi-même les reines et les essaims nécessaires pour l’exploitation, ce qui est un facteur clef dans la réussite en bio.
C’est ce qui me permet d’avoir des reines de qualité, l’offre sur le marché étant très limitée.
Voilà tout est dit, si ce n’est que j’ai besoin de vous pour aboutir à ce rêve ambitieux mêlant préservation de la nature et protection de l’abeille.

Que se passe-t-il ce mois-ci sur votre rucher ?

Chers parrains, chères marraines,

Avant de démarrer, nous tenions à vous souhaiter une belle et heureuse rentrée en ce début de mois de septembre !
À vos enfants qui ont retrouvé les bancs de l’école, à vous qui avez repris le chemin du travail, et à vous, parrains et marraines, toujours aussi jeunes mais un tout petit peu plus âgés, qui nous suivez et nous soutenez depuis tant d’années.
Un...




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