Starmat

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Starmat est un groupement de négoces en matériaux de construction répartis sur toute la France qui s’adressent aux professionnels du bâtiment ainsi qu’aux particuliers. Retrouvez sur notre site www.starmat.fr tous les points de vente de France, Corse et DOM-TOM pouvant répondre à toutes vos demandes. Vous pouvez nous adresser également vos demandes sur le site Starmat à la rubrique contact.


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Le Conseil d’Administration de Starmat, conscient des enjeux sociétaux et environnementaux qui l‘entoure, souhaite à travers le développement durable participer à la biodiversité pour les générations futures en parrainant des apiculteurs qui œuvrent pour la sauvegarde des abeilles.

Les ruches en images

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L'apiculteur : Brahim BEN TALEB

UTPLA apiculteur Brahim BEN TALEB

Mon premier rendez-vous avec les abeilles était à l’âge de deux ans.

Deux essaims venaient de se poser en plein milieu de notre maison au Maroc.
Ma grand-mère aveugle a demandé à une apicultrice qui tournait à 150 ruches en osier de les enlever par peur de piqûres.

Le deuxième rendez-vous en 2016 à la ville de Rambouillet en France.

Une dame a installé une ruche chez nous au centre équestre et elle venait la visiter régulièrement et je commence à m’intéresser aux abeilles puis j’ai commencé par 7 ruches vers juillet 2016.

Avec beaucoup de lecture et des vidéos je me suis inscrit au rucher école SIARP, puis à l'abeille eurélienne qui m'a permis de bénéficier de la formation TSA avec gds centre et l’équipe de la FNOSAD.

Une formation insémination également avec APINOV.

Saison 2023 suite

Bonjour tout le monde.

L'activité de la ruche est au ralenti depuis presque un mois.
Et probablement la majorité des ruches sont hors couvain en ce moment, et c'est le bon moment pour le traitement hivernal qui devient plus que nécessaire.
Dans ce cas les produits AMM (Autorisation de mise sur le marché) à base d'acide oxalique sont d'une efficacité tres importante.
En ce qui me concerne je vais faire une sublimation à apibioxal.
Pour que les colonies soient en bon état sanitaire il faut absolument démarrer la saison prochaine avec un taux d'acariens le plus bas possible.
 
Bonnes fêtes de fin d'année à tous.

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Rucher du Château de Rambouillet

Rucher du Château de Rambouillet

Installées dans le parc du château géré par le domaine de Chambord, C’est un parc de 980 hectares hectares en pleine forêt de Rambouillet. On y trouve notamment beaucoup de tilleuls mais aussi des d’acacias et châtaigniers.

L'apiculteur : Wilfrid BOUCHER

UTPLA apiculteur Wilfrid BOUCHER

Je m'appelle Wilfrid, je suis origiaire de la Réunion et apiculteur en Haute Normandie dans l'Eure.
J'ai trouvé le goût à l’apiculture depuis mon enfance grâce à mon grand père qui possédait plusieurs ruches.
En 2009, j'ai commencé par prendre des cours d'apiculture dans un rucher école du syndicat apicole de Haute Normandie.
Puis en 2010, je me suis remis à l'apiculture, avec une ruche fabriquée par mes soins et un essaim récupéré dans un arbre.
Peu de temps après, j'ai développé mon rucher en récupérant les essaims de mes premières ruches, tout en apprenant à les gérer.
Depuis, pris de passion, je gère moi-même mes propres ruches qui sont placées au Marais Vernier.

J'ai rejoint Un Toit Pour Les Abeilles en mai 2014, puisque je veux vraiment lutter contre la disparition des abeilles dans le monde, disparition qui ne cesse de croitre.
En 2015, j'ai obtenu mon BP Responsable Exploitation Agricole en Apiculture.
Depuis peu, je suis devenu apiculteur professionnel et je m'occupe de quelques 200 colonies.

Des nouvelles

Bonjour chers parrains,

j'espère que vous vous portez tous bien.

Après un mois d'octobre anormalement chaud, la pression du frelon asiatique a été très forte.

En septembre, après une chute au rucher, je me suis fracturé la cheville. Cela nous a fait prendre du retard dans la surveillance des ruchers et a donné plus de travail à Emilie.

Au moment où je vous écris, tout est rentré dans l'ordre. Ma cheville s'est consolidée et la surveillance des ruches a repris son cours.

Avec les jours de plus en plus courts, le froid s'installe et les abeilles se mettent en grappe pour se maintenir au chaud et pour garder la reine à l'abri.

Les visites apicoles sont rapides pour ne pas déranger les colonies. Le temps est à l'entretien du matériel et à la préparation de la saison prochaine.

Encore merci à vous tous pour votre soutien. Nous vous souhaitons de belles fêtes de fin d'année.

A très bientôt.

 

Emilie & Wilfrid

Apiwilly

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Le rucher de Marais-Vernier

Le rucher de Marais-Vernier

Le Marais Vernier est vaste zone humide de 4500 hectares avec ses roselières, ses prairies humides et sa tourbière de 2000 hectares (la plus grande tourbière de France).
Classé Natura 2000, la richesse du Marais Vernier tient à la fois de sa grande diversité de milieux et de la qualité de ceux-ci.

Les ruches installées dans cet environnement pourront butiner arbres fruitiers, nectars de la forêt et des prairies.
Le miel récolté sera un miel de toutes fleurs avec des notes de Châtaignier.
Wilfrid travaille avec des ruches dites DADAN et des abeilles noires (abeilles de pays).

L'apiculteur : Rémi FELICIANNE

UTPLA apiculteur Rémi FELICIANNE

J’ai été apiculteur amateur pendant 10 ans, puis je suis passé professionnel en 2017.
J'ai une formation d'éducateur environnement. Je suis également diplômé de l'école d'apiculture de Vesoul, et suis formé à la production de gelée royale.
J'ai effectué mon stage chez Philippe KINDTS, dans le Gers, lui-même déjà apiculteur du réseau Un toit pour les abeilles.
Il m’a beaucoup aidé dans mon orientation vers l’apiculture professionnelle.

J'ai commencé avec 2 ruches au fond de mon jardin grâce à un ami qui m'a montré les premiers gestes en apiculture.
J'ai ensuite augmenté mon cheptel très rapidement, et je possède aujourd’hui une centaine de ruches notamment de race Buckfast et de l'abeille noire.

Je suis en conversion bio et dès 2019, ma production sera labellisée !
J'ai travaillé pendant huit ans pour une enseigne BIO. C’est pour cela que j'ai une sensibilité particulière pour l'agriculture biologique, et que naturellement mes ruches sont élevées selon ce mode.
J’ai souhaité tout naturellement rejoindre Un toit pour les abeilles, parce que j’ai envie de vous partager ma passion et vous faire découvrir notre univers, tout en protégeant nos précieuses abeilles.
J’ai même transmis le virus des abeilles à mon beau-frère, Frédéric, qui m’épaule aujourd’hui dans mon activité !

Saison 2023

 Nous avons débuté la saison avec un taux de perte hivernale assez faible, 15 % environ. L'objectif étant d'approcher les 5 % qui représente le pourcentage de mort naturelle des colonies.

Un début de saison plutôt encourageant...

Les différents Miels

Colza :

Nous avons commencé la saison par le miel de Colza à proximité de l'exploitation. Il y a autour de chez nous, des champs de Colza semences (pour la graine) ou conso (pour l'huile) qui nous permettent de produire le premier miel de printemps.

Acacia :

Cette année les acacias nous ont offert un peu de leur nectar. Cela nous a permis de produire une petite quantité de ce miel doux et très recherché par les consommateurs

Châtaignier : 

Début juin sonne le moment de la transhumance vers le châtaignier en Dordogne. C'est l'un de nos plus gros déplacements, environ 1h 30 de route pour se rendre sur place.

Tilleul : 

Cette année et pour la première fois nous avons trouvé un emplacement pour le Tilleul. Nous y avons donc porté une douzaine de ruches pour faire un test. Le test ayant été concluant, nous pouvons proposer à nos clients un miel au goût mentholé très original.

Miel de Carotte : 

Nous avons lors d'un contrat de pollinisation pour la carotte semences, apporté une trentaine de ruches. Les inflorescences de carottes ont permis la production d'un miel orangé au goût végétal.

Miel d'été :

C'est notre dernière miellée. Elle est bien souvent abondante et nous permet de proposer toute l'année ce miel très jaune et qui cristallise durement. C'est le miel que nous vendons les plus, notre best seller...

 

La pollinisation : 

Cette année encore nous avons eu des contrats de pollinisation pour le colza semence environs 120 colonies. Ensuite nous avons porté une trentaines de colonies pour la pollinisation de la carotte.

Et cette année une nouveauté pour la pollinisation du chicon, une petite fleur violette qui fleuri principalement le matin.

Ces contrats de pollinisation sont importants pour les agriculteurs, afin d'augmenter la quantité et la qualité de la graine. C’est aussi important pour nous apiculteurs, car ce service nous apporte une rémunération complémentaire.

La commercialisation : 

Nous effectuons 90 % de notre commercialisation en vente directe sur les marchés de plein vent de notre région :

les vendredis à Lectoure (32) et Aiguillon (47)

les samedis matin à Nérac (47) et Astaffort (47)

La saison n'est pas encore terminée.

Il nous reste à faire les traitements anti Varroas (parasite de l'abeille), préparer nos ruches pour l'hivernage et bien sûr préparer le miel pour nos parrains d'Un Toit Pour Les Abeilles.

Merci pour votre soutien !

Frédéric et Rémi

  

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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Les ruchers de Fely

Les ruchers de Fely

Le rucher se situe à Astaffort, un petit village du Lot et Garonne pas tellement connu pour son miel, pourtant très savoureux, mais surtout pour être le village natal de Francis Cabrel, un enfant du village qui habite toujours sur la commune.
Nous avons la chance, Frédéric et moi, d’adoucir la voix du chanteur grâce à notre miel justement…
La région Astaffortaise est une région de polycultures élevages. Le paysage est essentiellement agricole et vallonné, un mélange de cultures et de prairies. Quelques bois matérialisent le haut des collines.
Aujourd'hui j'ai à peu près une centaine de ruches dites « Dadant », transhumantes et sédentaires.
Je transhume essentiellement pour l'acacia en bordure des Landes de Gascogne, et pour le châtaignier en Dordogne.
Nous produisons ainsi différentes variétés de miel : Fleurs de Printemps, Fleurs d’Eté, Acacia ou encore Châtaignier…
Nous produisons aussi du pollen, de la propolis, du pain d’épices, différentes préparations à base de miel.

L'apiculteur : Jorris VAN BERGEN

UTPLA apiculteur Jorris VAN BERGEN

J’ai commencé l ’apiculture aux Pays-Bas, avec une dizaine de ruches dans le jardin de mes parents, et comme hobby à côté de mon emploi en tant que prof de français dans un collège.
En recherche d’un meilleur endroit pour les abeilles - et pour l’apiculteur surtout - je suis parti en voyage en 2014 et j’ai abouti dans les Alpes Maritimes,
où j’ai fait du wwoofing (Lien : www.wwoof.fr) chez un autre apiculteur du réseau Un Toit pour les Abeilles, Philippe Chavignon.
Ebloui par la beauté environnante et le bien-être des abeilles, j’ai fini par trouver ma vie dans cet endroit.
Je m’installerai apiculteur à titre exclusif en 2019 après avoir obtenu mon diplôme agricole avec spécialisation apicole.
Je conduis mes ruches en AB, label qui correspond à mes valeurs et à ma personnalité.
Je m’installerai à Saint-Léger, pittoresque village à 45 minutes du "Rucher des Gorges de Daluis" sur lequel est greffé mon exploitation, que j’ai baptisée le "Rucher Au Septième Miel".

Une saison difficile

Chères marraines, chers parrains,

Un petit mot pour vous raconter l’état de mes abeilles et l’avancement de ma saison.

Ma saison a été difficile, sans doute la plus difficile depuis mon installation. Une sortie d’hiver ok mais avec beaucoup de besoin de nourrir les ruches. Ensuite des récoltes qui n’atteignent même pas le quart de ce que l’on fait d’habitude au printemps, puis les pluies très très attendues en fin de printemps.

Après ces pluies abondantes, la miellée sur les lavandes allait être magnifique -  on y croyait tous. J’ai même mobilisé ma trésorerie pour investir dans des hausses car je pensais en manquer. La déception n’aurait guère pu être plus grande : le sirocco (vent sec du sud) s’est levé vers la mi-août mettant fin à toute miellée. Et ce qui est pire : des chenilles ont dévoré les plants de lavande. Les apiculteurs provençaux peinent cette année, mais pour les lavandiculteurs c’est la catastrophe totale et il y en a pas mal qui jettent l’éponge. Aujourd’hui, le plateau de Valensole constitue des champs de lavandes arrachées à perte de vue. L’apiculture provençale est en danger : la filière de cette région à climat souvent sec est très dépendante de la miellée généreuse de lavande sur le plateau de Valensole. Pour maintes apiculteurs ce miel constitue la moitié, voire plus, de leur chiffre d’affaires et c’est mon cas. L’avenir est donc incertain et nous vivrons dorénavant de saison en saison.

Aujourd’hui, mes colonies sont plus faibles que d’habitude à cette époque. En cause est un manque de pollen diversifié, suite à une canicule prolongée qui a beaucoup fait souffrir la végétation. Nous avons perdu une soixantaine de ruches cet été – il est vrai que je n’avais plus l’habitude de ce genre de perte. De plus, je suis assez pessimiste pour l’avenir proche même si je suis content des pluies récentes très attendues. Je crains juste qu’elles aient été trop tardives. Les abeilles ont besoin d’une période de forte dynamique entre septembre et octobre pour constituer les abeilles d’hiver : ces abeilles vivent beaucoup plus longtemps – passent l’hiver – et ont une constitution physique différente que les abeilles d’été qui ne vivent qu’un mois. Les abeilles d’hiver ont besoin de recevoir une nourriture de grande qualité au stade larvaire, mais en manque de pollen les nourrices ne peuvent pas offrir cette nourriture extrêmement riche en acides aminées et autres protéines. Les abeilles d’hiver naissent donc faibles et mourront précocement en sortie d’hiver. Les colonies peineront au mois de février/mars et je le sais déjà. Il n’y a rien que je puisse faire, car étant en Agriculture Biologique, le nourrissage de protéines est proscrit. Je comprends bien pourquoi, mais parfois on aimerait juste donner tout ce qu’on peut à ces abeilles et c’est un peu frustrant que ce ne soit pas autorisé.

Il y a aussi de bonnes nouvelles : j’ai occupé de nouveaux emplacements dont certains ont fait de jolies surprises. Un emplacement en particulier, à 1400 mètres d’altitude, a fourni aux ruches présentes une belle miellée de lavande sauvage. Malheureusement, ces lieux sont assez rares et la miellée de lavande fine est très capricieuse.

Une autre bonne nouvelle c’est que j’ai réussi à faire un beau progrès sur le potentiel génétique de mes colonies. J’ai pu sélectionner des souches importées dans mon exploitation aux qualités rustiques et j’observe vraiment leur meilleure adaptabilité face notamment aux aléas climatiques et aux creux de miellées prolongés. Il est extrêmement important pour la survie de l’abeille d’être à la recherche d’une génétique pouvant faire face aux changements climatiques et je pense être sur la bonne voie. Le changement climatique reste à mon avis le défi le plus dur de l’apiculture de demain.

A bientôt, chers parrains, et merci beaucoup pour votre soutien qui semble être plus pertinent que jamais.

Jorris

 

 

 

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Le Rucher au Septième Miel

Le Rucher au Septième Miel

Je suis passionné par le monde des abeilles et par l’apiculture, et j’ai aujourd’hui la formidable chance d’en faire mon métier.
Je possède actuellement une centaine de ruches, et le projet est d’atteindre les 300 ruches, ce qui me permettrait à moi et à ma famille de vivre de cette activité.
C’est un très beau métier, mais qui connaît beaucoup de défis au quotidien, non seulement liés à la fragilité de l’abeille dans la nature de moins en moins sauvage,
mais aussi aux charges de travail très concentrés sur la saison apicole.
J’élève moi-même les reines et les essaims nécessaires pour l’exploitation, ce qui est un facteur clef dans la réussite en bio.
C’est ce qui me permet d’avoir des reines de qualité, l’offre sur le marché étant très limitée.
Voilà tout est dit, si ce n’est que j’ai besoin de vous pour aboutir à ce rêve ambitieux mêlant préservation de la nature et protection de l’abeille.

Que se passe-t-il ce mois-ci sur votre rucher ?

Chères Marraines, chers Parrains,
Permettre à des élèves de dorloter des abeilles qui ne piquent pas ?
C’est la super initiative lancée par nos collègues des Dorloteurs d’Abeilles.



Dès le lancement du projet, ils ont échangé avec de nombreux enseignants, ultra-motivés à l’idée de lancer un atelier autour des abeilles solitaires avec leurs élèves.
Mais ils ont vite &eacu...




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