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Starmat est un groupement de négoces en matériaux de construction répartis sur toute la France qui s’adressent aux professionnels du bâtiment ainsi qu’aux particuliers. Retrouvez sur notre site www.starmat.fr tous les points de vente de France, Corse et DOM-TOM pouvant répondre à toutes vos demandes. Vous pouvez nous adresser également vos demandes sur le site Starmat à la rubrique contact.


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Le Conseil d’Administration de Starmat, conscient des enjeux sociétaux et environnementaux qui l‘entoure, souhaite à travers le développement durable participer à la biodiversité pour les générations futures en parrainant des apiculteurs qui œuvrent pour la sauvegarde des abeilles.

Les ruches en images

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L'apiculteur : Stéphane JOURDAIN

UTPLA apiculteur Stéphane JOURDAIN

Stéphane a débuté il y a 4 ans, suite à un arbre mort, un noyer creux, qui s'est écrasé, dans la cour de son atelier, et qui logeait un bel essaim que personne n'avait vu à 7 mètres du sol.
Les abeilles l'ont toujours attiré depuis enfant, et cette occasion l'a poussé à franchir le pas.

Il dispose maintenant, après 4 ans de travail, d'une vingtaine de ruchers, soit des ruchers d’élevage d'abeilles, soit des ruchers de production, ces derniers migrant en fonction des floraisons.
Il récolte 7 miels différents en fonction des saisons et des emplacements des ruches dans un rayon de 40 km autour de son atelier, exclusivement sur le vexin.

Stéphane est inscrit à titre professionnel depuis quelques mois, comme agriculteur, branche apiculture.
Il a tout appris par lui-même, en lisant beaucoup et en faisant beaucoup de bêtises; il a la chance d'apprendre vite et d'être autodidacte.

Des nouvelles de vos abeilles

Chères marraines, chers parrains,

Je voulais commercer cette lettre par vous présenter mes plus sincères excuses.
Je sais que certains d’entre vous ont pu être frustrés de ne pas avoir de mes nouvelles.
Je me devais ce petit écrit pour vous expliquer un peu la situation inédite que j’ai traversé.
En préambule je vous réitère mes remerciements pour votre soutien inébranlable et qui m’a permis de garder le cap malgré les difficultés.

Loin de moi l’envie de me dédouaner, mais cette année aura été particulièrement rude :
Saisonnalité apicole en dent de scie, pour ne pas dire totalement déréglée.
Les colonies ont souffert et j’ai dû intervenir tout au long de la saison pour ne pas les perdre.
Bref j'ai passé mon temps aux ruches. Les journées ont été très longues et difficiles.

La météo a joué avec les abeilles et les floraisons.

Bonnant malant, j’ai pu récolter et vos colis sont prêts. Toutes mes excuses encore une fois pour la livraison tardive cette année.
J’espère que vous comprendrez les aléas dont j’ai souffert cette saison, comme l’ensemble de la filière ou presque.
Vos colis (pour les marraines et parrains concernés) partiront début de semaine prochaine.
Vous recevrez un sms et/ou mail du transporteur pour vous prévenir de la livraison.
Si toutefois vous avez un empêchement (vacances) et que vous devez reporter la livraison à plus tard,
pourriez-vous prévenir l’équipe d’Un Toit Pour Les Abeilles sur parrains@untoitpourlesabeilles.fr

Merci encore pour tout : votre compréhension, votre soutien, votre gentillesse.

Je vous souhaite par avance une bonne réception de vos petits colis des abeilles et de bonnes vacances.
A bientôt,
Stéphane

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Aux ruchers du Vexin

Aux ruchers du Vexin

L'atelier de l'exploitation naissante est situé à Enfer (95420) ca ne s'invente pas; quoi de mieux pour faire du miel d'Enfer?
Printemps crémeux, tilleul crémeux, acacia, toute fleurs d'été et forêt forte tendance châtaignier... un autre miel de forêt sans châtaigner très doux et parfumé mais aussi un spécial de fleurs de falaises calcicoles riches en huiles essentielles, ramassé en septembre (coteaux de seine).

En 2016, Stéphane a 220 colonies. 80 étant une base pour l'élevage, le reste des colonies de production.
Comme tous les ans, un certain nombre sont défectueuses et nécessitent d'être remplacées.

A terme d'ici 3 ans, Stéphane désire atteindre un nombre de ruches de production de miel de 350 ruches et de 100 ruches souches de production d'essaims.
Il pense aussi faire des transformations à partir de ses miels comme du pain d'épices au feu de bois, nougats et autres bonbons, et spiritueux. Il a par ailleurs suivi des formations en pâtisserie et en confiseries, sur bases miel en 2015.

L'apiculteur : Wilfrid BOUCHER

UTPLA apiculteur Wilfrid BOUCHER

Je m'appelle Wilfrid, je suis origiaire de la Réunion et apiculteur en Haute Normandie dans l'Eure.
J'ai trouvé le goût à l’apiculture depuis mon enfance grâce à mon grand père qui possédait plusieurs ruches.
En 2009, j'ai commencé par prendre des cours d'apiculture dans un rucher école du syndicat apicole de Haute Normandie.
Puis en 2010, je me suis remis à l'apiculture, avec une ruche fabriquée par mes soins et un essaim récupéré dans un arbre.
Peu de temps après, j'ai développé mon rucher en récupérant les essaims de mes premières ruches, tout en apprenant à les gérer.
Depuis, pris de passion, je gère moi-même mes propres ruches qui sont placées au Marais Vernier.

J'ai rejoint Un Toit Pour Les Abeilles en mai 2014, puisque je veux vraiment lutter contre la disparition des abeilles dans le monde, disparition qui ne cesse de croitre.
En 2015, j'ai obtenu mon BP Responsable Exploitation Agricole en Apiculture.
Depuis peu, je suis devenu apiculteur professionnel et je m'occupe de quelques 200 colonies.

L'hiver à la ruche

Bonjour à tous,

Meilleurs vœux pour cette année 2023, à vous et à vos proches.

En ce moment, les abeilles forment une grappe autour de la reine, dans la ruche. Elles se réchauffent donc entre elles. Elles se nourrissent du miel et du pollen qu'elles ont stockés durant 2022.

Nous profitons du calme de la saison, pour préparer le matériel dont nous aurons besoin au printemps. Nous faisons le tour des ruchers pour vérifier que tout est en ordre, et pour contrôler les réserves des abeilles.

Nous avons hâte d'être au printemps pour voir comment se portent nos précieuses abeilles...

A très vite,

Emilie et Wilfrid B

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Le rucher de Marais-Vernier

Le rucher de Marais-Vernier

Le Marais Vernier est vaste zone humide de 4500 hectares avec ses roselières, ses prairies humides et sa tourbière de 2000 hectares (la plus grande tourbière de France).
Classé Natura 2000, la richesse du Marais Vernier tient à la fois de sa grande diversité de milieux et de la qualité de ceux-ci.

Les ruches installées dans cet environnement pourront butiner arbres fruitiers, nectars de la forêt et des prairies.
Le miel récolté sera un miel de toutes fleurs avec des notes de Châtaignier.
Wilfrid travaille avec des ruches dites DADAN et des abeilles noires (abeilles de pays).

L'apiculteur : Rémi FELICIANNE

UTPLA apiculteur Rémi FELICIANNE

J’ai été apiculteur amateur pendant 10 ans, puis je suis passé professionnel en 2017.
J'ai une formation d'éducateur environnement. Je suis également diplômé de l'école d'apiculture de Vesoul, et suis formé à la production de gelée royale.
J'ai effectué mon stage chez Philippe KINDTS, dans le Gers, lui-même déjà apiculteur du réseau Un toit pour les abeilles.
Il m’a beaucoup aidé dans mon orientation vers l’apiculture professionnelle.

J'ai commencé avec 2 ruches au fond de mon jardin grâce à un ami qui m'a montré les premiers gestes en apiculture.
J'ai ensuite augmenté mon cheptel très rapidement, et je possède aujourd’hui une centaine de ruches notamment de race Buckfast et de l'abeille noire.

Je suis en conversion bio et dès 2019, ma production sera labellisée !
J'ai travaillé pendant huit ans pour une enseigne BIO. C’est pour cela que j'ai une sensibilité particulière pour l'agriculture biologique, et que naturellement mes ruches sont élevées selon ce mode.
J’ai souhaité tout naturellement rejoindre Un toit pour les abeilles, parce que j’ai envie de vous partager ma passion et vous faire découvrir notre univers, tout en protégeant nos précieuses abeilles.
J’ai même transmis le virus des abeilles à mon beau-frère, Frédéric, qui m’épaule aujourd’hui dans mon activité !

Le bilan est plutôt positif

Un petit bilan de la saison qui vient de s'écouler.

Pour nous le bilan est plutôt positif, même si le début de saison est un peu décevant.

Le miel de Colza a été présent dans une moindre mesure, quand au miel miel d'acacia, il a été carrément aux abonnés absents... Il nous a fallu attendre le miel de châtaignier pour avoir une récolte digne de ce nom.

Ce qui nous sauve une fois de plus c'est le miel d'été qui fait 80 % de notre volume. Nous avons pu profiter des dernières pluies de fin juin début juillet, qui ont gorgé les fleurs de nectar. Nous avons récolté avec quinze jours d'avance par rapport à l'année dernière.

Nous venons de finir la mise en hivernage, même si à l'heure où j’écris ces quelques lignes, il fait encore presque 30 degrés.

Nous avons également fait le traitement antivarroa à base d'acide oxalyque, un traitement autorisé en agriculture biologique. Nous avons aussi réduit les entrées des ruches pour éviter au mulots, souris, frelons... de rentrer à l’intérieur de la ruche, et provoquer des dégâts.

Nous allons bientôt procéder à un comptage varroa sur 40 ruches par prélèvement d'abeilles afin de connaître le taux d'infestation de nos ruches.

Les prélèvements sont ainsi envoyé à l 'ADANA qui est une association qui aide les apiculteur dans leur suivi technique. Cette association effectue également des suivis scientifiques pour aider au développement de la filière apicole.

Nous continuons bien évidement la commercialisation sur les marchés de plein vent, et les marchés de noël ne vont pas tarder non plus.

Nous espérons un bon passage de l'hiver pour nos ruches qui est une des période critique pour les abeilles.

A très vite

Rémi et Frédéric

Les ruchers de Fély

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Les ruchers de Fely

Les ruchers de Fely

Le rucher se situe à Astaffort, un petit village du Lot et Garonne pas tellement connu pour son miel, pourtant très savoureux, mais surtout pour être le village natal de Francis Cabrel, un enfant du village qui habite toujours sur la commune.
Nous avons la chance, Frédéric et moi, d’adoucir la voix du chanteur grâce à notre miel justement…
La région Astaffortaise est une région de polycultures élevages. Le paysage est essentiellement agricole et vallonné, un mélange de cultures et de prairies. Quelques bois matérialisent le haut des collines.
Aujourd'hui j'ai à peu près une centaine de ruches dites « Dadant », transhumantes et sédentaires.
Je transhume essentiellement pour l'acacia en bordure des Landes de Gascogne, et pour le châtaignier en Dordogne.
Nous produisons ainsi différentes variétés de miel : Fleurs de Printemps, Fleurs d’Eté, Acacia ou encore Châtaignier…
Nous produisons aussi du pollen, de la propolis, du pain d’épices, différentes préparations à base de miel.

L'apiculteur : Jorris VAN BERGEN

UTPLA apiculteur Jorris VAN BERGEN

J’ai commencé l ’apiculture aux Pays-Bas, avec une dizaine de ruches dans le jardin de mes parents, et comme hobby à côté de mon emploi en tant que prof de français dans un collège.
En recherche d’un meilleur endroit pour les abeilles - et pour l’apiculteur surtout - je suis parti en voyage en 2014 et j’ai abouti dans les Alpes Maritimes,
où j’ai fait du wwoofing (Lien : www.wwoof.fr) chez un autre apiculteur du réseau Un Toit pour les Abeilles, Philippe Chavignon.
Ebloui par la beauté environnante et le bien-être des abeilles, j’ai fini par trouver ma vie dans cet endroit.
Je m’installerai apiculteur à titre exclusif en 2019 après avoir obtenu mon diplôme agricole avec spécialisation apicole.
Je conduis mes ruches en AB, label qui correspond à mes valeurs et à ma personnalité.
Je m’installerai à Saint-Léger, pittoresque village à 45 minutes du "Rucher des Gorges de Daluis" sur lequel est greffé mon exploitation, que j’ai baptisée le "Rucher Au Septième Miel".

Retour sur 2022 et belle année 2023 à vous

Chères marraines, chers parrains,

Tout d’abord je vous souhaite tous nos voeux pour cette nouvelle année depuis notre petite ferme apicole. Que la santé, la prospérité et le bonheur soient avec vous!

En ce moment, les ruches sont peu ou prou bouleversées par les aléas météorologiques, mais je pense qu’elles commencent à avoir l’habitude, elles comme moi, de cette météo capricieuse qui se poursuit saison après saison.
Nous sommes passés d’un hiver glacial en novembre/début décembre à une douceur exceptionnelle autour des fêtes et maintenant on entre à nouveau dans une période froide.

Les colonies ont presque senti le printemps s’approcher pendant la douceur - elles ont même réussi à trouver du pollen ! Et qui dit pollen dit couvain – avec l’entrée de protéines les reines se mettent à pondre prévoyant le printemps. C’est en élevant le couvain que la colonie utilise beaucoup de ses ressources car ce couvain doit être nourri et – surtout – gardé au chaud.
Les colonies qui élevent beaucoup de couvain consomment donc beaucoup de leur miel stocké à l’automne et c’est pour cela que la période de froid annoncée est une mauvaise nouvelle pour les abeilles.
Il va falloir suivre leurs stocks de très près et éventuellement nourrir en cas de besoin immédiat, même si un nourrissement hivernal est compliqué.

En rétrospective, la saison 2022 a été marqué par l’embauche d’une saisonnière qui a sacrément allégé notre travail sur la ferme.


Et ce heureusement, car après la naissance de mon fils Anthéor en novembre 2021, nous avons deux petits enfants qui, aussi adorables qu’ils puissent être, nous occupent sacrément!

Un des désavantages de vivre dans une campagne aussi isolée est que nous sommes un peu loin de tout – la première crèche est à 30 minutes de route.
Nous n’avons pas décidé de faire cet aller-retour deux fois par jour et nous gardons donc nos enfants à la maison.
Mais s’occuper de deux enfants et de plusieurs centaines de colonies d’abeilles en même temps est une mission quasi impossible en pleine saison d’apiculture!
Heureusement que nous avons eu l’aide de nos parents qui sont venus à notre secours pour s’occuper des enfants et que nous avons donc pu embaucher Gaëlle, apicultrice diplomée (d’un Brevet Professionnel apicole) et très motivée.
Nous espérons la réussite de son projet d’installation en apiculture et nous l’avons aidé à constituer son premier cheptel de 50 petites colonies dans la foulée de la saison.

Gaëlle nous a sacrément aidé en miellerie, mais aussi sur les ruches et surtout en ce qui concerne l’élevage de reines.
Elle s’est vraiment appliquée dans ce domaine qui demande d’être précis et pointu.
Il s’agit de prélever des larves de quelques millimètres dans des colonies sélectionnées pour leurs qualités génétiques et de les faire élever comme futures reines par des colonies en besoin d’une reine (orphelines).
C’est un travail indispensable si l’on veut assurer la continuité de l’exploitation.
On commence ce travail en mars ou avril mais la plupart des reines ne produisent du miel que l’année d’après. Ainsi, la saison 2023 a donc commencé en mars 2022!

 

Si nous avons donc bien réussi l’élevage de reines et de nouveaux essaims, la saison n’a pas été bonne niveau récoltes, car marquée par une sécheresse qui a duré pratiquement depuis l’hiver.
La pluie n’a simplement pas voulu arriver en quantité suffisante.
Heureusement que nos abeilles ont pu profiter d’une petite fenêtre de miellée au printemps ici en montagne, car la récolte sur le littoral a été nulle et l’été a été très compliqué avec un rendement sur la miellée de lavande qui a été le plus bas depuis mon installation.

 

En même temps, notre exploitation comme la plupart des exploitations agricoles en France, est touchée par la situation économique actuelle.
Les prix de nos fournitures ont augmenté de manière assez impressionnante.
Ainsi, les pots en verre ont doublé, le bois pour les ruches a pris 50%, et nous savons tous ce qui est arrivé au prix du gasoil.
Si cette situation s’était présentée au début de mon installation, je ne sais pas si j’avais trouvé le courage pour continuer ou même pour démarrer.
Je me sens reconnaissant de la chance que j’ai eue de pouvoir me mettre en place avant que les situations mondiales prennent une tournure aussi amère – chance que n’aura pas ma saisonnière pour son installation à elle.

 

Malgré les coûts augmentés de mes fournitures, j’ai réussi jusqu’à présent à ne pas augmenter le prix de vente de mon miel, et j’en suis assez fier. Je trouve important que mon miel, qui est bio et de la plus grande qualité, reste accessible aux gens même modestes. Je suis agriculteur-éleveur d’abeilles, producteur de miel et je n’ai pas envie de ne travailler que pour les riches de la côte d’azur.
Il est évident que mon produit ait un coût, et qu’il soit impossible de faire la concurrence avec le ‘miel’ étranger que l’on trouve en grande surface, mais tant que je peux me le permettre je n’augmenterai pas mes prix.

Il faut dire que cela est rendu possible en partie grâce à votre soutien généreux dont je vous suis très reconnaissant.
Je suis touché par cette volonté de votre part de vouloir soutenir l’activité apicole et ma petite ferme d’abeilles.

A bientôt !

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Le Rucher au Septième Miel

Le Rucher au Septième Miel

Je suis passionné par le monde des abeilles et par l’apiculture, et j’ai aujourd’hui la formidable chance d’en faire mon métier.
Je possède actuellement une centaine de ruches, et le projet est d’atteindre les 300 ruches, ce qui me permettrait à moi et à ma famille de vivre de cette activité.
C’est un très beau métier, mais qui connaît beaucoup de défis au quotidien, non seulement liés à la fragilité de l’abeille dans la nature de moins en moins sauvage,
mais aussi aux charges de travail très concentrés sur la saison apicole.
J’élève moi-même les reines et les essaims nécessaires pour l’exploitation, ce qui est un facteur clef dans la réussite en bio.
C’est ce qui me permet d’avoir des reines de qualité, l’offre sur le marché étant très limitée.
Voilà tout est dit, si ce n’est que j’ai besoin de vous pour aboutir à ce rêve ambitieux mêlant préservation de la nature et protection de l’abeille.

Que se passe-t-il ce mois-ci sur votre rucher ?

Introduction
D’ici quelques jours le printemps nous ouvrira ses bras et sonnera le grand retour dans la nature des abeilles,
l’occasion pour nous de nous émerveiller de cet insecte qui nous offre tant !
Eh oui… Après l’hiver et la période de pause des abeilles, il est temps pour elles de sortir de la ruche et de reprendre leur activité.
Il faudra tout de même être un peu patient pour espérer voir les abeilles en masse...




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