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Cabinet d’expertise comptable indépendant et à taille humaine, nous vous accompagnons depuis plus de 30 ans que vous soyez commerçant, artisan, professionnel libéral ou chef d’entreprise. Créée en 1990 par Jean-Claude PERRAUD, expert-comptable et commissaire aux comptes, ACORA, a su évoluer avec vous pour vous proposer avec ses 6 associés, une offre de service toujours plus complémentaire.


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ACORA est engagé depuis de nombreuses années dans la préservation de l'environnement à travers son adhésion à RECYGO (recyclage du papier et du carton) et URBAN SOLAR ENERGY (production d'une énergie verte, locale et renouvelable. Parce que notre groupe est conscient que les abeilles sont indispensables à l'équilibre de notre écosystème, ACORA a décidé de renforcer son engagement à travers le parrainage d'une ruche.

Les ruches en images

  • La ruche ACORA
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L'apiculteur : David GIRAUD

UTPLA apiculteur David GIRAUD

J'ai commencé l'apiculture il y une petite dizaine d'année, je suis passé de trois ruches à une centaine de ruches réparties sur 5 ruchers.
Je suis apiculteur amateur semi-professionnel, je n'arrive pas encore à vivre de mon activité apicole, je suis donc pluriactif (pisteur de ski de fond, accompagnateur moyenne montagne, vendeur conseil en magasin espaces verts).
Pour la formation, je suis autodidacte, je me suis construit en discutant avec les anciens et en dévorant des livres, j'ai commencé avec de petits moyens et j'ai eu le temps d'apprendre de mes erreurs et de mes expériences.
Cette vocation pour l'apiculture découle de plusieurs passions qui s'entremêlent (la botanique, l'ornithologie, l'enthomologie), de plusieurs rencontres essentielles comme "Pierrot" un de mes mentors ou "Gael" mon copain de longue date avec qui j'ai commencé cette aventure (merci à vous), et enfin d'une envie très grande d'être en adéquation avec le monde naturel du vivant qui m'entoure tout en respectant les autres. Je voudrais à présent essayer de vivre de ma passion modestement en aidant la planète et en considérant à égal son prochain. C’est pour cela que je me suis lancé dans l’aventure Un Toit Pour Les Abeilles.

Nouvelles printanières

Chères marraines, chers parrains,
Si les hommes aiment les hivers doux et ensoleillés pour manger au balcon, pour les abeilles c’est loin d’être l’idéal.
La visite des ruchers en sortie d’hiver n’a pas été source de bonnes nouvelles.
De nombreuses colonies étaient soit extrêmement faibles, soit carrément décimées.
Les pertes de cet hiver 2020 s’élèvent à 40% environ, un triste hiver pour les Happykulteurs.
La grande majorité ne manquait pourtant pas de nourriture, les cadres de réserve étaient souvent encore garnis de miel.

Il est fort probable que l’hiver très doux et très ensoleillé que nous avons eu dans notre région en soit une des raisons.
Les ouvrières, au lieu de rester confinées (!) dans la ruche en attendant calmement le début du printemps et ses premières floraisons, sont sorties beaucoup plus tôt que d’habitude.
Or en janvier et février, même s’il faisait relativement chaud et beau, la nature était encore endormie et les fleurs n’étaient pas encore sorties.
Beaucoup d’ouvrières se sont donc épuisées à chercher des ressources en nectar et en pollen.

Elles se sont ainsi retrouvées trop peu nombreuses pour relancer la colonie efficacement.
Qu’à cela ne tienne ! Le travail des mois de mars et avril a donc consisté à reconstituer les colonies du rucher.
C’est-à-dire à renforcer les colonies les plus faibles et à diviser les colonies les plus fortes pour en créer de nouvelles (faire naitre une nouvelle reine).
Aujourd’hui, fin avril, grâce à un gros travail de division et de répartition, les ruchers sont « en forme ».
Le grand soleil de ce début de printemps a été très favorable et a permis des belles floraisons avec beaucoup de nectar et de pollen.
Au rucher des Iles, les cerisiers et les pissenlits constituent une précieuse ressource pour le développement des colonies.
Le rucher de la Pierre, plus haut en altitude, met un peu plus de temps à se remettre de ces pertes hivernales.
Mais la nature est bien faite et la vie l’emporte toujours, ce n’est qu’une question de temps avant que les hausses à miel se remplissent de bon nectar.

L’happykulteur veille sur ses avettes.
Prenez soin de vous, nous on s'occupe des abeilles :)
David et Coralie

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Le Rucher de la Pierre

Le Rucher de la Pierre

Le rucher se situe sur une friche sauvage avec un jardin potager et des arbres fruitiers, d'orientation plein sud ou sur l'adret pour les puristes avec une terre assez pauvre et caillouteuse plutôt calcaire.
Ce terrain se situe à 500m d'altitude, entouré de quelques pâturages avec pissenlits, primevères, pâquerettes et autres trèfles. Il est bordé en aval d'une belle petite rivière " la Morge" avec ses zones inondables de roseaux et ses peupliers, et en amont d'une forêt de feuillus avec érables, chênes, châtaigniers, tilleuls, merisiers, aubépines.
Le panorama sur la montagne de la " Grande Sure " environ 2000m d'altitude est magnifique.
J’y récolte du miel du Massif de Chartreuse, miel toutes fleurs forestier de moyenne montagnes -Notes marquées de châtaignier et plus subtil de tilleuls - Saveur boisée, caramélisée et fumée, fruits confits - un miel assez fort en bouche de couleur foncé - Médaille d'Or 2015 et de Bronze 2017 concours bisannuel du Syndicat Apicole Dauphinois.

L'apiculteur : Yves ROBERT

UTPLA apiculteur Yves ROBERT

Yves et Chantal ont débuté en 2010 avec 3 ruches. Aujourd'hui ils en comptent près de 80, dont une soixantaine soutenues par les parrains Un Toit Pour Les Abeilles.

Yves et Chantal privilégient une production locale et une conduite douce des ruches. Ce choix est motivé par une éthique personnelle et professionnelle engagée pour la protection de l’environnement, ceci dans une optique d’exploitation apicole prospère économiquement.

Chantal et Yves ne pratiquent pas la transhumance, puisque tous leurs ruchers sont fixes, ce qui réduit considérablement les dépenses en carburant, les besoins en mécanisation et ainsi l'impact carbone.

Ils ont choisi des ruches Warré plus respectueuses des abeilles et proposent un miel de terroir.
Outre le miel, Les apiculteurs produisent leurs propres essaims naturels (sans importation de reine), ils récoltent du pollen, de la propolis, de la cire d’abeille...

Yves est l'auteur du "Petit manuel d'apiculture douce en ruche Warré" aux éditions Terre Vivante paru au printemps 2019.

Bilan à la mi-saison 2024

Chers parrains, 

Le bilan dans mes ruchers est vraiment très morose, à la mi-saison 2024.

Il reflète et découle de la météo extrêmement grise de la première moitié de l’année, qui a connu un déficit d’ensoleillement d’au moins 20 % par rapport à la normale.

Cela veut dire concrètement que le ciel était en quasi permanence couvert ; et qu’il pleuvait le plus souvent.

En fin de printemps, il n’y a aucun miel à récolter dans mes ruches. Les livraisons de miel de printemps vont être d’autant retardées… Et elles comporteront, au mieux, du miel… d’été !

Il est plus approprié de parler de changement climatique, plutôt que de réchauffement climatique car les phénomènes météorologiques qui en découlent ne sont pas, sous l'effet de la montée des températures moyennes, seulement des pointes de chaleur, des hivers doux, des étés caniculaires… Mais aussi des printemps frileux et extrêmement pluvieux.

D’ailleurs parler de saisons, qui avaient cours dans notre climat tempéré, n’est plus vraiment d’actualité et le sera sans doute de moins en moins…

Il apparait de plus en plus nettement une période (saison?) humide et une saison sèche.

Et, ni l’une ni l’autre n’est vraiment propice à l’apiculture :
La période humide, parce que les butineuses ne peuvent guère sortir.
La période sèche, parce que la flore souffre et limite ses productions de nectar disponible pour les pollinisateurs.

 

De plus la population d’abeille a besoin pour se développer de périodes continues de beau temps, c’est-à-dire de météo favorable.

Cela n’a pas été du tout le cas dans cette première moitié d’année 2024.

Il est impossible de faire des prospectives, à la fois sur le développement des populations des colonies d’abeilles dans la suite de la saison.
Pas plus que sur l’évolution de la météo, ni sur les floraisons, dont l’échelonnement est devenu totalement imprévisible.

S’il y a un métier où il faut absolument lâcher prise pour ne pas -excusez-moi l’expression - « péter un câble », c’est bien l’apiculture…

 

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Le rucher de Sennecey

Le rucher de Sennecey

Le rucher est situé près du hameau de Tallant dans le canton de Sennecey-le-Grand en Saône-et-Loire (Bourgogne du Sud).

Il occupe un verger bordé de haies, de pâtures et prairies qui s'étendent à flanc de colline jusqu'au bois qui coiffe le sommet.
Cet environnement est riche d'une flore diversifiée qui s'épanouit dès le printemps (pissenlit, fruitiers, aubépine...) et se prolonge tout l'été (acacia, ronce, trèfle...).

La première récolte sera polyflorale puisqu’issue des variétés citées ci dessus.
Ainsi, selon la proportion en tilleul et acacia, le miel pourra être liquide à crémeux (ces deux espèces mellifères influençant sur la fluidité du miel).

Chantal et Yves travaillent avec des reines de souche Buckfast fécondées naturellement et issues du cheptel bio de Jérôme Alphonse (autre apiculteur partenaire Un toit pour les abeilles). Cette race d'abeilles est connue pour être douce et productive.

France 3 Bourgogne avec Chantal et Yves

Reportage diffusé le jeudi 6 Octobre 2016. Cliquez en dessous pour visualiser l'extrait.

Que se passe-t-il ce mois-ci sur votre rucher ?


L’été pointe enfin le bout de son nez, apportant avec lui on espère le soleil ! C’est le moment parfait pour admirer la nature en pleine effervescence.
Les derniers pots de miel, légèrement retardés par un début de saison capricieux, arrivent enfin chez nos marraines et parrains qui ont fait preuve d’une patience admirable.

Un grand merci d'ailleurs pour vos superbes photos partagées sur les réseaux sociaux,...




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