AMEG GROUP

Les ruches en images

  • La ruche AMEG GROUP
  • La ruche AMEG GROUP
  • La ruche AMEG GROUP
  • La ruche AMEG GROUP
  • La ruche AMEG GROUP
  • La ruche AMEG GROUP
  • La ruche AMEG GROUP
  • La ruche AMEG GROUP
  • La ruche AMEG GROUP
  • La ruche AMEG GROUP
  • La ruche AMEG GROUP
  • La ruche AMEG GROUP
  • La ruche AMEG GROUP
  • La ruche AMEG GROUP
  • La ruche AMEG GROUP
  • La ruche AMEG GROUP
  • La ruche AMEG GROUP
  • La ruche AMEG GROUP
  • La ruche AMEG GROUP
  • La ruche AMEG GROUP
  • La ruche AMEG GROUP
  • La ruche AMEG GROUP
  • La ruche AMEG GROUP
  • La ruche AMEG GROUP
  • La ruche AMEG GROUP
  • La ruche AMEG GROUP
  • La ruche AMEG GROUP
  • La ruche AMEG GROUP
  • La ruche AMEG GROUP
  • La ruche AMEG GROUP
  • La ruche AMEG GROUP
  • La ruche AMEG GROUP
  • La ruche AMEG GROUP
  • La ruche AMEG GROUP
  • La ruche AMEG GROUP
  • La ruche AMEG GROUP
  • La ruche AMEG GROUP
  • La ruche AMEG GROUP
  • La ruche AMEG GROUP
  • La ruche AMEG GROUP
  • La ruche AMEG GROUP
  • La ruche AMEG GROUP
  • La ruche AMEG GROUP
  • La ruche AMEG GROUP
  • La ruche AMEG GROUP
  • La ruche AMEG GROUP
  • La ruche AMEG GROUP
  • La ruche AMEG GROUP
  • La ruche AMEG GROUP
  • La ruche AMEG GROUP
  • La ruche AMEG GROUP
  • La ruche AMEG GROUP
  • La ruche AMEG GROUP
  • La ruche AMEG GROUP
  • La ruche AMEG GROUP
  • La ruche AMEG GROUP
  • La ruche AMEG GROUP
  • La ruche AMEG GROUP
  • La ruche AMEG GROUP
  • La ruche AMEG GROUP
  • La ruche AMEG GROUP
  • La ruche AMEG GROUP
  • La ruche AMEG GROUP
  • La ruche AMEG GROUP
  • La ruche AMEG GROUP
  • La ruche AMEG GROUP
  • La ruche AMEG GROUP
  • La ruche AMEG GROUP
  • La ruche AMEG GROUP
  • La ruche AMEG GROUP
  • La ruche AMEG GROUP

L'apiculteur : Mathieu CHIROSSEL

UTPLA apiculteur Mathieu CHIROSSEL

Mathieu pratique l’apiculture en activité principale depuis 2015.
L’apiculture est une pratique familiale ancestrale qui lui tient à cœur de faire perdurer et de développer.
Au siècle dernier, dans bon nombre de fermes, les ruches en paille étaient installées pour attirer les essaims et récolter le miel en fin d’année.
Cette pratique fut transformée au milieu du siècle dernier par  l'utilisation de la ruche Dadant une vraie révolution apicole que l’un des grands oncles de Mathieu vécu.
Aujourd’hui, ses colonies évoluent toujours dans ce modèle de ruche en pratiquant l’élevage et la sélection massale.
Après une formation en cours du soir et 4 saisons chez différents apiculteurs professionnels, il s’occupe actuellement d'une cinquantaine de ruches qu’il a développé d’année en année à partir de souches issues d’une longue sélection locale.
Soucieux de l'environnement et pour ne pas altérer la récolte, il pratique les méthodes apprises au sein de structures labellisées AB.
A terme, il cherche à passer sous la labellisation Nature et progrès pour une reconnaissance de ses pratiques actuelles.
En plus d’une pratique respectant l’abeille, l’apiculteur et la récolte, un de ses objectifs est de conserver un produit vivant.
Ses miels sont issus d'une seule et même récolte, ils sont non transformés et non mélangés avant mise en pots.

Nouvelles septembre 2025

Bonjour à vous, marraines et parrains du Rucher du Roussillon,

Voici quelques nouvelles de vos abeilles depuis le début de l’été.

Comme vous le savez, la météo n’a pas été des plus clémentes cette saison. La chaleur et la sécheresse ont été longues à supporter, aussi bien pour nous que pour les colonies. Malgré cela, la miellée de châtaignier a permis une récolte honorable.

Dans les Hautes-Colonnes drômoises, les lavandes ont bénéficié de quelques précipitations supplémentaires, contrairement aux vallons du Roussillon, ce qui a évité une absence totale de miellée.

Bonne nouvelle également : la sécheresse et les risques d’incendie sont désormais derrière nous. Les ruches ont retrouvé leur emplacement d’hivernage, et, comme l’an passé, une belle floraison de renouée du Japon est au rendez-vous — ce qui est de bon augure.

À celles et ceux qui auront le plaisir de déguster le miel cet hiver, vous trouverez du châtaignier et un miel d’acacia un peu particulier. Un petit mot à ce sujet : l’acacia est réputé pour rester liquide très longtemps. Ce ne sera pas le cas de celui-ci, qui présente une texture crémeuse.

Et personnellement, j’en suis ravi !
Cette cristallisation vient du fait que, pendant la miellée, d’autres nectars se sont mêlés à celui de l’acacia. Cela lui confère un goût unique et une texture en bouche que je trouve vraiment remarquable. À vrai dire, les acacias "purs" manquent parfois de caractère aromatique comparés à ce que la nature peut offrir dans un miel comme celui-ci.

En vous souhaitant à toutes et tous un très bel automne et une excellente dégustation.

 

Voir toutes ses actualités

Le rucher du Roussillon

Le rucher du Roussillon

Son rucher est situé sur les bocages vallonnés du Roussillon, une zone peu cultivée avec principalement des prairies et des bois.

Cet environnement de collines riches en arbres mellifères lui permet de récolter du miel de printemps, de châtaignier, d'acacia parfois ou encore de tilleul.

Cette diversité permet d’offrir des couleurs, des saveurs et des textures très diversifiées.

Elle permet de proposer à chacun ou à chaque instant de dégustation, un plaisir différent. 

Dans une volonté d’une production de proximité, ses miels sont récoltés principalement dans une zone située à moins de 10 km à vol d’abeille de la miellerie.

Les ruches sont transhumées en fin de saison sur des secteurs d'altitude proche comme les monts du Pilat ou le Diois.

En plein été, le Roussillon n'offrant que très peu de ressources, cette transhumance permet de ne pas avoir à nourrir les ruches et les jeunes colonies en fin d’année.

Cela leur assure des réserves importantes et parfois une récolte de miel de lavande ou de miellat de sapin.

L'apiculteur : Camille DUBRAY

UTPLA apiculteur Camille DUBRAY

J’ai cueilli mes premiers essaims en 2013, poussé par la curiosité et l’envie de mieux comprendre les abeilles.
Autodidacte et passionné, j’ai beaucoup appris sur le terrain, en ouvrant mes ruches et auprès d’amis apiculteurs professionnels.
En 2018, je me suis spécialisé dans le sanitaire et les maladies des abeilles, en devenant technicien sanitaire apicole.

La cueillette crée un lien particulier : on va chercher l’essaim, on le sauve, on en prend soin, et il devient partie intégrante du rucher.
Entre 2013 et 2018, j’ai constitué un cheptel exclusivement issu d’essaims sauvages — passant de 4 ruches à plus de 160, sans jamais acheter d’abeilles.
Mes colonies sont majoritairement composées d’abeilles noires, installées dans des ruches Dadant, que je trouve bien adaptées à leurs besoins.

En 2021, j’ai atteint 200 ruches, un équilibre qui me permet de bien m’en occuper sans perdre en qualité.
Rejoindre Un Toit Pour Les Abeilles est une belle opportunité : cela me permet d’assurer la vente d’une partie de ma production dans un cadre porteur de sens, tout en me laissant plus de temps pour m’occuper de mes abeilles — ma véritable passion.
Car même s’il faut vivre de ce métier, les abeilles restent toujours la priorité.

Septembre 2025

Chers parrains,

Voilà une nouvelle saison qui touche à son terme. Elle n’a, il faut le dire, pas été des plus faciles. Les colonies étaient sorties de l’hiver affaiblies, après une saison précédente déjà éprouvante.

Le printemps, relativement froid et humide, n’a pas permis un bon redémarrage. Quelques éclaircies ont offert un léger répit, mais il a fallu attendre juin pour voir le retour durable du soleil… malheureusement accompagné de fortes chaleurs et d’une sécheresse marquée.

Dans ces conditions très contrastées, les abeilles ont eu du mal à s’adapter. Malgré tout, je suis resté mobilisé à leurs côtés. J’ai élevé de nombreuses reines fécondées, introduites dans une cinquantaine d’essaims pour compenser les pertes hivernales et renforcer les colonies. J’ai assaini les ruches touchées par l’humidité printanière, rénové les plus vétustes en transférant les colonies, remplacé les cadres anciens…

J’ai aussi réaménagé plusieurs ruchers : débroussaillage, changement des palettes, amélioration des emplacements… Tout cela dans l’objectif d’offrir à mes abeilles les meilleures conditions possibles.

Malgré tous ces efforts, la production de miel est restée modeste cette année : un peu en fin de printemps, mais très peu en été à cause de la canicule. Le nectar, composé à 80 % d’eau, dépend directement des précipitations. Et sans pluie, il devient rare…

Je ne vous cache pas qu’en fin de saison, un peu de lassitude se fait sentir. Les effets du changement climatique semblent s’installer durablement, bousculant le rythme déjà fragile des abeilles, fragilisées par de nombreux facteurs : sélection génétique orientée, disparition des haies et prairies, monocultures, traitements chimiques, et bien sûr les prédateurs comme le varroa ou le frelon asiatique.

Mais tout n’est pas hors de notre portée. Il existe des leviers concrets et efficaces pour accompagner les abeilles vers plus de résilience. C’est ce à quoi je m’attache : sélectionner les souches les plus autonomes, renforcer leur adaptation à leur environnement, mettre en place un protocole de lutte rigoureux (et cette année 100 % biologique) contre le varroa, et agir activement contre le frelon asiatique.

Pour illustrer ce travail de terrain, vous trouverez deux courtes vidéos à télécharger via ce lien :

Vidéo de la parade des abeilles sur le frelon asiatique

Vidéo du pîège frelons réalisé par Camille

Merci de soutenir cette aventure, à la fois exigeante et passionnante. Votre parrainage est bien plus qu’un simple geste : il participe concrètement à la préservation des abeilles et à un modèle apicole plus respectueux de la nature.
L’abeille a plus que jamais besoin qu’on prenne soin d’elle, et grâce à votre soutien, je peux continuer à me battre pour elles, jour après jour. Merci de faire partie de cette goutte d’espoir, de cette énergie positive que vous m’aidez à porter pour elles.

Avec toute ma gratitude,

À très bientôt,
Camille 

 

Voir toutes ses actualités

Le rucher de Mirmande

Le rucher de Mirmande

La plupart de mes ruchers sont fixes, afin de préserver l’équilibre et la tranquillité des colonies.
Je pratique une transhumance raisonnée, en déplaçant seulement quelques ruches chaque année : certaines vers les champs de lavande à une vingtaine de kilomètres, d’autres dans les forêts de châtaigniers un peu plus loin.

Autour de chez moi, les abeilles bénéficient d’une floraison variée : fruitiers, prairies en jachère, phacélie, luzerne, ainsi que pruniers sauvages, ronces, aubépines, acacias et tilleuls.
Un environnement diversifié qui assure une alimentation riche tout au long de la saison et donne des miels aux arômes subtils et authentiques.

Que se passe-t-il ce mois-ci sur votre rucher ?

Chers parrains, chères marraines, 

Souvenez-vous… il y a quelque temps, on vous parlait d’un projet un peu spécial, inspiré par la ruche, les abeilles et tout l’univers qui les entoure.
Aujourd’hui, le secret n’en est plus un car ce projet a enfin pris vie ! Nous sommes fiers de vous présenter notre calendrier de l’avent immersif 2025 – Les Alvéoles de la Ruche. 

 

Un calendrier pas com...




Retour