Goelia

Goélia, l’un des principaux leaders des résidences de vacances en France est un spécialiste de la location de résidences de tourisme à la montagne,au pied des pistes, en bord de mer et à la campagne. Nous vous proposons des résidences de standing et clubs de vacances,
dans les plus prestigieuses ou les plus familiales des stations de vacances (stations balnéaires, stations de ski, stations thermales,
plus beaux villages de France, stations villages …)
afin de vous aider à composer des parenthèses de bonheur et de détente le temps de week-ends, de courts séjours,
de semaines ou de plus grandes vacances.
Goélia engage ses équipes sur des indicateurs et des initiatives concrètes et quantifiables, et lance son « PLAN COLIBRI » au 1er janvier 2022.
Parmi les nombreuses initiatives éco-responsables Goélia s’engage avec Un Toit Pour Les Abeilles.
Nous initions cette année l’installation de ruches de toits et le parrainage de ruches afin de préserver les abeilles et la biodiversité .
Nous participons ainsi à la préservation directe de plus de 200 000 abeilles.
En 2022, 1000 m ² de fleurs mellifères seront plantées dans nos résidences.
Accéder à la Charte éco-responsable Goélia : https://www.goelia.com/guide/charte-eco-responsable-goelia/
Les ruches en images
L'apiculteur : Isabelle LA CHATELAINE

Isabelle La Châtelaine est une apicultrice de la ville et de la campagne, passionnée par le moyen-âge, elle installe un jardin médiéval autour de sa maison, avec un rucher en 2011 pour polliniser son verger et son potager.
À cette période, elle commande une colonie à un apiculteur local et depuis, ils ne se sont plus quittés.
Il lui transmet son savoir et ses pratiques apicoles traditionnelles.
Jeune diplômée de la Société Centrale d’Apiculture (SCA) en 2013, elle installe d’autres ruches dans un petit bois en Bretagne.
En ville, elle est responsable avec deux autres apiculteurs amis du "rucher de ma tante" au crédit municipal de Paris, au cœur du marais.
Participe en tant que jurées au concours des miels d’ile de France, ainsi qu’au concours agricole au salon international de l’agriculture. Chaque miel de ses ruchers sont analysés par un laboratoire indépendant.
Peu de miel mais des naissances
Chères marraines, chers parrains,
C’est la première fois que je me retrouve pratiquement sans miel : une météo exécrable, de la pluie un jour sur deux, du vent, du froid et le frelon asiatique.
Et aujourd’hui encore, un temps gris et pluvieux en Bretagne.
Certains, certaines vont recevoir mes petits pots de miel fraîchement récolté, d’autres, d’un autre apiculteur du réseau "Un Toit pour les Abeilles". Je n’ai quasiment pas eu de miel.
Même le verger n’a rien donné cette année : pas de cerises, un peu de pommes, pas de pêches, ni de prunes. Et en automne, il n’y a pas de belles châtaignes.
Les poules font grève de l’œuf ! Les canes ont décidé de suivre le mouvement de la grève !
Le potager, je ne peux pas dire que c’est l’abondance.
L'année prochaine, croyons en l'abondance et à une belle météo. Nos abeilles ne vont pas tarder à entrer en hivernage et nous, à remettre le chauffage dans nos maisons.
Je termine par une note positive : cette année, j’ai eu des naissances et une naissance avec de la prospérité et de la chance !
Merci à vous de votre aide et à l'année prochaine.
Isabelle
Poussins poules d’ornement
Caneton
Dindonneau : on repère dès sa naissance de sa petite queue en étoile et des pattes plus épaisse
Des agneaux et agnelles
Un chaton tricolore *
* Dans certaines cultures, les chats tricolores sont considérés comme des porte-bonheurs (probablement parce qu’ils sont très rares).
Par exemple, au Japon, ils ont une grande valeur.
Autrefois, ils étaient souvent embarqués à bord des navires pour protéger l’équipage des intempéries et des maladies pendant le voyage.
Un chat Maneki Neko tricolore est donc un signe de chance et de prospérité.
En Angleterre aussi, le chat calico est considéré comme un porte-bonheur.
Autre exemple, une vieille légende irlandaise prétend que frotter la queue d’un chat calico contre une verrue la fera disparaître !
Enfin, on dit que croiser le chemin d'un chat tricolore porte bonheur, il est considéré comme un symbole de chance et de prospérité.
Chères marraines, chers parrains, il y aura de l’abondance de miel l’année prochaine et tout plein de fruits et de légumes !

Le rucher de Lanouee

La particularité du miel de forêt réside dans son mélange de nectars de miellats, en bouche son arôme rappelle souvent les feuilles sèches des sous-bois, mélange des nectars de châtaignier (73 %), ronces, trèfle blanc, sarrasin et des miellats de chêne et de hêtre.
Au printemps, les abeilles proposent du miel de fleurs, plus doux, souvent apprécié par son côté crémeux naturellement, récolté en mai, il contient surtout du nectar de myosotis, de colza et arbres fruitiers.
Parfois elles transhument sur des champs de sarrasin de juillet à septembre, miel rare, historique de Bretagne, au goût prononcé et à la couleur sombre, très utilisé en pâtisserie et notamment pour la fabrication de pain d’épices. Laquelle on trouve les productions de farine de blé noir.
Ainsi selon les récoltes, vous pourrez recevoir l'un ou l'autre de ces miels ou encore un panachage !
L'apiculteur : Renald POULAIN

Renald, paysan bio depuis plus d’une dizaine d’années et ancien éleveur laitier a décidé de se diversifier dans l'apiculture biologique en 2012 (certification Ecocert).
Amoureux de la nature depuis son enfance, Renald a pour éthique le respect de l’environnement et une démarche respectueuse de l’homme et des générations futures.
Il élève lui-même ses reines et ses essaims, ayant suivi une formation spécifique d'élevage.
Ses ruches sont des dadants comportant chacune 10 cadres, elles sont fabriquées en pin douglas provenant de la forêt voisine, la peinture de protection des ruches dite Suédoise est faite par ses soins, avec de la farine, de l'huile de lin et de l'ocre.
Il cultive ses terres et plante sur plusieurs dizaines d’hectares les fleurs qui permettront à ses abeilles de s’épanouir.
Il fournit également en blé sur des variétés oubliées et pauvre en gluten les boulangeries alentours.
Les miels produits par Renald n’ont subi aucune transformation (non chauffés), ne contiennent aucun additif.
Ils gardent ainsi toutes leurs propriétés gustatives et bienfaits pour la santé.
Son objectif est d'atteindre 250 ruches pour vivre de l'apiculture.
NOUVELLES DE NORMANDIE
Bonjour à tous.
Je viens vous donner quelques nouvelles après la période hivernale.
Je constate plus de pertes cette année que l'an passé, notamment à cause du frelon asiatique et d'un hiver très humide.
Les abeilles ont pu cette automne faire une bonne réserve de miel ce qui m'a permis de ne pas avoir trop à les nourrir.
La nouvelle année apicole va bientôt commencer, avec mon fils Valentin nous sommes prêts et très motivés, nous avons d'ailleurs prévu d'aller voir nos ruchers cette semaine.
Le contexte actuel est difficile à cause des importations de miel en provenance de l'étranger, ce qui affecte notre trésorerie et empêche d'écouler nos stocks.
Nous sommes cependant déterminés à continuer et à ne pas baisser les bras!
Enfin nous tenons à vous remercier pour vos parrainages et n'oubliez pas : "consommons français".
Renald et Valentin.

Le rucher de Domfront

Le rucher de Renald est situé dans le bocage Bas-Normand, à la lisière de la forêt d'Andaine sur le site Natura 2000 et le parc régional Normandie Maine.
Ses ruches lui procurent du miel toutes fleurs de grande qualité :
- Miel de vergers (pommiers et poiriers hautes tiges)
- Miel de haies (aubépine, châtaigner, ronces...)
- Miel de prairie permanente (pissenlit, trèfles...)
- Miel de phacélie (récoltée grâce la plantation de jachère fleurie)
La récolte se fait deux fois par an, l'une au printemps, l'autre en été, permettant ainsi d'obtenir deux variétés de miel toutes fleurs.
Vous pourrez recevoir en fonction des floraisons (selon les conditions météos) et période de parrainage, l’un et/ou l’autre de ces miels panachés dans votre colis.
L'apiculteur : Alexandre BOUVIER

Je m'appelle Alexandre Bouvier (33 ans). Mon intérêt pour la nature et les plantes m'a poussé à aller découvrir le monde merveilleux des abeilles en 2015.
Après deux saisons auprès d’apiculteurs confirmés dans le Tarn et en Lot-et-Garonne, je me suis lancé avec mes 10 premières ruches progressivement dans le projet de vivre de ce magnifique métier.
Pour compléter mes acquis, je me suis formé au rucher école local et ensuite fait une formation agricole (BPREA) afin d’avoir toutes les clés pour démarrer cette belle aventure.
Fin 2018, 160 personnes m’ont soutenu dans ma campagne de financement participatif. Grâce à eux, j’ai l’occasion de travailler auprès des abeilles à temps plein depuis le printemps 2019.
Le sens de l’organisation et du collectif chez l’abeille m’émerveillera toujours ! En tant qu’apiculteur nous avons la chance de la voir évoluer et de faire un métier diversifié et enrichissant.
L’idée du parrainage fleuri fortement dans mon esprit depuis quelques années. Je pense que nos paysages ressemblent de plus en plus à un désert pour les pollinisateurs.
Il est temps que collectivement nous travaillons à repenser nos écosystèmes afin que les divers acteurs replacent le vivant au centre des décisions, que ce soit le particulier dans son jardin,
les collectivités dans leurs gestions de l’espace public, les agriculteurs sur leurs champs, etc.
Le soutien de parrains est pour moi l’une des clés pour recréer les liens entre les divers acteurs concernés et mettre en lumière l’importance de notre biodiversité.
Et puis je souhaite que le parrainage m’aide à réaliser un vieux rêve.
J’aimerais créer des collaborations avec des éleveurs locaux pour que leurs prairies deviennent un paradis aussi bien pour les animaux que les insectes/abeilles.
En retravaillant sur des programmes de plantation de haies et prairies enrichies en fleurs.
Cependant, les éleveurs ont souvent besoin de soutien financier et technique pour mettre en place ces démarches. Ils sont un maillon essentiel pour que la flore de France reste diversifiée !
J’ai actuellement 120 ruches dadant avec des abeilles de diverses races. La diversité c’est bien aussi chez les abeilles.
Elles sont situées sur divers secteurs pour bénéficier de floraisons durant toute la saison.
Nouvelles printanières
Bonjour à tous,
Encore une année pleine de surprises !
Après un hivernage sans encombre et des colonies en pleine forme, la météo printanière a quelque peu freiné leurs envies d’expansion… et les espoirs de récoltes abondantes.
Je découvre donc une nouvelle problématique : est-ce que les colonies sont prêtes pour la transhumance sur l’acacia ? Certaines oui… d’autres pas encore.
Même si la météo est favorable, encore faut-il que les ruches soient suffisamment peuplées pour pouvoir récolter les nectars en quantité.
Il va donc falloir faire un petit bilan d’ici quelques jours et réfléchir à l’opportunité – ou non – de transhumer.
Sinon, tant pis ! Les abeilles patienteront gentiment jusqu’à la prochaine miellée.
Merci encore pour votre engagement. Nous avons plus que jamais besoin de soutiens comme le vôtre pour faire perdurer nos métiers.
Je vous souhaite une très belle journée !

Le rucher d'Angiroux

La flore locale permet aux abeilles de butiner au printemps les fleurs des arbres fruitiers (ici notamment les pruniers), buissons sauvages, pissenlit, colza,
ainsi que de l’aubépine, de l’acacia et plus tard dans la saison du miellat et du tournesol.
Durant les périodes de disette, une partie des colonies sont ensuite disposées auprès des bourdaines et bruyères Landaises ainsi que des châtaigniers de Dordogne
afin de leurs apporter des pollens et nectars de qualité. Les abeilles et l’apiculteur sont gagnants !
Nous profitons des diverses miellées de nos terroirs pour offrir une gamme variée de gouts, couleurs et de textures. Des miels crémeux jusqu'à des miels aromatiques et complexes :
Miel de printemps, d´acacia, de toutes fleurs, de bourdaine, de châtaignier, de foret, de tournesol, du crémeux de printemps et d’été !
L'apiculteur : Jérôme CLAVEL

Je m’appelle Jérôme, j’ai 31 ans et après avoir conjugué vie professionnelle (chef de rayon dans une Biocoop) et ruches à côté, j'ai décidé de me lancer en tant que professionnel.
Épris de cet insecte depuis toujours, j’ai toujours évolué auprès du petit rucher familial en Lozère, j’ai créé mon activité apicole en 2014 et suis devenu professionnel en 2021.
Après des études agricoles, j’ai souhaité m’installer en apiculture. Je suis donc installé sur Saint-Germain du Teil en lozère (48340).
Mon bâtiment tout juste construit, je recevrai mais premiers parrains marraines en cette année 2023.
J'ai pris la décision de m'engager en Agriculture Biologique dès le départ afin de vous garantir que mon travail et l'ensemble de mes produits respectent de bonnes pratiques environnementales vérifiés et certifiés par Ecocert.
Parrainer mes ruches, c'est pérenniser un producteur engagé en bio qui a décidé d’être en accord avec ses principes.
merci à vous :-)
Jérôme seul apiculteur bio implanté sur l'Aubrac.
Vos parrainages, mon énergie pour avancer
Bonjour chères marraines, chers parrains,
Quelques nouvelles du Sud et du Massif Central…
Le printemps, une fois de plus, s’annonce compliqué. Les abeilles, comme chaque année à cette période, sont pleines d’énergie et prêtes à démarrer — mais la météo pluvieuse et froide les affaiblit considérablement. Rien à voir avec les conditions idéales qu’elles devraient normalement rencontrer au printemps.
Je tente de m’adapter en transhumant vers des zones plus basses en altitude… mais la réalité, c’est que cette année, il faut surtout nourrir les colonies pour les maintenir en vie. Une situation très complexe.
Des choix devront être faits pour les prochains printemps.
Et vous serez certainement les premiers informés, car ce projet d’adaptation à venir, je compte le mener avec mon partenaire de toujours : Un Toit Pour Les Abeilles.
Leur soutien est précieux, et c’est en grande partie grâce à eux qu’Occimiel est toujours là aujourd’hui.
Vos parrainages sont également essentiels. Ils m’apportent une stabilité financière précieuse pour traverser ces périodes incertaines.
Le beau temps est annoncé… Espérons qu’il s’installe durablement.
Il faudra alors redoubler d’efforts pour rattraper le retard et sauver ce qui peut l’être.
Des transhumances sont prévues sur le sainfoin, le châtaignier, la lavande fine, le thym… Et de jolis miels toutes fleurs, que certains d’entre vous ont déjà eu la chance de goûter, seront très bientôt expédiés. Je finalise actuellement les envois.
Côté matériel, je me suis récemment équipé d’un outil performant pour les transhumances.
C’est un investissement conséquent, mais indispensable pour pérenniser mon activité — surtout avec un diabète à gérer au quotidien.
Et c’est grâce à votre soutien que j’ai pu envisager cet achat, porteur d’un nouvel élan, je l’espère.
Merci encore, du fond du cœur,
À très bientôt,
Avec toute ma sympathie,
Apicolement vôtre,
Jérôme

Le rucher de Chanac

Mes ruches sont réparties au cœur de la Lozère près des Gorges du Tarn (inscrit au patrimoine de l'humanité) et sur l'Aubrac Lozérien et Aveyronnais (Parc naturel Régional).
J’y produis un miel toutes fleurs de montagne, du miel de châtaignier, de bruyère et de tilleul selon les années dans le respect le plus total de mes protégées.
Je suis aujourd'hui devenu professionnel avec un cheptel de plus de 200 colonies.
Le miel récolté est doux, représentatif de la région, varié en saveurs : C'est un véritable cocktail floral. Je transhume exclusivement en Occitanie.
Ma vision de l'apiculture est de ne pas exploiter mes abeilles mais pouvoir vivre et évoluer grâce a elle.
Je transforme mon miel (bonbons, nougats, croquants...) afin de valoriser au mieux ma production et le terroir Lozérien, Aveyronais et Occitan.
Jérôme vous remercie.
L'apiculteur : Dominique HARDOUIN

Suite à une carrière de technicien au sein de France Télévision, j'ai entamé une reconversion professionnelle en avril 2019.
J'ai démarré cette activité en 2010 de façon totalement amatrice pour augmenter les récoltes de mon potager.
Puis progressivement, j'ai augmenté mon cheptel.
Aujourd'hui, je m'occupe d'environ de 120 ruches et grâce notamment à votre soutien je souhaite devenir apiculteur à titre principal cette année.
Ainsi, avec mes abeilles, je vole de floraisons en floraisons au gré des saisons.
De la plaine des Maures aux monts des Cévennes en passant par le Verdon, je récolte chaque année un large panel de miels.
Enfin le printemps et c'est reparti
Chères Marraines, chers Parrains,
Après une année 2024 en demi-teinte (printemps et automne trop pluvieux, mais un été magnifique pour les abeilles), 2025 semblait suivre le même chemin... jusqu’au 15 avril, où tout a basculé.
Malgré les fortes pluies, le soleil est revenu, et les colonies se sont développées à vue d’œil.
Et, chose de plus en plus rare : de nombreux essaims sauvages sont apparus de nulle part.
Merci pour ce beau cadeau de Dame Nature !
Actuellement, entre Saint-Paul-de-Vence et Menton, vos protégées se régalent sur les citronniers et les vipérines. Les autres agrumes ne tarderont pas à prendre le relais.
Chez nous, sur les bords de l’Argens, elles butinent pour l’instant les pyracanthas et les cornouillers.
Mais de nombreuses autres essences vont bientôt fleurir : érables de Montpellier, tilleuls…
Dans d’autres secteurs du Var, dans les maquis et les garrigues, les tapis de thyms, de cistes cotonneux, de cistes de Montpellier et de dorycniums sont littéralement couverts d’abeilles.
Un puissant vrombissement envahit les champs : un vrai bonheur pour les oreilles.
Les premières récoltes devraient commencer vers la mi-juin, et tout laisse penser qu’elles seront abondantes.
Côté frelons asiatiques, avec un collègue mentonnais, nous avons cet hiver mis au point des cabanons à ruches dont les parois sont constituées de simples fils de fer verticaux espacés de 2,5 cm. Les abeilles passent aisément entre les fils… mais pas les frelons.
Comme ceux-ci volent bien plus lentement, ils voient passer les abeilles sans jamais réussir à les attraper.
Dans le mois qui vient, je vais généraliser ce type d’installation à l’ensemble de mes ruchers pour protéger au mieux les colonies.
Un immense merci pour votre fidèle soutien,
et à très bientôt pour de nouvelles aventures apicoles !
Apicalement vôtre,

Le rucher du Cannet des Maures

Ce rucher situé sur la commune du Cannet des Maures dans le centre Var, est au bord du massif des Maures. Cette terre anciennnement volcanique est scilicieuse et acide. On y trouve des plantes typiques des maquis, tel la bruyère blanche arboricole, la lavande stoecha, l'immortelle, etc...
Ce biotop remarquable, me permet d'y recolter du miel de maquis, de chataignier et quelques fois d'arbousier.
Que se passe-t-il ce mois-ci sur votre rucher ?
Bon ! On va devoir vous parler d'un sujet d'actualité pas très réjouissant : Les pesticides
Avant cela, parlons de quelque chose de bien plus sympathique : Les papillons
Le mois de juin est enfin la ! Dans les ruches comme dans les jardins, c’est la pleine activité !
C’est aussi la dernière ligne droite pour soutenir le projet “Papill’Home” porté par nos petites s&oeli...