Kumulus vape

Véritable pionnière de la cigarette électronique, Kumulus Vape s’est rapidement imposée aux premiers rangs des acteurs français de la vape. Depuis sa création en 2012, l’Entreprise est animée par une mission : proposer grâce à la vape une alternative sûre et performante au tabac fumé pour réduire ses conséquences sanitaires et environnementales. C'est dans cette perspective que Kumulus Vape a bâti l'un des catalogues les plus riches du marché avec plus de 7 000 références disponibles au travers de ses plateformes e-commerce à destination des particuliers et des boutiques spécialisées. Entre 2016 et 2020, la croissance annuelle moyenne de Kumulus Vape a dépassé les 100%. En 2020, malgré le contexte exceptionnel, l’entreprise a réalisé un chiffre d’affaires de plus de 22 M€, en hausse de 113%. La Société est basée à Corbas, dans la Métropole de Lyon, et emploie aujourd’hui près de 50 salariés. Kumulus Vape est cotée sur Euronext Growth depuis le 1er juin 2021.
Alors que les modes de consommation connaissent des changements profonds et rapides, nos clients attendent de Kumulus Vape une approche responsable et durable pour mieux produire et mieux consommer. Afin d’apporter à cette aspiration une réponse ambitieuse et qui nous engage fermement dans la durée, Kumulus Vape s’est donné pour mission d’offrir à ses clients un monde débarrassé du tabac fumé et de ses conséquences sanitaires désastreuses. Il s’agit non seulement de fournir la meilleure offre de produits et services liés à la cigarette électronique, une information transparente et des conseils éclairés, mais aussi de garantir les meilleurs standards éthiques dans la conduite de nos affaires au quotidien, tout en agissant de manière pragmatique pour la défense de notre environnement. Cette ambition irrigue au quotidien l’action de tous nos collaborateurs, dans nos opérations courantes comme sur nos plateformes digitales, et c'est dans cette perspective que notre engagement pour la protection des abeilles aux côtés d'Un toit pour les abeilles prend tout son sens.
Les ruches en images
L'apiculteur : Céline MARTIN-JARRAND

Nous sommes apiculteurs-récoltants dans le Parc Naturel du Vercors. Tous nos miels sont butinés dans ce territoire préservé, sans transhumance de nos abeilles.
Nos 400 ruches sont donc sédentaires et réparties en petits ruchers de 400 à 1200 mètres d'altitude.
Nous avons à cœur de respecter le développement naturel de nos colonies, nous utilisons notamment des ruches Warré qui permettent une approche très douce vis à vis de l'abeille.
Nous nous engageons chaque année à former quelques apiculteurs amateurs et à sensibiliser le public à la préservation des abeilles.
Nous nous sommes rencontrés dans un rucher il y a 15 ans et depuis nous ne nous sommes plus quittés. Notre projet commun :
Valoriser la biodiversité de nos montagnes à travers cinq miels de pays.
Des contreforts aux plateaux, tous nos ruchers sont situés dans le territoire du Parc Naturel Régional du Vercors.

Tous nos miels sont labellisés Marque parc Vercors. Ce logo apposé sur le pot vous garantit que le miel a été produit sur le territoire du parc.
C’est un gage de transparence sur l’origine et de valorisation des miels de montagne

Tous nos miels sont certifiés Agriculture Biologique. Ce label garantit que nos abeilles bénéficient de ressources florales naturelles dans un rayon de 3km (rayon de butinage de l'abeille) et que nous n’utilisons pas de produits chimiques.
Ce label est attribué à notre ferme apicole et certifie l’ensemble de nos produits.

Nous avons répartis nos ruches pour bénéficier de trois flores différentes :
ROYANS : Flore continentale (400m): boisement acacias, tilleuls et quelques châtaigniers
PLATEAU DU VERCORS : Flore de montagne (800m – 1200m) : prairies fleuries et boisement de hêtraies-sapinières
DIOIS : Flore méditerranéenne (400m – 600m) : thym, lavande, boisement de chênes, culture de lavande fine et de lavandin.
Notre miellerie est située à DIE.
Nous remercions tous les parrains et marraines qui soutiennent nos abeilles depuis tant d’années ! Sans vous, le miel du Vercors n'existerait plus !
UN GRAND MERCI À TOUS !
Céline et Jérôme, Apiculteurs-amoureux du Vercors
Printemps...Le renouveau
Bonjour à vous marraines et parrains de nos ruches !
Le printemps est déjà bien installé et nous avons commencé l'élevage pour compenser les mortalités d'abeilles.
Chaque année, nous passons beaucoup de temps au printemps à diviser nos ruches les plus fortes pour repeupler nos ruches mortes l'année dernière ou pendant l'hiver et éviter l'essaimage.
Nous accompagnons donc nos abeilles et leurs envies de se reproduire par la division des ruches.
Ça demande beaucoup d'observation pour intervenir au bon moment et ne pas porter préjudice aux colonies
Vous avez dû recevoir pour certains votre colis de miel, témoignage de votre soutien à notre Apiculture bas-carbone, dans le respect des abeilles et l'on espère que notre miel ravit vos papilles !
Comme beaucoup nous attendons la pluie et redoutons les sécheresses à l'instar de 2022.
Comment imaginer notre avenir et celui de nos abeilles dans cette ambiance de sécheresse ?
Difficile vous pourrez l'imaginez !
Mais la passion de nos abeilles nous portent et nous permet de continuer malgré l'ambiance sèche !
Votre soutien nous permet aussi d'avoir confiance en l'humain, un grand merci à vous tous !
Céline et Jérôme.

Les abeilles du Vercors

Nos ruchers sont répartis sur 4 secteurs du Parc du Vercors : le Diois, le Royans, le plateau et les hauts plateaux. A chaque secteur correspond un étage de végétation typique :
Le miel du Diois est butiné sur les thyms, sarriettes et le miellat de chêne, c'est un miel de garrigue : Note de caramel
Le miel de Lavande de Chamaloc nous invite dans la partie méridionale du Vercors à la rencontre des plantes aromatiques.
Ici sur les terres où pousse naturellement la lavande fine, on cultive aussi le lavandin. Notes végétales et fleuries.
Le miel du haut plateau du Vercors est produit à plus de 1200 mètres d'altitude. C’est un miel de sapin, mélèze et de framboisier, typique du Vercors. Notes boisés et maltés.
Le miel du Royans nous fait découvrir les coteaux de châtaigniers et les tilleuls plantés par nos ancêtres. Notes mentholés et intenses.
Le miel de Prairies fleuries est récolté à 800 mètres d’altitude. C’est un paysage de prairies où des milliers de fleurs apparaissent au printemps.
C’est donc un miel d’une grande diversité florale : trèfle blanc, épilobe, renoué bistorte, vipérine… Notes douces et fleuries.
L'apiculteur : Bruno HOUBRON

Après avoir été pendant de nombreuses années apiculteur amateur, dans le cadre d'une diversification professionnelle, Bruno, installé sur les monts du Forez (Puy de Dome 63) dans le Parc Naturel Régional Livradois Forez développe une activité apicole professionnelle depuis 8 ans avec pour objectif à court terme 150 ruches en production.
Les ruches sont de type VOIRNOT adaptées aux régions montagneuses et fabriquées par Bruno l'hiver avec du bois de pays (Épicéa,mélèze et scierie à 8 km).
L'exploitation est conduite de façon raisonnée en grande partie selon le cahier des charges de la production biologique par pur choix éthique .
Les abeilles qui peuplent ses ruches sont de type "noire de pays", souche adaptée au climat et flore locale.
Les ruchers sont dispersés depuis 600 mètres d'altitude jusqu'à 1300 mètres avec une pratique de la transhumance locale dans un rayon de 40 km sans descendre en dessous de 600 m. sauf pour l’Acacia , ce qui permet de ne pas côtoyer les cultures conventionnelles .
Bruno récolte divers miels de crus : Montagne, forêt, acacia , sapin et bruyère mais également pollen et propolis et fabrique du pain d'épices.
Enfin, Bruno est aussi Vannier dans son atelier et osiériculteur puisque chaque année, il fabrique sa propre matière première, l'osier.
Venez le samedi 29 juillet chez Bruno
Bonjour,
Il reste encore de la place pour la porte ouverte de Bruno le samedi 29 juillet.
L'occasion de venir à sa rencontre et découvrir un homme passionné par son métier mais aussi de rencontrer vos abeilles !
Attention seules les personnes inscrites auront leur place réservée via ce lien :
découvrir le programme et s'inscrire
Nous comptons sur vous pour venir nombreux !
Belle fin de semaine à vous

Le rucher de Faradia

- un miel de "montagne" (mention contrôlée , soumise à autorisation) très réputé qui traduit la richesse botanique d'un environnement préservé. Exposées à des printemps longs et rudes ,les floraisons sont variées et intenses. La couleur de ce miel varie de jaune paille à brun clair souvent très odoriférant, doux, aux saveurs florales et fruitées, même si le gout diffère d'une année sur l'autre .
- un miel de forêt dont la particularité réside dans son mélange de nectars et de miellats variés.
Produit en été jusqu’à fin août début septembre, toujours sombre, brun foncé voir presque noir selon sa composition, avec selon les années, une note de bruyère ou de sapin (sapin pour 2013).
La flore présente autours de ce rucher : Aubépine, cerisier, érable, robinier, saule, sapin, châtaignier, bruyère, ronce, framboisier, scrofule, pissenlit, acacia, digitale, épilobe, lierre, miellats...ainsi que toute la flore mellifère de moyenne montagne .
L'apiculteur : Thierry SALAVIN

Thierry est un apiculteur bio professionnel situé en Isère.
Il a été certifié agriculture biologique (AB) par Ecocert.
Il a découvert et démarré l'apiculture en 2010 en récupérant des essaims vagabonds.
Sans lien familial avec l'apiculture, il a acquis son expérience en se formant en France, puis en travaillant chez des apiculteurs en Australie le temps d'un été chez eux, hiver chez nous..
Il a un cheptel actuel de 200 ruches.
Thierry utilise uniquement des ruches Warré qui privilégient une apiculture douce et respectueuse des abeilles, permettant d'éviter le nourrissement au sucre notament.
La majorité de ses ruchers sont situés sur les massifs alpins vierges de cultures aux alentours de Grenoble (Chartreuse, Vercors, Belledonne, Ecrins).
Thierry pratique la transhumance locale dans un petit rayon (40km) pendant la saison pour des miels de crus (châtaignier, acacia, haute montagne).
Venez à ma porte ouverte
Chères marraines, chers parrains,
Je serai très heureux de vous accueillir chez moi, si vous le souhaitez pour un moment de découverte et de convivialité
le Dimanche 8 Octobre 2023
Au programme :
Rdv à 10h sur la ferme. Prévoyez le temps de marche pour venir ! ;)
Départ groupé pour les ruches, observation en tenues de protection.
Fin de la visite vers 12h30 env.
Pique-nique convivial où chacun amène un plat que nous partagerons tous.
La matinée d'observation aura lieu à la ferme de Thierry dites "Les Moulinières" accessible uniquement par un chemin forestier de 20/30 minutes de marche (200m de denivelé). Les voitures sont donc invitées à être laissées sur le parking avant d'emprunter ce sentier.
Bien entendu, le bon déroulement de la journée sera fonction de la météo puisque les abeilles n'aiment pas la pluie et dans ce cas le report de l'évènement se fera sur un prochain wk d'octobre.
Cette journée est gratuite.
Rendez-vous sur la page de nos portes ouvertes pour vous inscrire : https://www.untoitpourlesabeilles.fr/portes-ouvertes/371-visite-ruches-matinee-en-isere.html

Le rucher de la Chartreuse

Les ruches sont situées dans le parc naturel régional de la Chartreuse, à 800m d'altitude qui offre une diversité de milieux naturels.
Le parc est ainsi constitué de forêts qui varient du chêne à des hêtraies-sapinières jusqu'aux épicéas à 1500 m d'altitude mais aussi d'étendue de pelouse et prairies.
Les eaux de source provenant des torrents et zones humides environnant le rucher sont d'excellente qualité.
Le miel récolté par la miellerie du Peuple Zélé est selon les floraisons de forêt à dominante de tilleul et pointe de châtaignier et de fleurs de chartreuse qui sont issues des sous-bois comme les ronces et framboisiers avec un arôme floral, frais, naturellement crémeux.
Thierry pratique un élevage et une sélection massale de ces abeilles afin de tirer le meilleur parti de chaque abeille (productivité, caractère...).
Il a ainsi commencé son cheptel avec des abeilles locales ou dites "noires" issus d'essaims cueillis dans la Vallée et qui ont permis la création d'autres colonies d'abeilles avec des croisements naturels contrôlés. Aujourd'hui il a des colonies avec un brassage d'origines qui sont adaptées localement.
L'apiculteur : Mathieu CHIROSSEL

Mathieu pratique l’apiculture en activité principale depuis 2015.
L’apiculture est une pratique familiale ancestrale qui lui tient à cœur de faire perdurer et de développer.
Au siècle dernier, dans bon nombre de fermes, les ruches en paille étaient installées pour attirer les essaims et récolter le miel en fin d’année.
Cette pratique fut transformée au milieu du siècle dernier par l'utilisation de la ruche Dadant une vraie révolution apicole que l’un des grands oncles de Mathieu vécu.
Aujourd’hui, ses colonies évoluent toujours dans ce modèle de ruche en pratiquant l’élevage et la sélection massale.
Après une formation en cours du soir et 4 saisons chez différents apiculteurs professionnels, il s’occupe actuellement d'une cinquantaine de ruches qu’il a développé d’année en année à partir de souches issues d’une longue sélection locale.
Soucieux de l'environnement et pour ne pas altérer la récolte, il pratique les méthodes apprises au sein de structures labellisées AB.
A terme, il cherche à passer sous la labellisation Nature et progrès pour une reconnaissance de ses pratiques actuelles.
En plus d’une pratique respectant l’abeille, l’apiculteur et la récolte, un de ses objectifs est de conserver un produit vivant.
Ses miels sont issus d'une seule et même récolte, ils sont non transformés et non mélangés avant mise en pots.
Point récolte de miel
Bonjour à vous, marraines et parrains du rucher du Roussillon.
Après un joli départ au printemps, la fin du mois d'avril et le mois de mai n'ont pas permis de récolte de printemps.
Il aura fallu attendre la miellée de châtaignier puis la lavande pour enfin voir les ruches rentrer un peu de miel.
Mais la récolte est exceptionnellement basse ce qui ne va pas me permettre de fournir en miel tout le monde, j'en suis navré.
Le réseau d'Un Toit Pour Les Abeilles permettra que tout le monde reçoîve la même quantité que l'an passé grâce à l'aide d'un apiculteur du réseau proche de chez moi mais il faudra attendre le printemps prochain pour espérer que les stocks se reconstituent.
Les ruches sont en phase d'hivernage, les couvains sont très beaux et les ruches pleines de miel.
Ce couvain va permettre de constituer les abeilles d'hiver capables de vivre 3 mois contrairement à celle de saison qui ne vivent en moyenne que deux fois moins.
Le butinage de la belle saison épuise beaucoup plus que l'activité de maintien au chaud de la ruche durant les mois difficiles.
Pour leur stock de miel malgré leur transhumance sur la lavande, les automnes de plus en plus chauds ont tendance à diminuer considérablement leur stock.
Mais cette année la fleur de la renoué du japon semble avoir donnée un super coup de pouce avant l'hiver.
Ce miel qui n'est pas récoltable car nécessaire à leur hivernage, est très sombre et d'un gout plutôt relevé.
Bonne semaine à tous.

Le rucher du Roussillon

Son rucher est situé sur les bocages vallonnés du Roussillon, une zone peu cultivée avec principalement des prairies et des bois.
Cet environnement de collines riches en arbres mellifères lui permet de récolter du miel de printemps, de châtaignier, d'acacia parfois ou encore de tilleul.
Cette diversité permet d’offrir des couleurs, des saveurs et des textures très diversifiées.
Elle permet de proposer à chacun ou à chaque instant de dégustation, un plaisir différent.
Dans une volonté d’une production de proximité, ses miels sont récoltés principalement dans une zone située à moins de 10 km à vol d’abeille de la miellerie.
Les ruches sont transhumées en fin de saison sur des secteurs d'altitude proche comme les monts du Pilat ou le Diois.
En plein été, le Roussillon n'offrant que très peu de ressources, cette transhumance permet de ne pas avoir à nourrir les ruches et les jeunes colonies en fin d’année.
Cela leur assure des réserves importantes et parfois une récolte de miel de lavande ou de miellat de sapin.
L'apiculteur : David GIRAUD

J'ai commencé l'apiculture il y une petite dizaine d'année, je suis passé de trois ruches à une centaine de ruches réparties sur 5 ruchers.
Je suis apiculteur amateur semi-professionnel, je n'arrive pas encore à vivre de mon activité apicole, je suis donc pluriactif (pisteur de ski de fond, accompagnateur moyenne montagne, vendeur conseil en magasin espaces verts).
Pour la formation, je suis autodidacte, je me suis construit en discutant avec les anciens et en dévorant des livres, j'ai commencé avec de petits moyens et j'ai eu le temps d'apprendre de mes erreurs et de mes expériences.
Cette vocation pour l'apiculture découle de plusieurs passions qui s'entremêlent (la botanique, l'ornithologie, l'enthomologie), de plusieurs rencontres essentielles comme "Pierrot" un de mes mentors ou "Gael" mon copain de longue date avec qui j'ai commencé cette aventure (merci à vous), et enfin d'une envie très grande d'être en adéquation avec le monde naturel du vivant qui m'entoure tout en respectant les autres. Je voudrais à présent essayer de vivre de ma passion modestement en aidant la planète et en considérant à égal son prochain. C’est pour cela que je me suis lancé dans l’aventure Un Toit Pour Les Abeilles.
Nouvelles printanières
Chères marraines, chers parrains,
Si les hommes aiment les hivers doux et ensoleillés pour manger au balcon, pour les abeilles c’est loin d’être l’idéal.
La visite des ruchers en sortie d’hiver n’a pas été source de bonnes nouvelles.
De nombreuses colonies étaient soit extrêmement faibles, soit carrément décimées.
Les pertes de cet hiver 2020 s’élèvent à 40% environ, un triste hiver pour les Happykulteurs.
La grande majorité ne manquait pourtant pas de nourriture, les cadres de réserve étaient souvent encore garnis de miel.
Il est fort probable que l’hiver très doux et très ensoleillé que nous avons eu dans notre région en soit une des raisons.
Les ouvrières, au lieu de rester confinées (!) dans la ruche en attendant calmement le début du printemps et ses premières floraisons, sont sorties beaucoup plus tôt que d’habitude.
Or en janvier et février, même s’il faisait relativement chaud et beau, la nature était encore endormie et les fleurs n’étaient pas encore sorties.
Beaucoup d’ouvrières se sont donc épuisées à chercher des ressources en nectar et en pollen.
Elles se sont ainsi retrouvées trop peu nombreuses pour relancer la colonie efficacement.
Qu’à cela ne tienne ! Le travail des mois de mars et avril a donc consisté à reconstituer les colonies du rucher.
C’est-à-dire à renforcer les colonies les plus faibles et à diviser les colonies les plus fortes pour en créer de nouvelles (faire naitre une nouvelle reine).
Aujourd’hui, fin avril, grâce à un gros travail de division et de répartition, les ruchers sont « en forme ».
Le grand soleil de ce début de printemps a été très favorable et a permis des belles floraisons avec beaucoup de nectar et de pollen.
Au rucher des Iles, les cerisiers et les pissenlits constituent une précieuse ressource pour le développement des colonies.
Le rucher de la Pierre, plus haut en altitude, met un peu plus de temps à se remettre de ces pertes hivernales.
Mais la nature est bien faite et la vie l’emporte toujours, ce n’est qu’une question de temps avant que les hausses à miel se remplissent de bon nectar.
L’happykulteur veille sur ses avettes.
Prenez soin de vous, nous on s'occupe des abeilles :)
David et Coralie

Le Rucher de la Pierre

Le rucher se situe sur une friche sauvage avec un jardin potager et des arbres fruitiers, d'orientation plein sud ou sur l'adret pour les puristes avec une terre assez pauvre et caillouteuse plutôt calcaire.
Ce terrain se situe à 500m d'altitude, entouré de quelques pâturages avec pissenlits, primevères, pâquerettes et autres trèfles. Il est bordé en aval d'une belle petite rivière " la Morge" avec ses zones inondables de roseaux et ses peupliers, et en amont d'une forêt de feuillus avec érables, chênes, châtaigniers, tilleuls, merisiers, aubépines.
Le panorama sur la montagne de la " Grande Sure " environ 2000m d'altitude est magnifique.
J’y récolte du miel du Massif de Chartreuse, miel toutes fleurs forestier de moyenne montagnes -Notes marquées de châtaignier et plus subtil de tilleuls - Saveur boisée, caramélisée et fumée, fruits confits - un miel assez fort en bouche de couleur foncé - Médaille d'Or 2015 et de Bronze 2017 concours bisannuel du Syndicat Apicole Dauphinois.
L'apiculteur : Delphine et Stéphane ROBERT

Nous sommes Delphine et Stéphane, apiculteurs à Saint-Sauves d'Auvergne.
Notre exploitation se situe près du Sancy, où nous nous occupons de nos abeilles de génération en génération,
avec passion dans une nature sauvage et préservée, depuis près de 75 ans…
Moi, Delphine, je suis presque née au milieu des abeilles.
J'ai travaillé sur l'exploitation familiale pendant presque toutes les vacances scolaires, jusqu'à la fin de mes études de comptabilité,
secteur où j'ai travaillé pendant 15 ans.
J'ai été amenée à retravailler sur l'exploitation familiale pour prêter main forte à ma famille à la suite de l'accident de ma sœur en 2016.
Mon mari, Stéphane a été licencié de son poste de technicien d'une grande entreprise en 2017,
nous avons alors décidé de tenter l'aventure en apiculture...
La formation pour nous deux s'est donc faite par transmission du savoir-faire familial.
Nous nous sommes installés apiculteurs professionnels en 2019, nous avons repris 200 ruches de
Nous pratiquons une apiculture raisonnée, comme le fait notre famille depuis des décennies.
Nos ruches, cadres et hausses sont fabriquées depuis toujours avec le bois de nos forêts, où se situe l'exploitation.
Le bois de nos ruches est trempé à l'huile de lin. Les feuilles de cire, utilisées pour nos cadres sont gaufrées par nos soins.
Nous utilisons notre propre cire, qui provient des opercules de l'année récupérées après l'extraction du miel.
Nous utilisons seulement les traitements autorisés en agriculture biologique pour soigner nos abeilles.
A terme, nous demanderons probablement la certification en agriculture biologique.
Nous prévoyons de maintenir notre cheptel autour de 200 ruches.
Nous aimons faire décourir notre beau métier au contact de la nature, notre belle région,
le délicieux miel produit par nos abeilles et pérénniser notre activité d'apiculture.
C'est le printemps!
En Auvergne, le printemps est arrivé tranquillement.
Les quelques jours de beau temps ont permis aux colonies en montagne, de se développer et de ramasser un peu de miel de pissenlit.
Pour ce miel-ci, le temps de la récolte est venu, à moins qu'une météo défavorable oblige les abeilles à tout consommer.
Dés que le soleil apparaît, nos petites abeilles s'activent, les plus jeunes sont pressées de sortir de la ruche.
La saison de l'essaimage bat son plein.
Nous devons surveiller attentivement nos ruchers...

Le Rucher Apisancy

L'exploitation familiale située à Saint-Sauves dans la Haute Vallée de la Dordogne, dans le parc naturel régional des volcans d'Auvergne;
où nous produisons l'essentiel de nos miels (Pissenlit, Montagne, Trèfle, Framboisier, Forêt et Sapin) selon les saisons et les emplacements.
Tous nos ruchers sont situés dans le Puy de Dôme, nous vendons uniquement le miel produit par nos ruches.
L'extraction est réalisée à froid, puis le miel est mis en pot dès la récolte.
Cristallisé naturellement quelques semaines après la récolte et non chauffé,
notre miel conserve toutes ses qualités nutritionnelles; il devient crémeux, facile à tartiner.
Actuellement nous avons 170 ruches, ce sont des ruches Langstroth,
Nous produisons essentiellement du miel de montagne, puisque la plupart de nos ruches sont situées à Saint-Sauves d'Auvergne à 850m d'altitude.
En fonction de la météo, au printemps nous produisons du miel de pissenlit,
en été ce sera du miel de fleurs sauvages (framboisier, trèfle, ronces...) ou du miel de forêt comme le sapin.
L'apiculteur : Camille DUBRAY

J’ai cueilli mes premiers essaims d’abeilles en 2013.
J’avais envie par curiosité, de m’occuper d’abeilles et de mieux les comprendre.
J’avais aussi envie de m’investir dans une activité qui avait du sens pour moi.
Passionné et autodidacte, j’ai appris grâce aux livres et principalement en ouvrant mes propres ruches énormément à mes débuts.
Je me suis aussi formé auprès d’amis apiculteurs professionnels pour les gestes spécifiques ou techniques.
Enfin, je me suis spécialisé dans le sanitaire et les maladies des abeilles en 2018 en devenant technicien sanitaire apicole.
Je trouve que la cueillette crée un joli lien avec l’essaim.
On va le chercher quelque part, bien souvent on le sauve car peu de gens se déplace pour cueillir et les particuliers sont souvent démunis ;
On le soigne, on en prend soin, puis on l’installe dans le rucher.
Chaque ruche a un peu sa propre histoire.
J’ai ainsi développé un cheptel constitué uniquement d’essaims sauvages issus de la cueillette entre 2013 et 2018
en passant tout en douceur de 4 essaims cueillis en 2013 à 24 colonies en 2014, puis à 60 en 2015 puis à 100, 120, puis 160 colonies d’abeilles en 2018.
C’est cette année-là que j’ai commencé à gagner ma vie grâce à l’apiculture, et ce sans jamais avoir acheté d’essaim d’abeille.
Comme mes abeilles sont issues de la cueillette, j’ai principalement de l’abeille noire dans mes ruches.
Je travaille avec des ruches de type dadant qui me semblent mieux adaptées aux contraintes modernes de l’abeille.
Je compte augmenter doucement mon cheptel pour atteindre les 200 ruches (statut paysan).
Je n’en veux pas plus car il me semble plus difficile de bien s’en occuper si on en a plus.
Je suis ravi d’avoir pu intégrer Un Toit Pour Les Abeilles.
Cela représente une opportunité pour moi de m’assurer qu’une partie de ma production sera vendue au sein d’un projet porteur pour l’abeille,
et de surcroît à un tarif convenable pour l’apiculteur.
Ça me permet aussi de dégager plus de temps au rucher à m’occuper des abeilles. C’est une chance pour moi car je suis passionné par les abeilles
et je préfère nettement le temps passé au rucher à celui passé à la commercialisation.
Même s’il faut bien gagner sa vie, les abeilles restent toujours la priorité dans notre métier.
C’est aussi stimulant d’intégrer des projets plus vastes que son petit projet à soi de sauvegarde de l’abeille.
bilan de la saison
Chers Parrains,
C’est toujours un soulagement quand la partie intense de la saison de production de miel prend fin.
Le corps et l’esprit peuvent se reposer et c’est justement en se posant que l’on prend conscience de la fatigue physique et morale accumulée.
Si on peut se reposer, c’est que les abeilles se portent bien.
Les réserves accumulées, ajoutées à la miellée de lierre qui va venir seront largement suffisantes pour assurer un bon hivernage.
Les ruches malades ou bien présentant un état sanitaire préoccupant ont été visitées, soignées, renforcées.
Si nécessaire, la reine a été changée afin de partir sur une meilleure génétique en ce qui concerne la propreté et donc la gestion des agents pathogènes de la ruche.
Le bilan de la saison est assez mitigé.
Le printemps a été très beau au démarrage, initiant une forte fièvre d’essaimage.
C’est à dire que la plupart des essaims cherchaient à se diviser en deux et à s’envoler… cela a occasionné deux semaines de travail très intense pour limiter l’essaimage.
Les miellées estivales ont été correctes dans l’ensemble.
Depuis 2 ou 3 ans, la canicule s’installe de façon plus régulière et les abeilles peinent à trouver de l’eau afin de boire et de refroidir la température à l’intérieur de la ruche.
Les miellées sont moins prolifiques, le manque de pluie amène les plantes à produire moins de nectar et à garder leur eau pour leur survie.
Enfin, le paysage est fortement affecté, brûlé, morne.
Le travail au rucher gagne fortement en pénibilité.
L’apiculteur se retrouve rapidement en nage, les courbatures sont plus fortes le soir de part la perte d’eau et on a parfois une envie impérieuse de se mettre à l’ombre et de ne plus revenir au soleil.
Merci pour le soutien que vous apportez aux abeilles à travers votre parrainage.
Camille Dubray.

Le rucher de Mirmande

Je m’occupe de 160 colonies installées tout près de chez moi.
La plupart de mes ruchers sont fixes, c’est à dire que les abeilles ne se déplacent pas.
Je transhume deux d’entre eux au milieu des champs de lavande (20 kilomètres) et des forêts de châtaigniers (40 kilomètres) chaque année.
Autour de chez moi, on trouve pas mal de fruitiers qui assurent bien le début de saison, des prairies en jachère des phacélies ou encore de la luzerne.
Il y aussi beaucoup de pruniers sauvages en forêt, de ronce, d’aubépine, de nombreux acacia, du tilleul.
L'apiculteur : Sébastien GUILLIER

Installé apiculteur professionnel en conventionnel depuis 20 ans, j’ai commencé en tant qu’amateur à l’âge de 10 ans avec mon père qui m’a transmis le virus de l’apiculture… Depuis, je ne les quitte plus mes petites abeilles.
Après quelques déboires qui m’ont beaucoup attristé (notamment la perte de 300 colonies en 2007, l’une des pires années apicoles), je fais vivre mes 150 ruches de type Dadant en 10 cadres avec une vraie passion !
Mes abeilles me le rendent bien avec des miels primés dans de nombreux concours départementaux, nationaux mais aussi européens.
Je fabrique aussi des pains d’épices, des bonbons au miel et des figurines en cire d’abeilles que l’on trouve dans mon petit magasin de POMOY.
J’aimerais avoir environ 100 colonies supplémentaires pour pouvoir vivre de ma passion ! Allez n’hésitez pas à me soutenir en parrainant des ruches sur mon rucher !
Portes ouvertes chez Sébastien
Bonjour,
Votre apiculteur Sébastien ouvre ses portes ce week-end.
L'occasion d'aller à sa recontre et de découvrir son métier, ses abeilles.
Pour en savoir plus :
Journée du 22 juillet :
Journée du 23 juillet :
Nous comptons sur vous pour venir nombreux !

Le rucher de Pomoy

Les ruches sont installées au centre de la Haute-Saône entre plaines et massifs forestiers.
Les abeilles y sont particulièrement bien et elles y produisent plusieurs sortes de miels…
Du miel de Fleurs de Printemps, d’Acacia, ou encore du miel de Tilleul et de Fleurs d’Eté.
Plusieurs emplacements sont disposés à cet effet autour du petit village de POMOY où se situe le rucher, et où il fait bon vivre pour nos précieuses abeilles !
L'apiculteur : Jean-Philippe CALVEZ

J'ai commencé l'apiculture il y a 6 ans avec l'envie d'aider au repeuplement de ruche en Bretagne et de partager ma passion pour les abeilles, et en particulier pour l’abeille noire.
Je me suis donc tourné vers l'élevage de reines afin de pouvoir fournir des essaims d'abeilles noires de qualité.
Mon objectif est de réussir à fournir chaque année un maximum d'essaim d'abeilles et de conseiller au mieux les débutants.
Le parrainage de ruches me permettra de vivre de cette passion qui m’anime et de développer au mieux mon activité d’élevage.
Journée porte ouverte et piège à frelon

L'Abeille Sauvage

Mes ruches sont éloignées des zones de cultures intenses.
La majorité de mes ruchers se trouve proche de la Vallée de Rance.
Les ruches sont entourées par la ronce qui est la fleur dominante, mais on trouvera aussi beaucoup de châtaigner.
Le miel produit par les abeilles est un miel de Ronce avec une touche de châtaigne. Très agréable en bouche…
J'ai actuellement 48 ruches en production répartie sur 7 ruchers différents.
Je travaille dans le respect de l'abeille noire avec différents types ruches principalement de la Dadant, mais aussi quelques Warré, et une kenyane.
Tout est dit, j’espère que vous serez nombreux à me soutenir dans cette belle aventure.
L'apiculteur : Cyrille ANCERY

Je m'appelle Cyrille. J'ai 29 ans.
Malgré mon jeune âge, je suis apiculteur depuis quelques années déjà.
Mon exploitation comporte environ 150 colonies. Les abeilles avec lesquelles je travaille sont adaptées à l’environnement naturel berrichon. Elles sont particulièrement douces et j’ai plaisir à travailler avec elles au quotidien en toute confiance.
Mes ruches sont "Dadant". Bien que je ne sois pas labellisé bio, ma démarche est très respectueuse de l’abeille. Plus que cela, je veux montrer que l'on peut collaborer avec le monde agricole et ainsi s'inscrire dans une démarche de respect mutuel entre "apiculteurs" et "agriculteurs".
Ainsi, j’installe, en accord avec des agriculteurs des colonies sur des champs de cultures non traités. Cette opération a pour objectif de créer un rapport "donnant donnant", avec les agriculteurs et de faire doucement évoluer les pratiques agricoles pour tendre vers une pratique plus vertueuse et respectueuse de notre environnement. Tout naturellement, j’ai souhaité rejoindre le réseau d’apiculteurs Un toit pour les abeilles pour proposer mes ruches en parrainage et créer ainsi un véritable cercle vertueux entre les abeilles, la filière et vous, parrains des ruches…
Merci de votre soutien
Chers Parrains,
La saison apicole arrive sur l'été, c'est une période pour nous un peu plus calme et l'occasion de vous donner quelques nouvelles.
Les abeilles ont bien travaillé depuis le printemps et nous avons la chance d'avoir des colonies en très bonne forme.
La météo n'a pas toujours été des plus favorables mais nous avons cependant quand même profité de belles périodes pour que nos chères abeilles travaillent pour se développer et récolter le fameux nectar.
Les tournesols sont en fleurs, c'est pour elles les dernières grandes floraisons sur lesquelles elles pourront travailler avant une fin de saison approchant.
Nous vous remercions encore beaucoup pour votre soutien et avons hâte de vous retrouver bientôt avec le précieux sésame qu'auront récolté nos chères abeilles.
Bel été à vous tous,
Cyrille

Les ruches du Berry

Mon exploitation est basée dans le BERRY, dans le département du Cher (18140) entre Sancerre et le Val de Loire.
J'ai la chance de pouvoir profiter d'une flore très diversifiée et ainsi pouvoir récolter divers miels.
Je récolte notamment un miel crémeux de Printemps. Je récolte aussi du miel d'Aubépines, de l'Acacia, du miel d'Eté, ou encore du Forêt et du Tournesol. Plus original encore, je récolte du miel de Carotte :-)
L'apiculteur : Benjamin BUREAU

Benjamin est un jeune apiculteur "Piqué" par les abeilles en 2014 grâce à un ami.
Il a désormais l'envie que cette belle activité qui est aujourd’hui une passion, prenne de plus en plus de place dans sa vie.
En reconversion professionnelle, Benjamin a exercé 10 ans dans le tourisme d’affaires, puis à souhaité s'orienter vers une activité plus proche de la nature et de ses valeurs.
Il a obtenu en 2015 son Brevet Professionnel d'Exploitation Agricole en apiculture et souhaite développer chaque année son cheptel pour s’installer en tant que professionnel d'ici quelques années (125 ruches en Corse).
Son objectif est principalement de faire de l'élevage de reines et la création d'essaim pour développer son cheptel.
Il dispose aujourd'hui de 80 ruches peuplées d'abeilles noires d'écotype Corse, qui s'épanouissent sur les maquis de Haute Corse.
Il construit lui-même ses ruches et hausses à miel et fabrique une peinture écologique à base de farine dit "suédoise" pour protéger ses ruches.
Nouvelles d'été




Le rucher de Castellaccia

Ses ruches sont situées à une vingtaine de km au sud du Bastia au coeur du Maquis.
La nature y est généreuse et ses abeilles ont un terrain de jeu exceptionnel pour butiner toute l'année.
Les miels corses sont issus de fleurs sauvages et spontanées en grande majorité.
Le maquis tout proche est riche en bruyère, romarin, thym, asphodèle...et permet de produire de beaux miels de printemps.
Vers mi juin, certaines ruches sont transhumées sous des chataigneraies de Haute Corse pour y produire un miel ambré et typé qu'est le miel de chataîgnier.
A la fin de l'été, elles descendent un peu plus en plaine pour y produire un miellat de metcalfa: un miel foncé, caramélisé aux arômes de fruits murs, réglisse ou encore caramel.
Enfin, à l'automne, les arbousiers fleurissent et leur assurent de bonnes réserves pour l'hiver.
Selon les récoltes qui dépendent de l'abondance des floraisons, Benjamin vous proposera un assortiment de miel de printemps, miel de chataîgnier, miellat de maquis plutôt "corsé", et/ou metcafla.
Benjamin est adhérant du Syndicat AOP Miel de Corse, et ses miels ont donc le label "AOP Miel de Corse".
Ce label de qualité impose à l'apiculteur un cahier des charges précis et exigeant, assurant au consommateur un produit d'exception.
L'apiculteur : Justine HENNION

Installée en couple depuis 2017, avec 300 ruches à bichonner !
Justine tient sa passion pour l'apiculture de son père Yvan, passionné par les abeilles qui lui a transmis son savoir.
C'est en 2012 qu'elle a rejoint la ruche en se spécialisant dans l'élevage des reines.
Florian, son compagnon a lui aussi été piqué par les abeilles, il était paysagiste mais il se consacre maintenant à temps plein pour les abeilles.
Originaire du Nord, en quête de nature et d'une vie plus "simple" nous avons emménagé en Correze en 2021.
Point de la saison
Cette année fut une année riche en émotion, nous avons eu une petite fille Isalyne, qui est née début avril. Elle est arrivée en même temps que les abeilles.
Florian a donc du gérer l'ensemble des colonies seul, pour le début de saison.
Nous avons été épaulé par Nadine qui est une apicultrice en reconversion, elle souhaite s'installer par la suite en apiculture.
L'année fut plutôt bonne, un printemps mitigé mais les abeilles ont pu se rattraper pendant l'été.
Les colonies sont prêtes à passer l'hiver, elles devraient rentrer un peu de nectar de lierre sur les prochains jours afin de constituer quelques réserves pour l'hiver.
Justine

Le rucher de Senlis

Elles sont réparties sur plusieurs ruchers essentiellement dans le département de la Corrèze .
Nos ruchers sont toujours disposés proches ou dans la forêt afin que nos abeilles aient un bol alimentaire riche et varrié
Les abeilles y produisent du miel toutes fleurs.
Nous avons une miellerie, où est extrait et conditionné le miel.
L'apiculteur : Rémi FELICIANNE

J’ai été apiculteur amateur pendant 10 ans, puis je suis passé professionnel en 2017.
J'ai une formation d'éducateur environnement. Je suis également diplômé de l'école d'apiculture de Vesoul, et suis formé à la production de gelée royale.
J'ai effectué mon stage chez Philippe KINDTS, dans le Gers, lui-même déjà apiculteur du réseau Un toit pour les abeilles.
Il m’a beaucoup aidé dans mon orientation vers l’apiculture professionnelle.
J'ai commencé avec 2 ruches au fond de mon jardin grâce à un ami qui m'a montré les premiers gestes en apiculture.
J'ai ensuite augmenté mon cheptel très rapidement, et je possède aujourd’hui une centaine de ruches notamment de race Buckfast et de l'abeille noire.
Je suis en conversion bio et dès 2019, ma production sera labellisée !
J'ai travaillé pendant huit ans pour une enseigne BIO. C’est pour cela que j'ai une sensibilité particulière pour l'agriculture biologique, et que naturellement mes ruches sont élevées selon ce mode.
J’ai souhaité tout naturellement rejoindre Un toit pour les abeilles, parce que j’ai envie de vous partager ma passion et vous faire découvrir notre univers, tout en protégeant nos précieuses abeilles.
J’ai même transmis le virus des abeilles à mon beau-frère, Frédéric, qui m’épaule aujourd’hui dans mon activité !
Saison 2023
Nous avons débuté la saison avec un taux de perte hivernale assez faible, 15 % environ. L'objectif étant d'approcher les 5 % qui représente le pourcentage de mort naturelle des colonies.
Un début de saison plutôt encourageant...
Les différents Miels
Colza :
Nous avons commencé la saison par le miel de Colza à proximité de l'exploitation. Il y a autour de chez nous, des champs de Colza semences (pour la graine) ou conso (pour l'huile) qui nous permettent de produire le premier miel de printemps.
Acacia :
Cette année les acacias nous ont offert un peu de leur nectar. Cela nous a permis de produire une petite quantité de ce miel doux et très recherché par les consommateurs
Châtaignier :
Début juin sonne le moment de la transhumance vers le châtaignier en Dordogne. C'est l'un de nos plus gros déplacements, environ 1h 30 de route pour se rendre sur place.
Tilleul :
Cette année et pour la première fois nous avons trouvé un emplacement pour le Tilleul. Nous y avons donc porté une douzaine de ruches pour faire un test. Le test ayant été concluant, nous pouvons proposer à nos clients un miel au goût mentholé très original.
Miel de Carotte :
Nous avons lors d'un contrat de pollinisation pour la carotte semences, apporté une trentaine de ruches. Les inflorescences de carottes ont permis la production d'un miel orangé au goût végétal.
Miel d'été :
C'est notre dernière miellée. Elle est bien souvent abondante et nous permet de proposer toute l'année ce miel très jaune et qui cristallise durement. C'est le miel que nous vendons les plus, notre best seller...
La pollinisation :
Cette année encore nous avons eu des contrats de pollinisation pour le colza semence environs 120 colonies. Ensuite nous avons porté une trentaines de colonies pour la pollinisation de la carotte.
Et cette année une nouveauté pour la pollinisation du chicon, une petite fleur violette qui fleuri principalement le matin.
Ces contrats de pollinisation sont importants pour les agriculteurs, afin d'augmenter la quantité et la qualité de la graine. C’est aussi important pour nous apiculteurs, car ce service nous apporte une rémunération complémentaire.
La commercialisation :
Nous effectuons 90 % de notre commercialisation en vente directe sur les marchés de plein vent de notre région :
les vendredis à Lectoure (32) et Aiguillon (47)
les samedis matin à Nérac (47) et Astaffort (47)
La saison n'est pas encore terminée.
Il nous reste à faire les traitements anti Varroas (parasite de l'abeille), préparer nos ruches pour l'hivernage et bien sûr préparer le miel pour nos parrains d'Un Toit Pour Les Abeilles.
Merci pour votre soutien !
Frédéric et Rémi

Les ruchers de Fely

Le rucher se situe à Astaffort, un petit village du Lot et Garonne pas tellement connu pour son miel, pourtant très savoureux, mais surtout pour être le village natal de Francis Cabrel, un enfant du village qui habite toujours sur la commune.
Nous avons la chance, Frédéric et moi, d’adoucir la voix du chanteur grâce à notre miel justement…
La région Astaffortaise est une région de polycultures élevages. Le paysage est essentiellement agricole et vallonné, un mélange de cultures et de prairies. Quelques bois matérialisent le haut des collines.
Aujourd'hui j'ai à peu près une centaine de ruches dites « Dadant », transhumantes et sédentaires.
Je transhume essentiellement pour l'acacia en bordure des Landes de Gascogne, et pour le châtaignier en Dordogne.
Nous produisons ainsi différentes variétés de miel : Fleurs de Printemps, Fleurs d’Eté, Acacia ou encore Châtaignier…
Nous produisons aussi du pollen, de la propolis, du pain d’épices, différentes préparations à base de miel.
L'apiculteur : Clément LEROY

Je m’appelle Clément. Je suis apiculteur récoltant par passion installé à Poitiers.
C'est au printemps 2015 que j'ai fait l'acquisition auprès d'un apiculteur en Vienne de mes trois premières ruches.
Après plusieurs années de travail, de rencontre et de pratique, mon expérience apicole m'a amené
à devenir le gardien d'une cinquantaine de colonies.
La saison touche à sa fin
Bonjour à tous,
je me permet de prendre le temps de vous écrire quelques mots en cette fin de saison.
Dans quelques jours ce fera, pour moi, la dernière récolte de l’année : la récolte du miel de Sarrasin.
.
Comme chaque année à cette période, Vespa Velutina vient par dizaines voir par centaines se nourrir sur les ruchers.
Ce qui n’est pas sans dommage pour les colonies qui stressant devant la prédation de ces insectes, restent cloîtrées dans la ruche : négligeant de récolter le nectar et le pollen nécessaire à l’élevage des futures abeilles qui
auront pour rôle de maintenir la colonie en vie cette hiver.
La somme des récoltes effectuées sur cette saison en fait une année se plaçant dans la moyenne.
Pour moi, cette moyenne est au alentour de 35 kg de miel par ruche.
Malheureusement le marché du miel est en chute cette année… alors n’hésitez surtout pas…. CONSOMMEZ ET OFFREZ du miel ;)
La grande nouveauté de cette année a été pour moi le lancement de mon atelier gelée royale qui s’est montré très enrichissant dans l’apprentissage de ces techniques de production.
Des projets sont encore à faire mais ce nouvel atelier me dynamise énormément pour mes projets à venir.
C’est avec grand plaisir que vous montrerai cette récolte si particulière lors d’une de vos venues.
En attendant il va être temps pour les abeilles et pour l’apiculteur de prendre un peu de repos.
Au plaisir,
Clément

Le rucher du Porteau

Les colonies des « Prés Leroy » sont actuellement réparties en trois ruchers :
un rucher mobile, un rucher en sud Deux-Sèvres sur un terrain de 2,5 hectares acquis et reboisé de 1600 arbres et arbustes en 2018
et un rucher niché dans les falaises de Poitiers offrant la vallée du Clain en espace de butinage.
Ces trois ruchers me permettent actuellement de pouvoir récolter sept miels différents :
printemps, colza, acacia, châtaignier, fleurs, crémeux et tournesol).
Grâce au soutien des parrains « Un Toit Pour Les Abeilles », je souhaite pouvoir développer dans de bonnes conditions le nombre de
ruches et continuer à créer de nouveaux espaces de butinage et de biodiversité dans ma région.
L'apiculteur : Grégoire HEINRICH

Grégoire est un jeune apiculteur qui habite à Toulouse.
Il a augmenté son nombre de ruches après en avoir acheté 35 l'hiver dernier.
Une partie de la saison a consisté à créer d'autres colonies pour habiter ces nouvelles maisons.
Il a donc divisé toutes les colonies qui lui restaient au printemps.
Il a fini l'année 2017 avec 70 colonies, en progression par rapport aux années précédentes.
Son prochain objectif est d'arriver à 100 ruches, que toutes ces caisses soient remplies de manière constante, peut-être en 2018, avec la volonté de s'occuper après, au mieux de ces colonies.
Il a aujourd'hui plus de colonies en hivernage et relativement belles.
Ce qui laisse présager du meilleur pour la saison prochaine.
Ma porte ouverte
Bonjour,
Je vous invite Samedi 30 Septembre à venir me rencontrer ainsi que mes abeilles à Lavaur.
Je vous espère nombreux !
- pour voir le programme et s'inscrire c'est ici
J'espère (sauf si la météo n'est pas avec nous), que cet évènement sera un moment de partage et que je pourrai compter sur la présence des parrains.
Grégoire

Le rucher de Castelnaudary
Le rucher est situé sur la commune de Castelnaudary, proche de la Montagne Noire...
Les abeilles sont heureuses sur le rucher.
Elles peuvent apprécier une belle diversité florale, offrant des nectars et pollens variés.
Parmi les floraisons nombreuses, tout au long de l'année, celle de colza, d'aubépines, de carottes, d'oignons...
On y récolte aussi un savoureux miellat et du tournesol...
L'apiculteur : Osama AHLASA

Je n’ai jamais su vivre sans la nature et je n’ai jamais su me contenter d’une seule activité.
En Libye, ma famille a une exploitation maraîchère dans les montagnes et c’est là que mon intérêt pour le monde fascinant des abeilles est né.
En 2016 j’ai installé une vingtaine de ruchettes près de Tripoli et j'ai récolté une centaine de kilos de miel.
Je pouvais rester à observer les essaims pendant des heures pour mieux en comprendre l’organisation.
Rapidement, en France, alors que je n’étais encore que demandeur d’asile, à ma demande,
j’ai été mis en contact avec des apiculteurs du Tarn et autorisé à me rendre sur leur rucher pour comprendre et connaître la manière de travailler des apiculteurs français.
Ceux-ci ont eu la gentillesse de mettre deux ruches à ma disposition et dès ma première saison, j’ai extrait environ 50 kilos de miel de ces deux ruches.
M’occuper de ces ruches a été d’un grand secours moral pendant cette période difficile et récolter ce miel, une grande fierté.
J’étais surtout un activiste médiatique pacifiste luttant pour la cause du peuple Amazigh (berbère) victime d’oppression.
Ce sont les persécutions subies et liées à cette activité qui me valent d’être dorénavant en France avec ma petite famille.
C'est l'été
Ce printemps a été un défi en raison des conditions météorologiques défavorables et du comportement inhabituel de nos abeilles.
Les abeilles se sont réveillées de l'hiver en pleine forme, prêtes à profiter de la floraison printanière.
Cependant, la météo capricieuse et l'essaimage fréquent ont limité leur capacité à collecter du nectar et ont ainsi impacté notre production de miel.
Cependant, nous sommes optimistes pour l'été à venir.
Nous espérons que les conditions météorologiques seront plus clémentes et permettront à nos abeilles de butiner efficacement.
Chaque nouvelle journée apporte une promesse de nectar, et nous nous réjouissons à l'idée de la belle récolte de miel à venir.
Nos abeilles sont infatigables, et malgré les défis, elles continuent à nous émerveiller par leur dévouement et leur rôle essentiel dans notre écosystème.

Le Rucher Terre d'Accueil

J'ai 22 ruches dadant et 4 ruchettes à aujourd’hui.
Elles sont situées dans quatre ruchers différents dont trois à Rabastens et un à Couffouleux.
Les récoltes espérées sont du miel de printemps, du miel toutes fleurs et du miel de tournesol.
L'apiculteur : David et Karine DEVERGNE

Karine et David sont deux jeunes apiculteurs passionnés, ils s' inspirent de la méthode de conduite de rucher du frère Adam.
En février 2011, ils ont créé leur entreprise apicole dont le siège est situé ur la commune de Maulévrier (49) dans le Maine et Loire, juste en face du lac de Ribou, à proximité de Cholet (zone sensible protégée du captage d'eau de la région Choletaise).
Du fait que le siège soit dans ce périmètre protégé et que ses pratiques respectent le cahier des charges de l'apiculture biologique, ils bénéficieront prochainement du label agriculture biologique.
Le rucher a pour nom les Abeillers du Lac de Ribou.
En mai 2011, ils ont vu leur cheptel augmenter de 200 essaims et sont alors devenus apiculteurs professionnels.
Un bilan 2022 somme toute positif
La saison apicole 2022 a été une année extrêmement particulière compte tenu des conditions climatiques.
Il a fallu apporter des réserves d'eau près des ruchers car les abeilles ont recherché l'eau en permanence compte tenu des chaleurs excessives.
Nous avons réussi à faire du miel de fleurs ainsi que du miel de forêt.
Nous pensons que la récolte a été bonne compte tenu des conditions climatiques défavorables.
Nous avons eu beaucoup de chance contrairement à d'autres collègues car nous avons bénéficié d'orages qui ont été accompagnés de grosses pluies ce qui a favorisé la miellée de la fleur de ronce.
Les abeilles semblent en bonne santé malgré des attaques persistantes des frelons asiatiques. Sur certains ruchers nous avons été obligés de déplacer les ruches car il y avait beaucoup trop d'attaques de frelons.
Les colonies semblent en bonne santé et populeuses, nous verrons cela à la sortie de l'hiver si notre diagnostic a été bon.
Nous remercions l'ensemble des parents particuliers et entreprises de nous soutenir dans notre activité ainsi qu'Un Toit Pour Les Abeilles qui a toujours été présente dans les coups durs.
David et karine

Le rucher de Ribou

On peut y récolter un miel toutes fleurs de prairie, du miel d'acacia, de tilleul, de châtaignier, de ronce.
Ils vont également développer la vente de propolis ainsi que la fabrication de pains d'épices maison.
Les abeilles à parrainer dont de race Buckfast et d'une lignée certifiée que seul Dominique Froux, apiculteur professionnel ayant collaboré avec un grand maître de l’apiculture (le frère Adam à l’abbaye de Buckfast en Angleterre) et qui a développé cette abeille d’élevage douce et productive, peut prétendre en France.
L'apiculteur : Emilien CAMIADE

Je m'appelle Emilien et j'ai 24 ans.
J'ai commencé par suivre des études en génie mécanique mais ce que je désirais vraiment, c'est être indépendant en travaillant avec le vivant à l'extérieur avec l'espoir que cela puisse être utile à la société.
J'ai alors découvert l'apiculture et le monde fascinant des abeilles dont je suis tombé amoureux.
J'ai eu la chance de travailler deux saisons chez des apiculteurs expérimentés qui m'ont formé notamment à la production de gelée royale.
C'est une activité technique qui demande de l'observation, de la patience et beaucoup de minutie.
Aujourd´hui, me voici apiculteur professionnel spécialisé en production de gelée royale et c'est une grande joie.
Le choix du bio fait parti d'une cohérence qui s'est imposée naturellement.
les abeilles du printemps
Bonjour marraines, parrains,
Ce début de saison a été marqué par un printemps doux et humide avec deux semaines de retard sur les fleuraisons principales comparé aux année précedentes.
Cela a permis aux colonies de bien se developper grâce une fleuraison plus étalée.
Ainsi, il n ´y a pas eu de ''trou de miellée'' entre la fin des aubepines, fruitiers et le début des ronces, trèfles.
C´est à dire que la disponibilité de nectar, pollen dans la nature a été continue.
De ce fait, je m´apprête à entrer dans la deuxième partie de la saison avec de belles colonies bien en forme. En revanche, l´atlternance de pluie et soleil ces derniers temps à favoriser l´essaimage, la colonie se divise et une partie, avec l´ancienne reine, part dans la nature. Par ce phénomène les colonies qui ont essaimée, affaiblies, produisent moins de miel mais cela contribue à repeupler la nature d´abeilles sauvages.
Par ailleurs, je tiens un compte instagram sur lequel je partage l´actualité des abeilles via des photos et vidéos, nhesitez pas à venir voir, ca vous plaira sans doute.
compte: https://www.instagram.com/royale_abeille/
Merci du soutien !
Emilien

Le rucher de la Futaie

Mon rucher principal est situé sur des terres en bio à l'orée d'une forêt riche en châtaigniers.
Les abeilles profitent au printemps des haies du bocage, prunus, saules marsault, fruitiers, aubépines mais aussi des pissenlits et les trèfles blancs qui abondent les nombreuses prairies autour.
En été, ce sont principalement les châtaigniers, la luzerne et le sarrasin qui fourniront le nectar à l'élaboration des miels.
Le format de mes ruches correspond à une demi ruche dadant classique. Ce petit format se rapproche davantage de ce que les abeilles utilisent dans la nature.
Cela leur demande moins d'espace pour chauffer l'hiver et au printemps, la colonie est plus dynamique.
L'apiculteur : Christophe CARDONA

Christophe Cardona est producteur de miel bio, depuis 2009, à Plan d’Orgon avec 450 ruches.
Il propose différentes sortes de miel (lavande, châtaignier, prairie, garrigues, fleurs, tilleul ).
La récolte se fait essentiellement l'été.
Fils et petits fils de maraîchers, il a eu sa première ruche à 18 ans.
Après avoir été garde d'eau à Plan d'Orgon, il a monté son projet il y a 13 ans et développé ses ruches.
Aujourd’hui à 45 ans, ce qu'il aime le plus dans son métier, c'est d'être dehors, la proximité avec la nature par l'observation des colonies.
Il transhume ses ruches sur la lavande vers Valensole (04), sur le châtaignier vers Lamastre (07) ; le transport s’effectue de nuit, dans un camion ouvert, dans le respect du rythme de l'animal.
Le reste du miel, est produit par ses abeilles à proximité de sa miellerie : Salon de Provence, Orgon, Cabannes, Aureille, dans les Bouches du Rhône.
Le choix du bio s'est fait naturellement, afin d être fidèle au respect de la nature et de l'espèce animale qui animent Christophe depuis toujours.
nouvelles de mai 2023
Bonjour,
Il y a eu des frelons asiatiques qui ont affaibli une trentaine de ruches.
Elles sont mortes dans l'hiver cependant malgrè les frelons,je n'ai eu pas beaucoup de pertes et je suis tombé à 380 ruches, ce qui est convenable en fin d'hiver.
Il faut savoir que l'hiver on peut perdre de 20 à 30 % des ruches, ce qui est une moyenne normale.
En Avril, j'ai introduit des jeunes reines dans les ruches.
Avec tous les essaims de 2023 et les essaims des années antérieures, je suis à environ 500 ruches mais c'est tres fluctuant et on en perd toute la saison et notamment sur la miellée de lavande.
j'ai des emplacements nouveaux pour faire du miel de prairies que je dois tester.
J'ai posé des hausses pour faire du miel de prairie et du miel de garrigue.
J'ai abandonné un rucher sur Eygalieres à 7 km de chez moi car trop de frelons asiatiques et pas assez de nourriture pour les abeilles.
je prépare les ruches pour le miel de lavande qui reste de loin ma récolte principale, j'agrandis les nids de couvain en plaçant des cadres gauffrés neufs, en bordure des cadres contenants des larves d'abeilles. J'ai perdu des essaims boudonneux (sans reine) environ 20.
La transhumance pour la lavande commence début juin, pour lequel je devrais faire 4 ou 5 voyages.
Que la santé soit avec moi.
Au plaisir de vous écrire. merci

Le rucher Plan d'Orgon

Christophe utilise des ruches dites dadant et ses abeilles sont des noires provençales.
Il dispose de plusieurs emplacements ensoleilles, à l'abri du vent dans différents types de végétations telles que les prairies, la garrigue et les fleurs.
Les abeilles y sont la majeure partie de l’année et vont aux floraisons sur la lavande et/ou le châtaignier.
Selon les récoltes, vous pourrez ainsi déguster un miel de lavande, de châtaignier, de garrigue, de tilleul ou encore de prairie.
Que se passe-t-il ce mois-ci sur votre rucher ?
Alors que septembre prend place, nous adressons nos vœux de réussite à nos précieux parrains et marraines pour cette rentrée.
Puissiez-vous aborder cette nouvelle saison avec la même diligence que nos amis les abeilles dans leur ruche.
Que se passe-t-il dans la ruche en septembre ?
Introduction
Alors que le mois de septembre s'installe, la ruche connaît des changements subtils qui marquent la transition vers l'hiver.
Le...