Pfm-solutions

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PFM-Solutions, créée en 2012 appartient aux transporteurs présents dans les différents groupements français EVOLUTRANS, ASTRE, FLO, TRED UNION, A.S.T.R., les transporteurs indépendants mais aussi B2Pweb la bourse de fret.

Sous la bannière PALBANK, nous avons pour objectif de proposer des services économiques pour la gestion des palettes, la mutualisation des collectes : une Economie pour Tous et ceux-ci sont accessibles à tous les acteurs de la Supply Chain.

Aujourd’hui, c’est plus de 420 points de services partout en France, au Benelux, aux Pays-Bas et en Espagne, avec une équipe à votre écoute.

Sous la bannière KeyROAD, nous mettons à disposition une plateforme digitalisée qui simplifie la mise en relation entre tous les professionnels du transport routier pour trouver une solution de dépannage rapide, fiable et économique. .


Voir leur site internet

Aujourd’hui, le monde du transport est attentif à l’environnement. Nos solutions permettent des transferts virtuels de palettes, de réduire les émissions de CO2 en minimisant les trajets. Pour aller plus loin, dans cette prise de conscience écologique, nous sommes partenaires auprès des apiculteurs qui maintiennent un environnement durable et écologique…
Essentiel à la vie sur terre !

Les ruches en images

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L'apiculteur : Pierre Antoine et Mathieu COUVREUR - DECOSTER

UTPLA apiculteur Pierre Antoine et Mathieu COUVREUR - DECOSTER

Nous nous sommes rencontrés (Pierre-Antoine et Mathieu) en 2000 sur les bancs de l’université avant de devenirs amis et créer notre entreprise.
Nous avons tous deux un diplôme d’agronome et avons travaillé dans des secteurs différents avant de se retrouver dix ans plus tard autour d’une passion commune : l’apiculture.
Mathieu : Après mes études en agronomie, j’ai travaillé dans le secteur de l’alimentation animale et me suis beaucoup intéressé à la prévention des maladies dans le cadre de l’élevage.
Une expérience particulièrement importante pour la bonne santé des abeilles pour lesquelles j’ai développé une passion.
Pierre-Antoine : La découverte de l’apiculture s’opère dès l’adolescence pour moi, alors que je commence mon « écolage » auprès d’un ami de la famille qui possède des ruches.
Après quelques mois d’apprentissage, je possédais déjà ma propre colonie. Depuis lors, mon enthousiasme n’a fait que s’accroître au fil des ans.

Notre philosophie
"Beelgium est une entreprise à taille humaine animée par la passion du travail bien fait, toujours dans la bonne humeur. Pour Beelgium, produire du miel n’est pas qu’une question économique mais bien une question écologique. En participant à la bonne santé des colonies d’abeilles en Belgique, on renouvelle le cheptel et on prend soin de notre environnement. Notre objectif ? Produire du miel belge, de qualité, tout en favorisant le soin de notre environnement. "

récolte d'été

Salut à toutes et à tous,

Nous sommes en pleine récolte du miel d'été. Ce ne sera pas une année d'abondance, mais il est délicieux.

Nous avons eu quelques journées bien chaudes qui ont permis aux colonies de rentrer du nectar et du pollen. La saison de production de ces derniers va doucement toucher à sa fin. Nous allons maintenant commencer la production de propolis jusqu'à mi-septembre.

Fin juin, nous avons participé aux journées fermes où de nombreuses familles sont venues rendre visite aux abeilles et découvrir ou redécouvrir notre magnifique champ de lavandin. Le champ sera probablement récolté les derniers jours de juillet, à la faveur de quelques journées ensoleillées.

À très vite,

Pierre-Antoine

 

 

 

 

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Le Rucher de Beelgium

Le Rucher de Beelgium

En intégrant le réseau Un Toit Pour Les Abeilles, nous souhaiterions partager notre passion avec des marraines et parrains engagés, tout en augmentant notre cheptel.
Les colonies profitent d’une flore belge, qui ressemble à celle du nord de la France, avec quelques zones agricoles en colza, luzerne, phacélie et des zones sauvages de tilleul, bruyère callune, saule.
Si vous souhaitez nous rejoindre sur les réseaux sociaux, nous vous partageons avec plaisir notre page facebook https://m.facebook.com/beelgiumbee/

L'apiculteur : Benjamin CUVILLIEZ

UTPLA apiculteur Benjamin CUVILLIEZ

Baigné par la nature et les abeilles depuis l’enfance, mon itinéraire me conduit toutefois à exercer le métier de charpentier dans les Cévennes.
En 2009, suite à des travaux de rénovation chez un apiculteur professionnel, ce dernier m’offre deux colonies, c’est le début de l’aventure !
L’apprentissage est permanent, semé d’erreurs, de rencontres, d’échanges, de lectures et de stages.
En 2018, je décide de m’installer sur les terres d’un ancien corps de ferme dans les Côtes d’Armor, (en Bretagne,) non loin de Guingamp.
Être associé à un toit pour les abeilles, c’est faire partie d’un réseau qui permet de sensibiliser et de rencontrer un plus grand nombre de personnes.
C’est aussi permettre aux consommateurs de s’investir dans une consommation responsable et engagée, de devenir « consom’acteurs ».

la nouvelle saison 2025 est lancée

Les pruneliers sont en fleurs, les reines ont repris la ponte, et l’apiculteur est sur le pont : pas de doute, le printemps est bien là.
Bref, la saison 2025 est lancée !

P.S. : Pensez à installer des pièges sélectifs pour lutter contre les frelons asiatiques, tout en protégeant les autres insectes.

                     

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Le rucher de Kermorvan

Le rucher de Kermorvan

Les ruches sont sédentaires sur différents ruchers installés en priorité sur des zones naturelles et bio autour de la ferme.
Les abeilles, de type race noire produisent des miels polyfloraux aux parfums et textures très différents tout au long de l’année.
La première récolte de la saison commence en mai, avec un miel à la texture onctueuse et crémeuse,
de couleur claire et dont les très doux arômes évoquent les fleurs de phacélie, de colza, et les haies bocagères.
S’ensuit le mois de juillet avec un mélange de ronce, trèfle, châtaignier et autres fruitiers offrant une texture cristallisée.
Ce miel a un parfum agréablement fruité, boisé, délicat et persistant en bouche.
À la fin de l’été, une dernière récolte, avec des miels quasi monofloraux de sarrasin ou de miellat de chêne qui se singularisent par une couleur foncée et une texture liquide.
Le miellat de chêne révèle des saveurs complexes et une sensation de bonbon fleuri.
Je récolte le miel, l’extrais et le mets en pot directement. Il conserve ainsi toutes ses propriétés et bienfaits.
La conduite du rucher tend vers le bio (traitements, cires, soins…) pour respecter (au maximum) les abeilles, la nature et les gourmands.
Au fil des saisons, découvrez le travail des abeilles, de l’apiculteur et goûtez aux saveurs florales de la région bretonne.

L'apiculteur : Franck DELANNOY

UTPLA apiculteur Franck DELANNOY

Passionné par les animaux, notamment les insectes et reptiles depuis ma plus tendre enfance,
je suis co-fondateur de l'association loi 1901 "Le Peuple de l'Ombre" depuis 2005.
Je me suis intéressé de plus près aux abeilles et me suis formé à l'apiculture de loisir en 2014 à l'école rucher de Rieulay.
Apiculteur amateur depuis 10 ans, j'ai expérimenté plusieurs types de ruches (Warré, kényane, Dadant).
Le format Dadant reste à ce jour la plus pratique pour mon apiculture.
Aimant le travail du bois, toutes mes ruches sont fabriquées dans mon atelier de menuiserie, avec du bois non traité
(Sapin rouge du Nord, Mélèze, Douglas...). J’offre ainsi aux abeilles de vrais « petits paradis » où se loger !

Quelques nouvelles printanieres

Cheres marraines , cher parrains ,

Enfin le printemps, les abeilles commencent à sortir, butiner les premiers pollens et ramener les premiers nectars (noisetiers, saules ..).

L'hivernage s'est relativement bien passé pour vos abeilles, malheureusement quelques pertes à deplorer .

De mon coté, je ne suis pas une journee où je suis à la preparation de la saison qui va débuter rapidement .

Croisons les doigts que cette saison ne soit pas la même que l'année passée .

A très vite,

Merci pour votre soutien

Franck 

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Le Rucher de l'Ostrevent

Le Rucher de l

Mon apiculture est essentiellement basée sur des rencontres entre passionnés, respectueux de la nature et du biotope.
Je découvre tous les jours la symbiose indispensable entre les abeilles et leur environnement.
Une de mes dernières rencontres, est celle que j’ai faite avec un exploitant agricole, sensible à la culture bio.
Quelques-unes de mes colonies fréquentent les plantes mellifères de son exploitation.
D'autres colonies sont en bordure de forêt et dans la campagne de l’Ostrevent.
Mon objectif, avec l’aide d’Un Toit Pour Les Abeilles, et vous, parrains bienveillants, c’est de continuer à développer mon cheptel (actuellement une 40e de colonies…),
afin de pouvoir déguster le bon miel que les abeilles nous offrirons au fil des saisons.

 

L'apiculteur : Alban HERITIER

UTPLA apiculteur Alban HERITIER

Je m'appelle Alban, j'ai 37 ans.
Comme vous pouvez le deviner sur la photo, je suis un amoureux de la bonne gastronomie. Donc je suis très attaché aux produits sains et de qualité.
Bien que je ne sois pas labellisé bio, ma démarche est très respectueuse de l’abeille et de la biodiversité.

L'apiculture m'a toujours attiré, mais j'ai réellement découvert l'apiculture grâce à un collègue qui m’a offert mon premier essaim. Une fois piqué, on devient accro...

Et c'est comme cela que la passion est née. Je ne vis pas de l'apiculture, je fais cela par passion uniquement.
Le terme « rendement » ne fait pas parti de mon vocabulaire.
Je récolte également la propolis et la cire. Je vais cette année expérimenter les baumes à lèvres, les crèmes hydratantes pour les mains, les bougies, ainsi que la teinture mère de propolis.

La saison 2025 commence !!

Bonjour,

La végétation se réveille en Creuse, et les premières belles journées ensoleillées permettent à nos petites protégées de commencer à rapporter le précieux nectar… ainsi que du pollen.

Les colonies dans les ruches se développent rapidement, et les premières hausses ont déjà été posées.

La saison est donc bel et bien lancée.
Je me rends chaque semaine auprès de chacune d’elles, pour les accompagner tout au long de la saison, jusqu’à la récolte.

L’excitation est à son comble — chez les abeilles… et chez l’apiculteur aussi ! ????

 

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Les Jardins de Mélina

Les Jardins de Mélina

Le département de la creuse est un département peu connu, où la nature à la chance d'être très préservée. L’agriculture locale est surtout l’élevage de bovins et ovins.
Il y a peu de cultures, donc peu de risques d’exposer mes abeilles aux pesticides.
Je collabore avec « Un Toit Pour Les Abeilles » car je trouve la démarche intéressante.

Les entreprises ou les particuliers participent à l’activité apicole, se sensibilisent à la protection des abeilles, mais sensibilisent également leur entourage.
Et ce fonctionnement permet aux apiculteurs de pouvoir développer leur cheptel.
Je dispose actuellement d’une centaine de colonies, que je surveille tout au long de l’année.
Chaque année, comme j’ai une profession qui ne me permet pas de visiter mes ruchers tous les jours, je laisse partir des essaims en pleine santé dans la nature lors des essaimages. Cela permet de repeupler doucement la campagne environnante.
Mes ruches se situent sur quatre ruchers distincts, offrant aux abeilles une pluralité florale importante. Selon le rucher, je récolte des miels de tilleuls doux au parfum délicat, des miels de châtaigniers, de caractère, boisés, corsés un peu amère, ou encore des miels de Fleurs de prairies délicats.

L'apiculteur : Arielle et Éric MAIDON

UTPLA apiculteur Arielle et Éric MAIDON

Eric : J'ai travaillé longtemps comme plombier chauffagiste. Mais quand j'ai eu 50 ans,
j'ai dit « Stop ! Maintenant je vais faire ce que j'ai envie de faire ! » et je suis reparti à l'école pour passer un BPREA d'apiculture.
Après avoir acheté 25 ruches en 2013, j'ai construit les autres et commencé à agrandir mon cheptel.
En 2018, celui-ci s'élevait à environ 200 colonies et obtenait une certification AB.
Arielle : J'étais institutrice depuis une trentaine d'années. J'ai pris ma retraite et je me suis engagée avec lui dans cette nouvelle voie.
Je donne un coup de main au rucher et à la miellerie, mais je m'occupe plutôt de la transformation (granolas, gâteaux, pâtes à tartiner...) et des marchés.
Je garde un contact avec l'éducation en animant parfois des ateliers de sensibilisation au peuple des abeilles, auprès des enfants d'âge scolaire.
Cette nouvelle vie nous satisfait, elle est cohérente avec nos envies d'écologie et de mieux vivre, et nous avons l'impression de contribuer à une alimentation plus saine avec nos produits !
Le parrainage de ruches avec Un Toit Pour Les Abeilles est pour nous une réelle opportunité de faire face aux difficultés auxquelles sont confrontées les abeilles et les apiculteurs de nos jours.
Merci pour tous vos parrainages !

Le retour du printemps

Bonjour chers parrains et marraines,

Voici quelques nouvelles en ce début de printemps, parfois ensoleillé, parfois encore un peu frais.
La reprise de la saison s’annonce plutôt encourageante — en tout cas meilleure que l’année passée, malgré les pertes hivernales habituelles.

Les divisions de ruches ont commencé.
Mais en quoi cela consiste-t-il ? Il s’agit de créer une nouvelle colonie à partir d’une ruche mère. Cette pratique permet à la fois d’agrandir le cheptel et de prévenir l’essaimage des ruches devenues trop puissantes.

Concrètement, à partir d’une ruche hivernée, nous prélevons quelques cadres de couvain avec leurs abeilles, ainsi que des réserves de pollen et de miel. Ces éléments sont ensuite installés dans une ruchette que l’on déplace à distance de la ruche d’origine. Il ne reste plus qu’à laisser cette jeune colonie s’organiser naturellement, sans trop la déranger.

Cette année, nous ne pratiquerons pas la transhumance vers les champs de colza.
Les plantations de haies mellifères et d’arbres fruitiers réalisées au fil des années offrent désormais une ressource florale abondante et plus respectueuse du rythme des abeilles.

Il ne reste plus qu’à espérer que le printemps tiendra ses promesses.

À très bientôt pour la suite de cette saison 2025,
et merci encore pour votre précieux soutien.

                

 

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Le Rucher La Patte dans le Pot

Le Rucher La Patte dans le Pot

Le rucher est situé chez nous dans le Gers, avec environ 200 ruches dont 160 actuellement en production.
Etant situés à l'intersection du Gers, de la Haute-Garonne et des Hautes-Pyrénées, nous sommes idéalement placés pour effectuer de petites transhumances vers des zones mellifères :
tilleul, châtaignier et suivant les années bruyère callune dans le piémont pyrénéen, acacia, tournesol et sarrasin en plaine.
Également colza et tournesol en miel conventionnel.

L'apiculteur : Patrick FAVER

UTPLA apiculteur Patrick FAVER

C'est en 2014 que je suis devenu berger des abeilles dans le cadre d'un projet de reconversion professionnelle.
Quand j'ai conçu mon projet je me suis donné comme ligne de conduite, comme philosophie, comme éthique de ne pas transhumer mes ruches pour le bien être de mes abeilles. De là découle toute ma pratique apicole :
 
- Je ne transhume donc pas mes ruchers. Mes colonies restent toute l'année sur le même emplacement.
Je propose, chaque année, diverses saveurs de miels en fonction de la période de récolte et de la localisation des ruchers. Je peux ainsi proposer jusqu'à 6 à 7 saveurs différentes : miel du Loubatas (des collines de Peyrolles en Provence), du Luberon, de printemps, de romarin, d'été, de lavande, d'automne. Pour cela je fais de "petites" récoltes très localisées.
 
- Je ne nourris pas au sirop mes colonies (colonies de production et les essaims que je fais).
Ne transhumant pas, je choisis des emplacements qui permettent à mes abeilles de trouver de la nourriture (nectar et pollen) toute l'année.
 
- Je privilégie les petits ruchers (20 colonies au maximum)
Cela dans trois objectifs :
1.    Ne pas mettre trop d'abeilles sur une même zone de butinage,
2.    Limiter le risque de propagation de maladies (peu de ruches et limitation de la dérive)
3.    Limiter les pertes (suivant l'adage, ne pas mettre tous ses œufs dans le même panier).

- Je n'achète ni reine ni essaim.
Je renouvelle mon cheptel par la réalisation d'essaims artificiels qui élèveront leur propre reine. Toutes mes colonies sont aujourd'hui issues de souches locales. Mes colonies sont mieux adaptées à évoluer en fonction de leur environnement (ressources disponibles, climat).
 
- Je récolte exclusivement des cadres de hausses et des cadres operculés. En fin de saison, je laisse les cadres non operculés à lécher.
 
- Je ne modifie pas mon miel. Une fois récolté et extrait, après quelques jours de décantation, le miel est directement mis en pots. Il n’est ni chauffé ni ensemencé et cristallise, là aussi selon les années et les saisons, plus ou moins rapidement.
 
- Les cadres dans lesquels le miel est récolté n'ont jamais été en contact avec un traitement. Cela découle du point précédent.
 
- En fonction des conditions climatiques, je privilégie mes abeilles à la récolte de miel. C'est à dire que je préfère laisser les hausses pour les abeilles plutôt que de prendre le risque de les nourrir en cas, notamment, de sécheresse. Certes, je perds une partie de la récolte mais mes colonies disposent de leur propre miel.
 
De façon plus générale, j'essaye d'être respectueux de mes abeilles et de leur développement. Elles évoluent à leur rythme.

démarrage en douceur

Chères marraines, chers parrains,

Pour mes colonies et moi, l’hiver est derrière nous et le printemps s’installe lentement.

 

Le mois de mars nous a amené de belles pluies et encore quelques gelées.

J’ai fini les visites de printemps et j’ai pu constater que les colonies reprenaient lentement.

Dans l’ensemble, elles sont belles et j’ai eu bien moins de pertes hivernales que l’an dernier.  

Mais je n’ai pas encore posé de hausses. Cela ne saurait tarder.

 

Avec un peu de retard, je vais commencer à effectuer mes essaims pour le renouvellement de mon cheptel.

J’espère réaliser rapidement les premières récoltes de l’année afin d’honorer la livraison de la campagne de printemps.

Votre apiculteur dévoué,

Patrick

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Le rucher Saint-Gervais

Le rucher Saint-Gervais

La plupart de mes ruches se situe dans la pointe sud-est du Vaucluse, dans le parc naturel du Luberon, entre le massif du Grand Luberon
et la Durance, proche du plateau de Valensole, au cœur de la Provence.  
C’est un site épargné par les cultures intensives où la plupart des agriculteurs travaille en méthode raisonnée sur de petites parcelles peu nombreuses.
Les milieux naturels et sauvages, sur cette zone occupent la majeure partie de l’espace.
La flore y est très riche.
Elle fournit aux abeilles : les fleurs des noisetiers, pruneliers, cornouillers, aubépines, amandiers, acacias, buis, ciste, chênes…
pour les arbres et arbustes et pour les plantes, les fleurs de romarin, pissenlit, trèfle blanc, thym, ronce, lavande sauvage et cultivée,
luzerne, sainfoin, chardon, immortelle, lierre, ainsi que de nombreuses plantes messicoles.

Que se passe-t-il ce mois-ci sur votre rucher ?

Chères Marraines, chers Parrains,
Le mois d’avril marque la transition entre la fin de la période de pause hivernale et le redémarrage intense de l’activité pour nos abeilles.
C’est une période charnière durant laquelle vos parrainages vont permettre aux apiculteurs de palier les pertes d’hiver et maintenir les colonies en bonne santé, assurant ainsi la pérennité d’un beau métier.
 
En ce...




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