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Créée en 1985, la société RTM distribue des produits et matériels de nettoyage, désinfection, hygiène, sécurité et environnement destinés aux collectivités et aux industries. Nous livrons essentiellement sur la région Auvergne Rhône-Alpes et accueillons également nos clients dans un magasin de vente de 200 m² sur Valence.


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Notre engagement environnemental se traduit à l'échelle de RTM par une gestion et un tri des déchets produits dans nos différents services, et une attention particulière à sensibiliser notre personnel sur ce sujet. Le parrainage d'une ruche est pour nous une action concrète de préservation et de développement de notre milieu naturel local.

La ruche en images

  • La ruche RTM
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L'apiculteur : Camille DUBRAY

UTPLA apiculteur Camille DUBRAY

J’ai cueilli mes premiers essaims d’abeilles en 2013.
J’avais envie, par curiosité, de m’occuper d’abeilles et de mieux les comprendre.
J’avais aussi envie de m’investir dans une activité qui avait du sens pour moi.
Passionné et autodidacte, j’ai appris grâce aux livres et principalement en ouvrant mes propres ruches énormément au début.
Je me suis aussi formé auprès d’amis apiculteurs professionnels pour les gestes spécifiques ou techniques.
Enfin, je me suis spécialisé dans le sanitaire et les maladies des abeilles en 2018 en devenant technicien sanitaire apicole.
Je trouve que la cueillette crée un joli lien avec l’essaim.
On va le chercher quelque part, bien souvent on le sauve car peu de gens se déplacent pour cueillir et les particuliers sont souvent démunis ;
On le soigne, on en prend soin, puis on l’installe dans le rucher.
Chaque ruche a un peu sa propre histoire.

J’ai ainsi développé un cheptel constitué uniquement d’essaims sauvages issus de la cueillette entre 2013 et 2018,
en passant tout en douceur de 4 essaims cueillis en 2013 à 24 colonies en 2014, puis à 60 en 2015, puis à 100, 120, puis 160 colonies d’abeilles en 2018.
C’est cette année-là que j’ai commencé à gagner ma vie grâce à l’apiculture, et ce sans jamais avoir acheté d’essaim d’abeille.
Comme mes abeilles sont issues de la cueillette, j’ai principalement de l’abeille noire dans mes ruches.
Je travaille avec des ruches de type dadant qui me semblent mieux adaptées aux contraintes modernes de l’abeille.
Je compte augmenter doucement mon cheptel pour atteindre les 200 ruches (statut paysan).
Je n’en veux pas plus car il me semble plus difficile de bien s’en occuper si on en a plus.

Je suis ravi d’avoir pu intégrer Un Toit Pour Les Abeilles.
Cela représente une opportunité pour moi de m’assurer qu’une partie de ma production sera vendue au sein d’un projet porteur pour l’abeille,
et de surcroît à un tarif convenable pour l’apiculteur.
Ça me permet aussi de dégager plus de temps au rucher à m’occuper des abeilles. C’est une chance pour moi car je suis passionné par les abeilles
et je préfère nettement le temps passé au rucher à celui passé à la commercialisation.
Même s’il faut bien gagner sa vie, les abeilles restent toujours la priorité dans notre métier.
C’est aussi stimulant d’intégrer des projets plus vastes que son petit projet à soi de sauvegarde de l’abeille.

Quelques nouvelles

Chers Parrains, 

L’année dernière, j’ai intégré la commission sanitaire de l’association apicole professionnelle d’Auvergne Rhône Alpes.

Nous avons mis en place des expérimentations hivernales afin de mesurer les conséquences d’un nouveau protocole de traitement bio contre le varroa, petit parasite qui décime les colonies quand on arrive pas à lutter efficacement contre lui.

Un de mes ruchers a servi à l’expérimentation. Les résultats sont tout à fait encourageants, ce qui est une bonne nouvelle.

Les ruches ont très bien hiverné, les réserves étaient là car nous avons notamment eu une belle miellée de lierre en septembre dernier.

Je n’ai perdu que 5 ruches jusqu’à présent sur un cheptel de 200 ruches ce qui est tout à fait raisonnable.

J’ai commencé depuis deux semaines à transhumer les colonies pour polliniser les arbres fruitiers (abricotiers et amandiers). Les abeilles restent environ 3 semaines, le temps de la floraison. Cela donne par la suite pour l’arboriculteur plus de fruits et des fruits de meilleur qualité.

Voilà le début de saison qui pointe le bout de son nez, c’est le moment de s’assurer que tout le matériel fonctionne convenablement, que les cadres et les ruches à peupler sont prêts, que les ruchers sont débroussaillés, le miel distribué aux propriétaires des terrains… bref tout ce que je n’aurai bientôt plus le temps de faire, pris par la gestion de 200 colonies en saison et de deux enfants en bas âge.

Merci pour votre soutien.

il a neigé hier en Drôme

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Le rucher de Mirmande

Le rucher de Mirmande

Je m’occupe de 160 colonies installées tout près de chez moi.
La plupart de mes ruchers sont fixes, c’est à dire que les abeilles ne se déplacent pas.
Je transhume deux d’entre eux au milieu des champs de lavande (20 kilomètres) et des forêts de châtaigniers (40 kilomètres) chaque année.
Autour de chez moi, on trouve pas mal de fruitiers qui assurent bien le début de saison, des prairies en jachère des phacélies ou encore de la luzerne.
Il y aussi beaucoup de pruniers sauvages en forêt, de ronce, d’aubépine, de nombreux acacia, du tilleul.

Que se passe-t-il ce mois-ci sur votre rucher ?

Chères Marraines, chers Parrains,
Permettre à des élèves de dorloter des abeilles qui ne piquent pas ?
C’est la super initiative lancée par nos collègues des Dorloteurs d’Abeilles.



Dès le lancement du projet, ils ont échangé avec de nombreux enseignants, ultra-motivés à l’idée de lancer un atelier autour des abeilles solitaires avec leurs élèves.
Mais ils ont vite &eacu...




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