Santander

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Née en 2015, Santander France est la 15ème et dernière filiale du groupe espagnol Santander Consumer Finance, leader européen du crédit à la consommation. Nous proposons des produits et services financiers à des clients particuliers et professionnels souhaitant acquérir un véhicule. Ces financements et assurances sont distribués par nos partenaires, professionnels du commerce automobile, moto, véhicules de loisirs et vélo. Véritable "start-up" au sein d'un groupe bancaire d'envergure mondiale, nous avons pour ambition de devenir un acteur en France. Pour cela, nous construisons chaque jour avec passion cette banque que nous voulons agile, innovante et flexible afin de fournir le meilleur service possible à nos clients et partenaires.


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Être la meilleure banque pour notre communauté, c’est mener des activités quotidiennes qui contribuent au progrès économique de la société dans laquelle nous évoluons. Pour nous, ce progrès passe en grande partie par la protection de la nature qui nous entoure. C’est dans cette dynamique que nous avons décidé de nous associer à Un Toit Pour Les Abeilles dans le cadre de la signature électronique de nos contrats de financement. Nous nous engageons auprès de nos acheteurs à parrainer 25 abeilles à chaque fois qu’ils signeront leur contrat digital.

Les ruches en images

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L'apiculteur : Dominique MEIGNIEN

UTPLA apiculteur Dominique MEIGNIEN

Apiculteur amateur depuis 2016. J’ai repris la gestion d’une vingtaine de ruches que mes parents exploitaient pour leurs consommations et faire de la vente artisanale.

Après 30 ans dans le domaine de la communication visuelle, fin 2020 et avec l’envie de redonner du sens à ma vie, je me dis qu’il est important d’essayer d’accompagner nos amies "les mayas" dans ce changement climatique.

Dès 2021, dans le cadre de ma reconversion professionnelle je me forme, j'apprends, je découvre, je pratique afin de trouver l'apicole qui me permette de garder cette connexion avec l’abeille et la nature. Je suis partisan aujourd'hui d’une apiculture douce et naturelle.

Aujourd’hui j'ai une soixantaine de ruches. Je suis un HappyCulteur avec un esprit de transmission et de partage pour sensibiliser les personnes voulant en savoir plus sur cette fabuleuse société qui est la société des abeilles avec toutes les castes qui la composent. Fin 2022 je me lance dans la création d'une boutique, miellerie collaborative et 3 ruchers pédagogiques.

Aujourd'hui la boutique est ouverte et la miellerie disponible. Pour cet été, j'espère pouvoir mettre en place mes 3 ruchers pédagogiques afin d'organiser des ateliers.

Je remercie Un toit pour les Abeilles pour leur accompagnement et leur confiance dans mon projet qui n’a pas fini d’évoluer.

La Chaleur arrive mais il est trop tard

Triste printemps 2024, entre averses, froid et les rares rayons de soleil le miel de printemps ne sera pas au rdv.

Je ne parle pas des colonies qui ont essaimé au moindre petits rayons de soleil.

Alors c'est la course aux essaims pour compenser et contribuer à fournir des habitats mais les ressources en nourriture vont vite décliner.

Une petite récolte pendant la visite de mai pour se mettre du baume au coeur sinon prochain passage fin juin ou en juillet pour espérer récolter une miellée de fleurs d'été.

Rdv en septembre 

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Le rucher des Bruyères

Le rucher des Bruyères

Le Rucher familial « Le Rucher des Bruyères », mon grand-père l’a implanté sur la propriété familiale au début des années 1960 sur la commune de Chaource dans l’Aube.
L’environnement est plutôt protégé car pas d’agriculture intensive, sur un territoire de prairies, vergers, foret avec un massif d’acacia et sur un périmètre protégé en AOP pour de la production de lait.
La souche d’origine est plutôt de l’Abeille noires avec des ruches Dadant 10 cadres en bois.
Je prépare pour la saison prochaine la création de plusieurs ruchers allant de 2 à 15 ruches suivant l’environnement mellifères afin d’apporter un maximum à la biodiversité et à la pollinisation.
Je remercie Un toit pour les Abeilles pour leur accompagnement et leur confiance dans mon projet qui n’a pas fini d’évoluer.

L'apiculteur : Amandine et Grégory BONVIN

UTPLA apiculteur Amandine et Grégory BONVIN

Nous sommes âgées respectivement de 39 ans et 40 ans, mariés avec 3 enfants de 8 ans et de 5 ans (des jumeaux).
Depuis longtemps, nous sommes amateurs de miel et de ses préparations dérivées.
Le monde de l’apiculture et surtout le fonctionnement au sein de la ruche ont amplifié notre intérêt et notre curiosité pour cette société miniature.
C’est en 2019, après plus de 16 ans en cabinets comptables et les naissances de nos 3 enfants, qu’Amandine prend la décision de changer son orientation professionnelle avec 2 objectifs majeurs :
* Être en phase avec ses convictions écologiques et familiales
* Être responsable de son devenir et de ses choix professionnels : « depuis longtemps, je souhaite entreprendre et créer mon entreprise ».
Quant à Grégory, partageant cette passion et après plus de 20 ans dans le milieu de l’ingénierie industrielle aéronautique, il a pu profiter d’une possibilité de départ de son entreprise avec la conjoncture Covid.

Amandine a pu forger son expérience en apiculture notamment dans la production de gelée royale et dans la gestion de son cheptel d’une centaine de ruche.
Mais ce projet a aussi une autre dimension.
Dans une volonté de continuité et de transmission familiale, nous avons choisi de reprendre les ruches du père de Grégory, décédé en 2012, qui étaient restées en l’état depuis 8 ans.
Cela devient donc un projet de couple et de famille.
Nous nous connaissons depuis plus de 20 ans et nous sommes complémentaires avec Amandine sur la gestion du cheptel de production de gelée royale et de miel, la maitrise technique de ce type d’élevage et la partie comptabilité de l’exploitation.
Grégory aura la charge de la gestion génétique du cheptel (production de cellules royales, de reines fécondées et d’essaims), de la transformation des produits, de la gestion des process de fabrication, de la partie commerciale et de la communication.
La récolte et les visites de routine des ruchers seront faites conjointement.
Nous proposons aussi des visites pédagogiques de notre exploitation et des séances d’éveil sensoriel au miel.

2024, une saison à oublier

Notre saison apicole 2024 restera gravée comme l’une des plus difficiles que nous ayons connues.

Les conditions climatiques défavorables, marquées par des pluies exceptionnellement abondantes de mars à juillet (+40 % de précipitations par rapport à 2023), ont fortement perturbé la production de miel, la fécondation des jeunes reines et la santé de nos colonies.

Cette année, nous n’avons pas produit de miel de printemps, qui représente habituellement 50 % de notre production annuelle.

Les températures anormalement basses ont empêché la montée du nectar dans les fleurs, tandis que l’humidité ambiante a dilué le peu de nectar disponible.

Enfin, les pluies incessantes ont privé les abeilles de fenêtres suffisamment longues pour butiner efficacement. Ces conditions ont épuisé les colonies, qui ont consommé leurs réserves sans pouvoir les reconstituer. Nous avons dû les nourrir artificiellement à une période où, normalement, la nourriture abonde.

Pour maintenir des colonies dynamiques, nous veillons à ce que les reines soient relativement jeunes (moins de deux ans).

C’est dans cette optique que nous avons développé un atelier de fécondation de reines au sein de notre exploitation.

Cependant, cette année encore, les conditions ont été particulièrement éprouvantes. Les taux de fécondation, habituellement autour de 80 %, ont chuté à moins de 50 %.

Les jeunes reines et les faux bourdons (mâles) ont besoin de temps ensoleillé et sans vent pour que la fécondation puisse avoir lieu, et ces conditions ont été trop rares cette saison.

Malgré ces nombreux défis, la production de miel d’été a pu être réalisée.

Il est intéressant de noter que les agriculteurs, également impactés par les conditions météorologiques, n’ont pas pu semer tous leurs tournesols et se sont orientés vers des cultures mieux adaptées à l’humidité, comme le sarrasin.

Cela nous a permis de produire un miel d’été aux saveurs et arômes différents de ceux des années précédentes.

Nous préparons désormais la prochaine saison en nettoyant le matériel, en développant de nouveaux ruchers et en veillant attentivement sur nos abeilles, afin que tout soit prêt lorsque le soleil sera de retour.

  

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Le rucher de Saint Branchs

Le rucher de Saint Branchs

Notre rucher principal se situe dans une prairie fleurie de 6000m² entourée de haies champêtre et bordée d’un ruisseau ce qui permet d’avoir une riche diversité de nourriture tout au long de l’année pour nos abeilles.
Elles produisent ainsi un miel propre à notre terroir de Touraine de différentes variétés de fleurs : l'acacia, le tilleul, l'aubépine, le trèfle blanc, la ronce ou encore la luzerne ou le pissenlit.
C'est un miel crémeux et cristallin, qui peut varier de la couleur blanche à jaune doré en fonction des floraisons.
Parfumé fleuri et gourmand, c’est un miel idéal pour les tartines, sucrer vos boissons chaudes, vos pâtisseries ou agrémenter vos marinades estivales.
Notre méthode d’apiculture est en Dadant 10 cadres en apiculture raisonnée (démarche de certification bio à partir de 2022/2023).
Nous sommes en abeilles Buckfast pour la production de miel et en Ligustica (italienne) pour la gelée royale.
Nous faisons des transhumances mais intra-départementales pour aller chercher des miellées propres à notre terroir (Printemps, Forêt, Acacias, Tilleul, Châtaignier, Eté toutes fleurs, Sarrasin).

L'apiculteur : Justine HENNION

UTPLA apiculteur Justine HENNION

Installée en couple depuis 2017, avec 300 ruches à bichonner !
Justine tient sa passion pour l'apiculture de son père Yvan, passionné par les abeilles qui lui a transmis son savoir.

C'est en 2012 qu'elle a rejoint la ruche en se spécialisant dans l'élevage des reines.

Florian, son compagnon a lui aussi été piqué par les abeilles, il était paysagiste mais il se consacre maintenant à temps plein pour les abeilles. 

Originaire du Nord, en quête de nature et d'une vie plus "simple" nous avons emménagé en Correze en 2021. 

 

printemps

Bonjour à toutes et à tous,

Le printemps est déjà bien entamé, et les colonies ont bien passé l’hiver, notamment grâce au miel de lierre qu’elles avaient pu récolter à l’automne.

Elles ont également bien profité des premiers beaux jours pour butiner les fleurs de printemps : pissenlits, arbres fruitiers, et bien d’autres encore !

En ce moment, les journées sont bien remplies : c’est la période où nous surveillons de près les signes d’essaimage. Pour éviter que les abeilles ne décident de quitter la ruche pour fonder une nouvelle colonie, nous visitons régulièrement les ruches.

Lors de ces visites, nous leur "faisons de la place" en ajoutant une hausse – cette partie supérieure de la ruche où se stockera le miel que nous pourrons récolter.
Nous retirons aussi régulièrement un cadre du corps de ruche contenant du couvain (des larves), que nous remplaçons par un nouveau cadre avec une feuille de cire à bâtir. Ces cadres retirés nous permettent ensuite de former de nouvelles colonies.

La météo devrait se rafraîchir dans les prochains jours. Nous allons bientôt procéder à une première récolte de miel de printemps, en laissant bien sûr une partie du miel aux abeilles, au cas où les conditions ne leur permettraient pas de butiner suffisamment.

À très bientôt pour de nouvelles nouvelles !

Justine et Florian

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Le rucher de Senlis

Le rucher de Senlis

Elles sont réparties sur plusieurs ruchers essentiellement dans le département de la Corrèze .
Nos ruchers sont toujours disposés proches ou dans la forêt afin que nos abeilles aient un bol alimentaire riche et varrié
Les abeilles y produisent du miel toutes fleurs.
Nous avons une miellerie, où est extrait et conditionné le miel.

L'apiculteur : Matthias LAGARROSSE

UTPLA apiculteur Matthias LAGARROSSE

Je pratique l'apiculture depuis mon enfance.
Mon père, était lui-même apiculteur amateur.
J'ai eu aussi la chance d'assister un apiculteur sur l'île de La Réunion où j'ai vécu un moment.
Il possédait une centaine de ruches. C'est de lui qu’est née ma vocation d'en faire ma profession. 
En 2007, j'ai sauté le pas et j’ai passé une formation (Brevet Professionnel) à Auterrive près de Toulouse.
J'ai appris la profession auprès d'un maître de stage dans le Gers, lui-même passionné par les abeilles. 
Ensuite, j'ai travaillé chez différents professionnels, et ma route m'a mené en Charente sur la terre de mes ancêtres, où j'ai décidé de m'installer.

En 2012, j'ai donc pris le statut d'exploitant agricole et je me suis lancé pleinement dans l'aventure.
L'hiver suivant fût catastrophique, car 80% de mon cheptel a disparu dans des conditions plus que suspectes... De 200 ruches, je passais à 40 le printemps suivant.
Depuis, je m'acharne à tenter de reconstituer mes ruches perdues.
Certaines années plus favorables succèdent à d'autres moins belles, voire catastrophiques, ce qui rend le métier un peu difficile, bien que nécessaire et passionnant !

L'apiculture est pour moi bien plus qu'un travail, c'est une passion et un mode de vie.
L'Abeille est un symbole de notre ère, la protéger c'est protéger l'humanité et la nature dans leur ensemble.
Echouer à la préserver serait à mon sens le signe de notre incapacité à vivre harmonieusement sur cette planète.

Chers parrains!

Je prends quelques minutes sur ma journée bien chargée pour vous donner quelques nouvelles du front !

Le début de saison, pour moi comme pour mes collègues, est toujours un moment extrêmement chronophage : on court partout pour tenter de ne pas se laisser déborder... sans trop y parvenir en ce qui me concerne ! Comme chaque année, cette impression de garder tout juste la tête hors de l’eau se fait bien sentir.

L’hivernage a été particulièrement bon, ce qui a donné un démarrage très dynamique des colonies. Très populeuses, bon nombre d’entre elles ont essaimé malgré une attention soutenue. Il est difficile d’aller contre leur instinct : les abeilles, bien que domestiquées, restent des êtres sauvages qui font ce qu’elles veulent !

Nous nous contentons d’accompagner le mouvement. Mais chaque essaimage représente un manque à gagner pour l’apiculteur, car une colonie qui se reconstitue ne produit pas de miel. Et cette année, les essaims dans les arbres ont été légion ! C’est un spectacle magnifique, certes, mais d’un point de vue économique… un peu catastrophique.

Heureusement, l’acacia nous a enfin souri cette année ! Une bonne nouvelle, car cela faisait cinq ans que les récoltes étaient quasiment nulles. Il est déjà temps maintenant de transhumer les colonies vers les zones de châtaigniers. Une tâche épuisante, puisqu’après des journées déjà bien remplies, on enfile à nouveau la combinaison à la tombée de la nuit pour charger les ruches. Les journées de travail peuvent atteindre 15 heures… à condition que le véhicule ne reste pas embourbé dans la forêt, ce qui arrive plus souvent qu’on ne le voudrait !

Je me concentre désormais pleinement sur l’élevage, mon activité favorite. Constitution d’essaims artificiels, greffage de reines, introduction de cellules royales... Être apiculteur, c’est avant tout être un éleveur : la force des colonies de l’année prochaine dépend du travail que nous réalisons aujourd’hui. On sélectionne donc les meilleures génitrices, on rassemble les mâles des colonies les plus prometteuses, pour assurer des fécondations qui donneront de bonnes reines.

Et sur ces mots, je vous laisse pour retrouver mes abeilles : chaque minute compte !

Je vous souhaite à tous une excellente saison, et vous dis à bientôt pour d’autres nouvelles !

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Le Rucher des Versannes

Le Rucher des Versannes

Le rucher se trouve dans un petit village médiéval pittoresque de la région Poitou Charentes, dans la vallée de l'Argentor (nom de la rivière qui traverse le village), là où la vallée est la plus profonde.
Les ruches sont installées au beau milieu d'un bois composé de châtaigniers et d'acacias en grande partie.
On y trouve également des saules, merisiers et érables champêtres…
C'est un très bel environnement pour les abeilles.
Ma région à la flore diversifiée me permet de produire 5 variétés de miel les bonnes années.
Un miel de Printemps (Pissenlit Aubépine), mais aussi du miel d’Acacia, de Châtaignier, de Sarrasin et du Toutes Fleurs d'été.
Je transhume mes ruches de manière raisonnée dans un rayon de 40 km autour de la miellerie.

L'apiculteur : Alban HERITIER

UTPLA apiculteur Alban HERITIER

Je m'appelle Alban, j'ai 37 ans.
Comme vous pouvez le deviner sur la photo, je suis un amoureux de la bonne gastronomie. Donc je suis très attaché aux produits sains et de qualité.
Bien que je ne sois pas labellisé bio, ma démarche est très respectueuse de l’abeille et de la biodiversité.

L'apiculture m'a toujours attiré, mais j'ai réellement découvert l'apiculture grâce à un collègue qui m’a offert mon premier essaim. Une fois piqué, on devient accro...

Et c'est comme cela que la passion est née. Je ne vis pas de l'apiculture, je fais cela par passion uniquement.
Le terme « rendement » ne fait pas parti de mon vocabulaire.
Je récolte également la propolis et la cire. Je vais cette année expérimenter les baumes à lèvres, les crèmes hydratantes pour les mains, les bougies, ainsi que la teinture mère de propolis.

La saison 2025 commence !!

Bonjour,

La végétation se réveille en Creuse, et les premières belles journées ensoleillées permettent à nos petites protégées de commencer à rapporter le précieux nectar… ainsi que du pollen.

Les colonies dans les ruches se développent rapidement, et les premières hausses ont déjà été posées.

La saison est donc bel et bien lancée.
Je me rends chaque semaine auprès de chacune d’elles, pour les accompagner tout au long de la saison, jusqu’à la récolte.

L’excitation est à son comble — chez les abeilles… et chez l’apiculteur aussi ! ????

 

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Les Jardins de Mélina

Les Jardins de Mélina

Le département de la creuse est un département peu connu, où la nature à la chance d'être très préservée. L’agriculture locale est surtout l’élevage de bovins et ovins.
Il y a peu de cultures, donc peu de risques d’exposer mes abeilles aux pesticides.
Je collabore avec « Un Toit Pour Les Abeilles » car je trouve la démarche intéressante.

Les entreprises ou les particuliers participent à l’activité apicole, se sensibilisent à la protection des abeilles, mais sensibilisent également leur entourage.
Et ce fonctionnement permet aux apiculteurs de pouvoir développer leur cheptel.
Je dispose actuellement d’une centaine de colonies, que je surveille tout au long de l’année.
Chaque année, comme j’ai une profession qui ne me permet pas de visiter mes ruchers tous les jours, je laisse partir des essaims en pleine santé dans la nature lors des essaimages. Cela permet de repeupler doucement la campagne environnante.
Mes ruches se situent sur quatre ruchers distincts, offrant aux abeilles une pluralité florale importante. Selon le rucher, je récolte des miels de tilleuls doux au parfum délicat, des miels de châtaigniers, de caractère, boisés, corsés un peu amère, ou encore des miels de Fleurs de prairies délicats.

L'apiculteur : Arielle et Éric MAIDON

UTPLA apiculteur Arielle et Éric MAIDON

Eric : J'ai travaillé longtemps comme plombier chauffagiste. Mais quand j'ai eu 50 ans,
j'ai dit « Stop ! Maintenant je vais faire ce que j'ai envie de faire ! » et je suis reparti à l'école pour passer un BPREA d'apiculture.
Après avoir acheté 25 ruches en 2013, j'ai construit les autres et commencé à agrandir mon cheptel.
En 2018, celui-ci s'élevait à environ 200 colonies et obtenait une certification AB.
Arielle : J'étais institutrice depuis une trentaine d'années. J'ai pris ma retraite et je me suis engagée avec lui dans cette nouvelle voie.
Je donne un coup de main au rucher et à la miellerie, mais je m'occupe plutôt de la transformation (granolas, gâteaux, pâtes à tartiner...) et des marchés.
Je garde un contact avec l'éducation en animant parfois des ateliers de sensibilisation au peuple des abeilles, auprès des enfants d'âge scolaire.
Cette nouvelle vie nous satisfait, elle est cohérente avec nos envies d'écologie et de mieux vivre, et nous avons l'impression de contribuer à une alimentation plus saine avec nos produits !
Le parrainage de ruches avec Un Toit Pour Les Abeilles est pour nous une réelle opportunité de faire face aux difficultés auxquelles sont confrontées les abeilles et les apiculteurs de nos jours.
Merci pour tous vos parrainages !

Le retour du printemps

Bonjour chers parrains et marraines,

Voici quelques nouvelles en ce début de printemps, parfois ensoleillé, parfois encore un peu frais.
La reprise de la saison s’annonce plutôt encourageante — en tout cas meilleure que l’année passée, malgré les pertes hivernales habituelles.

Les divisions de ruches ont commencé.
Mais en quoi cela consiste-t-il ? Il s’agit de créer une nouvelle colonie à partir d’une ruche mère. Cette pratique permet à la fois d’agrandir le cheptel et de prévenir l’essaimage des ruches devenues trop puissantes.

Concrètement, à partir d’une ruche hivernée, nous prélevons quelques cadres de couvain avec leurs abeilles, ainsi que des réserves de pollen et de miel. Ces éléments sont ensuite installés dans une ruchette que l’on déplace à distance de la ruche d’origine. Il ne reste plus qu’à laisser cette jeune colonie s’organiser naturellement, sans trop la déranger.

Cette année, nous ne pratiquerons pas la transhumance vers les champs de colza.
Les plantations de haies mellifères et d’arbres fruitiers réalisées au fil des années offrent désormais une ressource florale abondante et plus respectueuse du rythme des abeilles.

Il ne reste plus qu’à espérer que le printemps tiendra ses promesses.

À très bientôt pour la suite de cette saison 2025,
et merci encore pour votre précieux soutien.

                

 

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Le Rucher La Patte dans le Pot

Le Rucher La Patte dans le Pot

Le rucher est situé chez nous dans le Gers, avec environ 200 ruches dont 160 actuellement en production.
Etant situés à l'intersection du Gers, de la Haute-Garonne et des Hautes-Pyrénées, nous sommes idéalement placés pour effectuer de petites transhumances vers des zones mellifères :
tilleul, châtaignier et suivant les années bruyère callune dans le piémont pyrénéen, acacia, tournesol et sarrasin en plaine.
Également colza et tournesol en miel conventionnel.

L'apiculteur : Osama AHLASA

UTPLA apiculteur Osama AHLASA

Je n’ai jamais su vivre sans la nature et je n’ai jamais su me contenter d’une seule activité.
En Libye, ma famille a une exploitation maraîchère dans les montagnes et c’est là que mon intérêt pour le monde fascinant des abeilles est né.
En 2016 j’ai installé une vingtaine de ruchettes près de Tripoli et j'ai récolté une centaine de kilos de miel.
Je pouvais rester à observer les essaims pendant des heures pour mieux en comprendre l’organisation.
Rapidement, en France, alors que je n’étais encore que demandeur d’asile, à ma demande,
j’ai été mis en contact avec des apiculteurs du Tarn et autorisé à me rendre sur leur rucher pour comprendre et connaître la manière de travailler des apiculteurs français.
Ceux-ci ont eu la gentillesse de mettre deux ruches à ma disposition et dès ma première saison, j’ai extrait environ 50 kilos de miel de ces deux ruches.
M’occuper de ces ruches a été d’un grand secours moral pendant cette période difficile et récolter ce miel, une grande fierté.
J’étais surtout un activiste médiatique pacifiste luttant pour la cause du peuple Amazigh (berbère) victime d’oppression.
Ce sont les persécutions subies et liées à cette activité qui me valent d’être dorénavant en France avec ma petite famille.

Préparation pour la nouvelle saison apicole & lancement d'une application pour les apiculteurs

Ces derniers mois ont été bien chargés entre la préparation de la nouvelle saison apicole et le développement d’un projet qui me tient particulièrement à cœur.

Alors que j’attends des températures plus clémentes pour réaliser les premières inspections, ajouter des cadres et nettoyer les ruches, j’ai également travaillé sur une application destinée à faciliter la gestion des ruchers.

En plus d’être apiculteur, je suis développeur web et mobile.

J’ai récemment conçu la première version d’une application dédiée aux apiculteurs, permettant de gérer leurs ruchers, suivre les reines, organiser les inspections et enregistrer les récoltes de miel.

Ce projet a un fort potentiel pour aider la communauté apicole à optimiser son travail et à améliorer la gestion des colonies.

Il me reste à le rendre pleinement fonctionnel et aller chercher des soutiens.

Osama Ahlasa

 

 

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Le Rucher Terre d'Accueil

Le Rucher Terre d

J'ai 22 ruches dadant et 4 ruchettes à aujourd’hui.
Elles sont situées dans quatre ruchers différents dont trois à Rabastens et un à Couffouleux.
Les récoltes espérées sont du miel de printemps, du miel toutes fleurs et du miel de tournesol.

L'apiculteur : Anne-Laure FORGERIT

UTPLA apiculteur Anne-Laure FORGERIT

Installée au cœur du Marais Breton Vendéen à Notre Dame de Monts, la miellerie « Au pré des abeilles » est née en 2017.
Le Marais Breton est composé de différents paysages :
la forêt dunaire avec ses pins et ses chênes verts, le marais salé avec ses anciens marais salants,
le marais doux avec ses prairies et ses roselières et le polder avec ses cultures.
Il abrite au fil des saisons de nombreuses espèces rares et protégées, comme le hibou des marais,
la barge à queue noire, l’avocette élégante, le leste à grands stigmas, la loutre d’Europe …
Riche d’une grande biodiversité, ce territoire est classé en zone Natura 2000 et en Zone Naturelle
d’Intérêt Ecologique Faunistique et Floristique (ZNIEFF).

Une saison 2024 éprouvante !

Bonjour,

La mise en hivernage des colonies est terminée depuis 3 semaines.

La saison 2024 est derrière moi, si je devais résumer cette saison en un seul mot, je dirais éprouvante.

Tout d’abord, sur le plan physique car avec la pluie, il était impossible d’approcher les ruchers en camion ce qui m’a obligé à beaucoup de manutention.

Egalement sur le plan moral, car je n’ai pas récolté de miel de printemps.

Cependant, j’ai eu beaucoup de chance sur le renouvellement des colonies, mes reines ont été correctement fécondées avec un taux de réussite proche des 80%.

Cette saison m’a obligé à revoir mes objectifs et à remettre pas mal de choses en questions.

Je suis contente que cette saison soit terminée et malgré les difficultés rencontrées, je m’en sors bien.

Les miellées ont été tardives mais au final correctes au vu de la météo.

Quand aux colonies d’abeilles, elles sont belles et pleines de mielJ.

Je reste optimiste pour la saison prochaine…

Pour terminer, je voulais vous dire un grand merci pour votre soutien et votre engagement pour l’apiculture Française. Merci !

Anne-Laure

 

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Le Rucher Au Près des abeilles

Le Rucher Au Près des abeilles

J’ai eu mes premières ruches en 2008, petit à petit le nombre de ruches a augmenté et aujourd’hui j’en possède environs 200.  
J’ai décidé de faire de l’apiculture mon métier car cela me permet de travailler dans, avec et pour la nature.
J’ai la chance d’être sur un territoire où il y a beaucoup de prairies naturelles et peu de grandes cultures.
Je peux ainsi pratiquer une apiculture qui correspond à mes valeurs, c’est pourquoi je me suis engagée dans une certification agriculture biologique.
Mes ruchers sont de petite taille, entre 12 et 16 ruches en général.
Mes abeilles butinent la multitude de fleurs sauvages présentes dans les prairies :
renoncules, crépis, guimauves, ...
Le miel « de prairie » qu’elles produisent cristallise rapidement, il est parfumé et long en bouche.

L'apiculteur : Dominique HARDOUIN

UTPLA apiculteur Dominique HARDOUIN

Suite à une carrière de technicien au sein de France Télévision, j'ai entamé une reconversion professionnelle en avril 2019.
J'ai démarré cette activité en 2010 de façon totalement amatrice pour augmenter les récoltes de mon potager.
Puis progressivement, j'ai augmenté mon cheptel.
Aujourd'hui, je m'occupe d'environ de 120 ruches et grâce notamment à votre soutien je souhaite devenir apiculteur à titre principal cette année.

Ainsi, avec mes abeilles, je vole de floraisons en floraisons au gré des saisons.
De la plaine des Maures aux monts des Cévennes en passant par le Verdon, je récolte chaque année un large panel de miels.

Enfin le printemps et c'est reparti

Chères Marraines, chers Parrains,

Après une année 2024 en demi-teinte (printemps et automne trop pluvieux, mais un été magnifique pour les abeilles), 2025 semblait suivre le même chemin... jusqu’au 15 avril, où tout a basculé.
Malgré les fortes pluies, le soleil est revenu, et les colonies se sont développées à vue d’œil.
Et, chose de plus en plus rare : de nombreux essaims sauvages sont apparus de nulle part.
Merci pour ce beau cadeau de Dame Nature !

 

Actuellement, entre Saint-Paul-de-Vence et Menton, vos protégées se régalent sur les citronniers et les vipérines. Les autres agrumes ne tarderont pas à prendre le relais.

 

 

Chez nous, sur les bords de l’Argens, elles butinent pour l’instant les pyracanthas et les cornouillers.
Mais de nombreuses autres essences vont bientôt fleurir : érables de Montpellier, tilleuls…

 

 

Dans d’autres secteurs du Var, dans les maquis et les garrigues, les tapis de thyms, de cistes cotonneux, de cistes de Montpellier et de dorycniums sont littéralement couverts d’abeilles.
Un puissant vrombissement envahit les champs : un vrai bonheur pour les oreilles.

 

 

Les premières récoltes devraient commencer vers la mi-juin, et tout laisse penser qu’elles seront abondantes.

Côté frelons asiatiques, avec un collègue mentonnais, nous avons cet hiver mis au point des cabanons à ruches dont les parois sont constituées de simples fils de fer verticaux espacés de 2,5 cm. Les abeilles passent aisément entre les fils… mais pas les frelons.
Comme ceux-ci volent bien plus lentement, ils voient passer les abeilles sans jamais réussir à les attraper.

Dans le mois qui vient, je vais généraliser ce type d’installation à l’ensemble de mes ruchers pour protéger au mieux les colonies.

Un immense merci pour votre fidèle soutien,
et à très bientôt pour de nouvelles aventures apicoles !

Apicalement vôtre,

 

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Le rucher du Cannet des Maures

Le rucher du Cannet des Maures

Ce rucher situé sur la commune du Cannet des Maures dans le centre Var, est au bord du massif des Maures. Cette terre anciennnement volcanique est scilicieuse et acide. On y trouve des plantes typiques des maquis, tel la bruyère blanche arboricole, la lavande stoecha, l'immortelle, etc...

Ce biotop remarquable, me permet d'y recolter du miel de maquis, de chataignier et quelques fois d'arbousier.

Que se passe-t-il ce mois-ci sur votre rucher ?

Chers Parrains, chères Marraines,

Bon ! On va devoir vous parler d'un sujet d'actualité pas très réjouissant : Les pesticides


Avant cela, parlons de quelque chose de bien plus sympathique : Les papillons
Le mois de juin est enfin la ! Dans les ruches comme dans les jardins, c’est la pleine activité !
C’est aussi la dernière ligne droite pour soutenir le projet “Papill’Home” porté par nos petites s&oeli...




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