Starmat

Starmat est un groupement de négoces en matériaux de construction répartis sur toute la France qui s’adressent aux professionnels du bâtiment ainsi qu’aux particuliers. Retrouvez sur notre site www.starmat.fr tous les points de vente de France, Corse et DOM-TOM pouvant répondre à toutes vos demandes. Vous pouvez nous adresser également vos demandes sur le site Starmat à la rubrique contact.
Le Conseil d’Administration de Starmat, conscient des enjeux sociétaux et environnementaux qui l‘entoure, souhaite à travers le développement durable participer à la biodiversité pour les générations futures en parrainant des apiculteurs qui œuvrent pour la sauvegarde des abeilles.
Les ruches en images
L'apiculteur : Brahim BEN TALEB

Mon premier rendez-vous avec les abeilles était à l’âge de deux ans.
Deux essaims venaient de se poser en plein milieu de notre maison au Maroc.
Ma grand-mère aveugle a demandé à une apicultrice qui tournait à 150 ruches en osier de les enlever par peur de piqûres.
Le deuxième rendez-vous en 2016 à la ville de Rambouillet en France.
Une dame a installé une ruche chez nous au centre équestre et elle venait la visiter régulièrement et je commence à m’intéresser aux abeilles puis j’ai commencé par 7 ruches vers juillet 2016.
Avec beaucoup de lecture et des vidéos je me suis inscrit au rucher école SIARP, puis à l'abeille eurélienne qui m'a permis de bénéficier de la formation TSA avec gds centre et l’équipe de la FNOSAD.
Une formation insémination également avec APINOV.
Récolte, élevage, hivernage
Bonjour à toutes et à tous,
Les récoltes de printemps ont été exceptionnelles, avec un très beau miel aux saveurs d’érable, d’aubépine et d’acacia.
La miellée suivante — sur tilleul, ronce, châtaignier, miellat et lavande — a démarré sous les meilleurs auspices. La majorité des ruches ont produit une à deux hausses, et jusqu’à trois pour les colonies les plus vigoureuses !
Malheureusement, la dernière canicule et les températures extrêmes ont brutalement stoppé la production de nectar. Sur certains emplacements, notamment en lavande exposée en plein soleil, les fleurs ont été complètement séchées, mettant fin prématurément à la miellée.
L’élevage de reines et la constitution d’essaims se poursuivent encore jusqu’au début septembre, afin de renforcer le cheptel en vue de la prochaine saison.

Rucher du Château de Rambouillet

Installées dans le parc du château géré par le domaine de Chambord, C’est un parc de 980 hectares hectares en pleine forêt de Rambouillet. On y trouve notamment beaucoup de tilleuls mais aussi des d’acacias et châtaigniers.
L'apiculteur : Wilfrid BOUCHER
Bonjour,
Je m’appelle Wilfrid, originaire de La Réunion et aujourd’hui apiculteur dans l’Eure, en Normandie.
Ma passion pour les abeilles remonte à mon enfance, aux côtés de mon grand-père qui possédait plusieurs ruches et m’a transmis le goût de ce métier.
En 2009, j’ai suivi une formation au rucher-école du Syndicat Apicole de Haute-Normandie, puis, dès 2010, j’ai installé ma première ruche — construite de mes mains — avec un essaim récupéré dans un arbre.
Peu à peu, j’ai développé mon cheptel en élevant les essaims issus de mes propres ruches, installées au cœur du Marais Vernier, un site naturel d’une grande richesse.
En 2014, j’ai rejoint Un Toit Pour Les Abeilles pour contribuer à la préservation des pollinisateurs et sensibiliser le public à leur rôle essentiel.
Après l’obtention de mon BP Responsable d’Exploitation Agricole en Apiculture en 2015, j’ai franchi un nouveau cap en 2018 : avec Émilie, mon épouse, nous avons créé APIWILLY.
Aujourd’hui, nous gérons environ 400 ruches, produisons du miel et des produits dérivés, et proposons des visites pédagogiques afin de partager notre passion et notre engagement pour une apiculture respectueuse et durable.
Merci à tous ceux qui nous soutiennent et participent, à travers le parrainage, à faire vivre cette belle aventure apicole.
Des nouvelles de vos abeilles
Chères Marraines, Chers Parrains,
Nous espérons que vous allez bien.
La saison apicole 2025 touche à sa fin… Et bonne nouvelle : elle a été bien meilleure que 2024. Ouf !
Grâce à une météo plus clémente, les abeilles ont pu profiter pleinement des fleurs dès le printemps.
Elles ont bien butiné, et les récoltes sont au rendez-vous : un miel savoureux, reflet du travail acharné de nos petites butineuses.
Nous souhaitons vous remercier chaleureusement pour votre soutien tout au long de l’année.
Un grand merci également à celles et ceux qui ont pu venir nous rendre visite lors de notre porte ouverte — ces moments d’échange comptent beaucoup pour nous.
Vos pots de miel arrivent bientôt !
Vous pourrez bientôt savourer le fruit du travail de vos abeilles. Nous avons hâte de partager avec vous ce délicieux miel local.
En attendant, nous vous souhaitons à toutes et tous une très belle fin d’année !
À très bientôt,
Emilie & Wilfrid et toutes vos abeilles !

Le rucher de Marais-Vernier

Situé au cœur du Parc Naturel Régional des Boucles de la Seine Normande, le Marais Vernier est une vaste zone humide de 4 500 hectares, en forme d’amphithéâtre naturel.
On y trouve des roselières, des prairies humides et une tourbière de 2 000 hectares, la plus grande de France.
Classé Natura 2000, ce site exceptionnel abrite une biodiversité remarquable et des écosystèmes préservés.
Nos ruches y sont installées dans un environnement riche et équilibré, où les abeilles butinent les arbres fruitiers (pommiers, poiriers, cerisiers), les châtaigniers, les ronces, les tilleuls et les trèfles des prairies voisines.
Nous y produisons deux miels : un miel de printemps, doux et floral, et un miel d’été, plus corsé et boisé.
L’exploitation est conduite en Agriculture Biologique, avec des abeilles Buckfast élevées dans des ruches Dadant, dans le respect du rythme naturel des colonies.
Un lieu unique, où la nature et les abeilles vivent en parfaite harmonie
L'apiculteur : Alexandre BOUVIER

Je m'appelle Alexandre Bouvier (33 ans). Mon intérêt pour la nature et les plantes m'a poussé à aller découvrir le monde merveilleux des abeilles en 2015.
Après deux saisons auprès d’apiculteurs confirmés dans le Tarn et en Lot-et-Garonne, je me suis lancé avec mes 10 premières ruches progressivement dans le projet de vivre de ce magnifique métier.
Pour compléter mes acquis, je me suis formé au rucher école local et ensuite fait une formation agricole (BPREA) afin d’avoir toutes les clés pour démarrer cette belle aventure.
Fin 2018, 160 personnes m’ont soutenu dans ma campagne de financement participatif. Grâce à eux, j’ai l’occasion de travailler auprès des abeilles à temps plein depuis le printemps 2019.
Le sens de l’organisation et du collectif chez l’abeille m’émerveillera toujours ! En tant qu’apiculteur nous avons la chance de la voir évoluer et de faire un métier diversifié et enrichissant.
L’idée du parrainage fleuri fortement dans mon esprit depuis quelques années. Je pense que nos paysages ressemblent de plus en plus à un désert pour les pollinisateurs.
Il est temps que collectivement nous travaillons à repenser nos écosystèmes afin que les divers acteurs replacent le vivant au centre des décisions, que ce soit le particulier dans son jardin,
les collectivités dans leurs gestions de l’espace public, les agriculteurs sur leurs champs, etc.
Le soutien de parrains est pour moi l’une des clés pour recréer les liens entre les divers acteurs concernés et mettre en lumière l’importance de notre biodiversité.
Et puis je souhaite que le parrainage m’aide à réaliser un vieux rêve.
J’aimerais créer des collaborations avec des éleveurs locaux pour que leurs prairies deviennent un paradis aussi bien pour les animaux que les insectes/abeilles.
En retravaillant sur des programmes de plantation de haies et prairies enrichies en fleurs.
Cependant, les éleveurs ont souvent besoin de soutien financier et technique pour mettre en place ces démarches. Ils sont un maillon essentiel pour que la flore de France reste diversifiée !
J’ai actuellement 120 ruches dadant avec des abeilles de diverses races. La diversité c’est bien aussi chez les abeilles.
Elles sont situées sur divers secteurs pour bénéficier de floraisons durant toute la saison.
Des nouvelles de la saison
Bonjour à toutes et à tous,
La saison a été plutôt satisfaisante dans notre région. Ça fait du bien de retrouver une certaine diversité de miels, et en quantité raisonnable !
La fin de saison a cependant été plus difficile pour nos abeilles. Le premier épisode de canicule, fin juin, a fortement affecté la végétation. Malheureusement, cela risque d’impacter les récoltes de miel de tournesol et de forêt.
Nous attendons désormais la pluie avec impatience, pour soulager la nature et permettre aux abeilles de mieux préparer l’arrière-saison.
Un grand merci pour votre soutien, toujours aussi précieux.
Cordialement, Alexandre

Le rucher d'Angiroux

La flore locale permet aux abeilles de butiner au printemps les fleurs des arbres fruitiers (ici notamment les pruniers), buissons sauvages, pissenlit, colza,
ainsi que de l’aubépine, de l’acacia et plus tard dans la saison du miellat et du tournesol.
Durant les périodes de disette, une partie des colonies sont ensuite disposées auprès des bourdaines et bruyères Landaises ainsi que des châtaigniers de Dordogne
afin de leurs apporter des pollens et nectars de qualité. Les abeilles et l’apiculteur sont gagnants !
Nous profitons des diverses miellées de nos terroirs pour offrir une gamme variée de gouts, couleurs et de textures. Des miels crémeux jusqu'à des miels aromatiques et complexes :
Miel de printemps, d´acacia, de toutes fleurs, de bourdaine, de châtaignier, de foret, de tournesol, du crémeux de printemps et d’été !
L'apiculteur : Jorris VAN BERGEN

J’ai commencé l ’apiculture aux Pays-Bas, avec une dizaine de ruches dans le jardin de mes parents, et comme hobby à côté de mon emploi en tant que prof de français dans un collège.
En recherche d’un meilleur endroit pour les abeilles - et pour l’apiculteur surtout - je suis parti en voyage en 2014 et j’ai abouti dans les Alpes Maritimes,
où j’ai fait du wwoofing (Lien : www.wwoof.fr) chez un autre apiculteur du réseau Un Toit pour les Abeilles, Philippe Chavignon.
Ebloui par la beauté environnante et le bien-être des abeilles, j’ai fini par trouver ma vie dans cet endroit.
Je m’installerai apiculteur à titre exclusif en 2019 après avoir obtenu mon diplôme agricole avec spécialisation apicole.
Je conduis mes ruches en AB, label qui correspond à mes valeurs et à ma personnalité.
Je m’installerai à Saint-Léger, pittoresque village à 45 minutes du "Rucher des Gorges de Daluis" sur lequel est greffé mon exploitation, que j’ai baptisée le "Rucher Au Septième Miel".
Nouvelles de nos ruches - saison 2025
Chers parrains et marraines,
Je prends enfin un moment pour vous donner des nouvelles de nos ruches et de cette saison 2025 – qui n’a pas été de tout repos.
L’année a bien commencé, avec un printemps plutôt favorable. Nous installons une petite partie du cheptel sur le littoral où les abeilles profitent notamment de la bruyère blanche en début de printemps. Cette miellée commence parfois au mois de mars et peut s’étendre jusqu’en fin avril si les conditions sont favorables. Cette année, les conditions ont été favorables surtout en fin de miellée et les ruches ont fait une récolte record sur cette floraison.
Les floraisons en montagne en fin de printemps ont été très variables d’un secteur à l’autre, et donc les récoltes ont été globalement correctes, avec une belle surprise : une partie de ce miel récolté s’est révélé être du miel de thym monofloral. Comme ce miel est très compliqué à faire – d’autres plantes fleurissent souvent juste avant ou après (et parfois en même temps) et donc c’est difficile de le séparer des autres floraisons – ce miel est systématiquement envoyé à des laboratoires spécialisés qui réalisent des analyses précises, notamment des comptages de pollens au microscope. Le miel qui est récolté en fin de miellée est souvent « déclassé »: même s’il est excellent nous ne pouvons pas l’appeler « miel de thym » et donc nous l’appelons alors « miel de montagne de printemps ». Notre miel de montagne de printemps est ainsi toujours dominant en thym.
Si le printemps a été globalement réussi, ce n’est pas le cas pour l’été qui a été très difficile. En montagne, les rentrées de nectar se sont arrêtées nettes avec la sécheresse, et nous n’avons rien récolté sur nos emplacements d’altitude. Sur le plateau de Valensole, la situation n’a guère été meilleure : peu de nectar, beaucoup de vent et de chaleur, les fleurs ont souffert et les abeilles aussi. Nous avons heureusement pu récolter un peu de miel, mais la récolte a été parmi les plus faibles que nous ayons connues.
Ces conditions ont rendu l’hivernage compliqué : les colonies sont sorties affaiblies, certaines ont eu du mal à refaire leurs réserves, et nous devons redoubler de vigilance pour les aider à se préparer à l’hiver dans les meilleures conditions possibles. En effet, l’automne est une période clé de la saison : c’est le moment où les abeilles d’hiver sont élevées dans les ruches et ce sont celles qui doivent passer tout l’hiver pour redémarrer la colonie au printemps. Ces abeilles doivent donc être élevées dans les meilleures conditions possibles et pour cela la ruche nécessite d’amples sources de nourriture – nectar, mais surtout aussi pollens. Si l’un ou l’autre vient à manquer, la ruche entre en hiver affaiblie et risque de ne pas survivre aux conditions hivernales surtout si celles-ci sont rudes.
Ce qui a également marqué cette saison, c’est le fait que nous avons constaté plus de problèmes sanitaires que d’habitude. Des virus et bactéries ont circulé dans plusieurs ruchers, probablement favorisés par la faiblesse des colonies. Cela demande beaucoup de travail d’observation, de soins et de prévention – et malheureusement, malgré tous nos efforts, nous avons perdu des ruches.
Malgré tout, nous restons confiants et passionnés. Chaque saison nous apprend quelque chose de nouveau et nous rappelle à quel point notre travail avec les abeilles est fait d’humilité et d’adaptation. Vos parrainages nous aident à traverser ces périodes plus rudes – merci du fond du cœur pour votre fidélité et votre soutien.
Nous espérons que les pots de miel que vous recevrez cette année sauront tout de même vous régaler et vous rappeler la richesse du travail des abeilles, même quand la nature se montre capricieuse.
Prenez soin de vous, et à très bientôt pour une nouvelle saison parmi les abeilles.
Jorris, Tiffanie, Roua et Anthéor.

Le Rucher au Septième Miel

Je suis passionné par le monde des abeilles et par l’apiculture, et j’ai aujourd’hui la formidable chance d’en faire mon métier.
Je possède actuellement une centaine de ruches, et le projet est d’atteindre les 300 ruches, ce qui me permettrait à moi et à ma famille de vivre de cette activité.
C’est un très beau métier, mais qui connaît beaucoup de défis au quotidien, non seulement liés à la fragilité de l’abeille dans la nature de moins en moins sauvage,
mais aussi aux charges de travail très concentrées sur la saison apicole.
J’élève moi-même les reines et les essaims nécessaires pour l’exploitation, ce qui est un facteur clef dans la réussite en bio.
C’est ce qui me permet d’avoir des reines de qualité, l’offre sur le marché étant très limitée.
Voilà tout est dit, si ce n’est que j’ai besoin de vous pour aboutir à ce rêve ambitieux mêlant préservation de la nature et protection de l’abeille.
Que se passe-t-il ce mois-ci sur votre rucher ?
Souvenez-vous… il y a quelque temps, on vous parlait d’un projet un peu spécial, inspiré par la ruche, les abeilles et tout l’univers qui les entoure.
Aujourd’hui, le secret n’en est plus un car ce projet a enfin pris vie ! Nous sommes fiers de vous présenter notre calendrier de l’avent immersif 2025 – Les Alvéoles de la Ruche.
Un calendrier pas com...