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Patrick F.
APICULTEUR - PROVENCE-ALPES-CÔTE D'AZUR
1Je choisis mon rucher :
Le rucher Saint-Gervais
Région : PROVENCE-ALPES-CÔTE D'AZUR
Le rucher connecté Saint-Gervais
Région : PROVENCE-ALPES-CÔTE D'AZUR
Ce rucher est un rucher connecté
2Je choisis le nombre d'abeilles :
2 000 abeilles
4 000 abeilles
8 000 abeilles
12 000 abeilles
16 000 abeilles
20 000 abeilles
40 000 abeilles
2 000 abeilles
4 000 abeilles
8 000 abeilles
12 000 abeilles
16 000 abeilles
20 000 abeilles
Récapitulatif
En parrainant 2000, vous recevrez 6 pots de miel de 250g par an
Le rucher Saint-Gervais
Région : PROVENCE-ALPES-CÔTE D'AZUR
16 ruches installées

La plupart de mes ruches se situe dans la pointe sud-est du Vaucluse, dans le parc naturel du Luberon, entre le massif du Grand Luberon
et la Durance, proche du plateau de Valensole, au cœur de la Provence.  
C’est un site épargné par les cultures intensives où la plupart des agriculteurs travaille en méthode raisonnée sur de petites parcelles peu nombreuses.
Les milieux naturels et sauvages, sur cette zone occupent la majeure partie de l’espace.
La flore y est très riche.
Elle fournit aux abeilles : les fleurs des noisetiers, pruneliers, cornouillers, aubépines, amandiers, acacias, buis, ciste, chênes…
pour les arbres et arbustes et pour les plantes, les fleurs de romarin, pissenlit, trèfle blanc, thym, ronce, lavande sauvage et cultivée,
luzerne, sainfoin, chardon, immortelle, lierre, ainsi que de nombreuses plantes messicoles.

Le rucher connecté Saint-Gervais
Région : PROVENCE-ALPES-CÔTE D'AZUR
4 ruches installées
Ce rucher est un rucher connecté

Rucher connecté ? Quésaco ? Il s’agit d’un boitier bienveillant qui permet, grâce à un système de balances placées sous les ruches de suivre en temps réel les colonies équipées du dispositif. Grâce à des informations simples et pertinentes l’apiculteur et le parrain peuvent suivre l’évolution des ruches, leurs poids, leurs réserves, leurs populations et les principales actions naturelles ou les interventions de l’apiculteur sur la ruche parrainée.

Le parrain pourra ainsi vivre plus intensément une saison avec ses abeilles.

La plupart de mes ruches se situe dans la pointe sud-est du Vaucluse, dans le parc naturel du Luberon, entre le massif du Grand Luberon
et la Durance, proche du plateau de Valensole, au cœur de la Provence.  
C’est un site épargné par les cultures intensives où la plupart des agriculteurs travaille en méthode raisonnée sur de petites parcelles peu nombreuses.
Les milieux naturels et sauvages, sur cette zone occupent la majeure partie de l’espace.
La flore y est très riche.
Elle fournit aux abeilles : les fleurs des noisetiers, pruneliers, cornouillers, aubépines, amandiers, acacias, buis, ciste, chênes…
pour les arbres et arbustes et pour les plantes, les fleurs de romarin, pissenlit, trèfle blanc, thym, ronce, lavande sauvage et cultivée,
luzerne, sainfoin, chardon, immortelle, lierre, ainsi que de nombreuses plantes messicoles.

J'ai fait le choix de ne pas transhumer mes ruches afin d'offrir aux abeilles un cadre de développement optimal.
Sédentaires, les abeilles produisent différents miels toutes fleurs allant du miel de printemps assez doux, de la garrigue, à un miel d'automne d’un jaune prononcé à ambré,
puissant à très puissant en goût selon les années. En tout, et suivant les années, c'est jusqu'à sept saveurs différentes qui peuvent être produites.
Une fois extrait, le miel, après quelques jours de décantation, est directement mis en pots.
Il n’est ni chauffé ni ensemencé et cristallise, là aussi selon les années et les saisons, plus ou moins rapidement.

A propos de Patrick

C'est en 2014 que je suis devenu berger des abeilles dans le cadre d'un projet de reconversion professionnelle.
Quand j'ai conçu mon projet je me suis donné comme ligne de conduite, comme philosophie, comme éthique de ne pas transhumer mes ruches pour le bien être de mes abeilles. De là découle toute ma pratique apicole :
 
- Je ne transhume donc pas mes ruchers. Mes colonies restent toute l'année sur le même emplacement.
Je propose, chaque année, diverses saveurs de miels en fonction de la période de récolte et de la localisation des ruchers. Je peux ainsi proposer jusqu'à 6 à 7 saveurs différentes : miel du Loubatas (des collines de Peyrolles en Provence), du Luberon, de printemps, de romarin, d'été, de lavande, d'automne. Pour cela je fais de "petites" récoltes très localisées.
 
- Je ne nourris pas au sirop mes colonies (colonies de production et les essaims que je fais).
Ne transhumant pas, je choisis des emplacements qui permettent à mes abeilles de trouver de la nourriture (nectar et pollen) toute l'année.
 
- Je privilégie les petits ruchers (20 colonies au maximum)
Cela dans trois objectifs :
1.    Ne pas mettre trop d'abeilles sur une même zone de butinage,
2.    Limiter le risque de propagation de maladies (peu de ruches et limitation de la dérive)
3.    Limiter les pertes (suivant l'adage, ne pas mettre tous ses œufs dans le même panier).

- Je n'achète ni reine ni essaim.
Je renouvelle mon cheptel par la réalisation d'essaims artificiels qui élèveront leur propre reine. Toutes mes colonies sont aujourd'hui issues de souches locales. Mes colonies sont mieux adaptées à évoluer en fonction de leur environnement (ressources disponibles, climat).
 
- Je récolte exclusivement des cadres de hausses et des cadres operculés. En fin de saison, je laisse les cadres non operculés à lécher.
 
- Je ne modifie pas mon miel. Une fois récolté et extrait, après quelques jours de décantation, le miel est directement mis en pots. Il n’est ni chauffé ni ensemencé et cristallise, là aussi selon les années et les saisons, plus ou moins rapidement.
 
- Les cadres dans lesquels le miel est récolté n'ont jamais été en contact avec un traitement. Cela découle du point précédent.
 
- En fonction des conditions climatiques, je privilégie mes abeilles à la récolte de miel. C'est à dire que je préfère laisser les hausses pour les abeilles plutôt que de prendre le risque de les nourrir en cas, notamment, de sécheresse. Certes, je perds une partie de la récolte mais mes colonies disposent de leur propre miel.
 
De façon plus générale, j'essaye d'être respectueux de mes abeilles et de leur développement. Elles évoluent à leur rythme.

Prochaines Portes Ouvertes de Patrick

Dernières actualités de Patrick

Bilan de l’hiver 2023/24
Publié le 27/03/2024

Marraines et parrains voici quelques nouvelles de vos protégées.

Comme je le pressentais à l’automne, la prédation du frelon asiatique, particulièrement forte l’an dernier, a durement impacté l’hivernage des colonies.

En 10 ans d’apiculture, c’est la première fois que je constate un tel taux de perte, de l’ordre de 20%.

Les essaims que je vais réaliser vont certes compenser les pertes mais ce seront autant d’essaims que je ne vendrai pas et des bénéfices qui feront défaut.

Quant à la saison qui démarre nous verrons ce qu’elle nous réserve. J’ai effectué toutes mes visites de printemps et, dans l’ensemble, les colonies sont belles.

La météo est plutôt favorable, restons optimistes !

 

Votre apiculteur dévoué,

Patrick