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Les ruches en images

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L'apiculteur : Justine HENNION

UTPLA apiculteur Justine HENNION

Installée en couple depuis 2017, avec 300 ruches à bichonner !
Justine tient sa passion pour l'apiculture de son père Yvan, passionné par les abeilles qui lui a transmis son savoir.

C'est en 2012 qu'elle a rejoint la ruche en se spécialisant dans l'élevage des reines.

Florian, son compagnon a lui aussi été piqué par les abeilles, il était paysagiste mais il se consacre maintenant à temps plein pour les abeilles. 

Originaire du Nord, en quête de nature et d'une vie plus "simple" nous avons emménagé en Correze en 2021. 

 

Point de la saison

Cette année fut une année riche en émotion, nous avons eu une petite fille Isalyne, qui est née début avril. Elle est arrivée en même temps que les abeilles. 

Florian a donc du gérer l'ensemble des colonies seul, pour le début de saison.

Nous avons été épaulé par Nadine qui est une apicultrice en reconversion, elle souhaite s'installer par la suite en apiculture. 

L'année fut plutôt bonne, un printemps mitigé mais les abeilles ont pu se rattraper pendant l'été.

Les colonies sont prêtes à passer l'hiver, elles devraient rentrer un peu de nectar de lierre sur les prochains jours afin de constituer quelques réserves pour l'hiver.

 

Justine

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Le rucher de Senlis

Le rucher de Senlis

Elles sont réparties sur plusieurs ruchers essentiellement dans le département de la Corrèze .
Nos ruchers sont toujours disposés proches ou dans la forêt afin que nos abeilles aient un bol alimentaire riche et varrié
Les abeilles y produisent du miel toutes fleurs.
Nous avons une miellerie, où est extrait et conditionné le miel.

L'apiculteur : Manuel VIGNERON

UTPLA apiculteur Manuel VIGNERON

Manuel (38 ans) est apiculteur amateur depuis 2014, passé semi-professionnel en 2021 dans le massif central, en Corrèze (le pays vert) aux portes du parc naturel de millevaches en Limousin.
Il s'est formé au rucher école de Brive la Gaillarde, mais surtout grâce aux lectures qui lui ont permis d'essayer de nombreuses techniques pour se perfectionner.

Il possède actuellement 150 ruches "Dadant" où les abeilles butinent dans ce lieu paisible et naturel encore préservé (50% de forêts et 50% de prairies).
Son objectif est de conserver ce nombre de ruches dans le but de garder une production de miel et une méthode de travail artisanale et de qualité!

La réduction maximale des besoins énergétiques pour une apiculture durable se fait avec très peu de matériel électrique et thermique qui se résume simplement à son véhicule et son extracteur)!!!

Tous les ruchers se situent à moins de 10km à la ronde de son domicile, ce qui limite au maximum les déplacements!

La sauvegarde de l'abeille noire endémique de sa région mieux adaptée au climat et à la végétation, reste sa priorité.
Il développe par ailleurs un élevage naturel (tenant compte de la biologie collective des abeilles) pour proposer des essaims à la vente pour la filière apicole.
La sauvegarde de la biodiversité le préoccupe beaucoup, c'est pourquoi il n'utilise aucun produits chimiques ni dans la ruche, ni aux alentours.

Sa priorité n'est pas de produire un maximum de miel mais d'en laisser suffisamment aux abeilles pour la bonne santé de ces dernières.

Il a obtenu en 2017 l'attestation de conformité Nature et Progrès pour l'ensemble de ses ruchers et ses miels !
Ce label certifie une apiculture biologique et paysanne, qui intègre aussi des notions éthiques, environnementales et sociales dans le cahier des charges...

Il a obtrenu en 2023 le Label bio européen (agriculture biologique)!

Manuel est également sapeur pompier volontaire et technicien de maintenance sur défibrillateurs à temps très partiel!

La saison recommence…

Bonjour à tous/toutes,

L’hiver bien humide et relativement doux se termine lentement, la végétation redémarre son cycle annuel avec une bonne semaine d’avance voire même un peu plus à cause d’un mois de janvier trop chaud…

Le bilan de l’hivernage, pour l’instant, est plutôt dans la norme mais quand même décevant: entre 15 et 20 % de pertes.

Cela est dû au fait qu’un certain nombre reines trop vieilles ont fini par mourir durant l’automne et l’hiver et aussi à cause d’un affaiblissement des essaims dû aux traitements (trop?) répétés au @Varromed (médicament à base d’acide oxalique et acide formique).

J’ai eu très peur début janvier en voyant un grand nombre d’essaims très faibles, regroupés sur 2 ou 3 cadres seulement. Mais les températures assez douces de début janvier les ont permis à la reine de se remettre à pondre plus rapidement et de se redévelopper plus précocement.

Une fin d’hiver plus rude aurait très certainement fait plus de dégâts… Je ne me réjouis pas du réchauffement climatique, mais il fait avouer que ça à joué en faveur des abeilles…

Mais ça ne sert à rien de crier victoire trop vite, car je n’ai pas encore ouvert les ruches pour la visite de printemps et rien ne dit que les essaims survivants sont en bonne santé, de nombreux problèmes peuvent encore survenir… J’attends des températures supérieures à 15 degrés début mars pour pouvoir regarder tout ça de plus près et pouvoir établir des conclusions.

Le problème des températures plus douces cet hiver c’est le développement prématuré de la colonie et les besoins en nourriture sont donc très importants à un moment ou la nature ne peut rien leur offrir… j’ai donc du apporter un supplément de nourriture à de nombreux essaims qui se trouvaient sur la fin de leurs réserves. Les Saules marsault vont fleurir dans quelques jours et les premières rentrées de précieux nectar naturel va enfin ravir les abeilles.

Je vous tiendrais au courant du bilan définitif de cette période hivernale rapidement, je vais encore remettre en question mes pratiques car il y a toujours trop de mortalité évitable et chaque ruche vide reste un moment douloureux à vivre.... Je vais varier les produits de traitement (essayer le thymol en supplément) et aussi je vais essayer l’encagement des reines au mois de juillet.
En gros il s’agit de confiner la reine dans un petit espace pour l’empêcher de pondre durant une vingtaine de jours avant de la libérer et ensuite effectuer un traitement beaucoup plus efficace (95% au lieu de 60%) lorsque tout les varroas sont phorétiques (sur les abeilles et non dans le couvain)… La combinaison de plusieurs méthodes devrait permettre de moins affaiblir les abeilles avant l’hiver. 

A bientôt…

Manuel.

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Le Rucher de l'Abeille Noire Limousine

Le Rucher de l

J'ai toujours travaillé avec de l'Abeille Noire depuis mes débuts.
Je voulais faire quelque chose d'utile à mon petit niveau et essayer de sauvegarder cette Abeille Noire ancestrale et endémique, "Apis Mellifera Mellifera".
Elle est plus résistante par sa rusticité naturelle. Elle était là aussi, bien avant nous, c’est la raison pour laquelle elle a toute sa place sur nos ruchers.
Je vois déjà les dégâts causés par l'importation et l'invasion des plantes ou des animaux (exemple: le frelon asiatique) et les conséquences sur les biotopes locaux sont dramatiques!
Les abeilles noires du rucher bénéficient d’une flore variée, entre champs de pissenlit au printemps et forêts d’acacias et de châtaigniers…
Pour préserver l’Abeille Noire locale, j’ai créé un lieu spécifique à la fécondation des reines, éloigné des autres ruchers voisins potentiellement environnants.
Je le nomme le rucher de fécondation temporaire.
Je prépare ensuite l'emplacement d'un nombre de ruches suffisant pour participer à la fécondation des reines.
Deux jours avant les vols de fécondation, je place les ruches souches contenant des mâles pour la fécondation et le lendemain j’y place mes ruchettes.
La fécondation doit se dérouler 2 ou 3 jours plus tard sans qu’aucun mâle d’autres ruchers extérieurs, n'aient eu le temps de repérer les phéromones des reines noires.
Ensuite une fois fécondée par les mâles noirs elle va pondre toute sa vie des larves d'abeilles noires et l'essaim sera de race noire durant toute la vie de la reine.
On peut donc ramener cet essaim sur le rucher principal et même le disposer ailleurs si on le souhaite.
Voilà en gros pour vous expliquer comment je fonctionne. Cette méthode d’essaimage artificiel, permet d’avoir une reine élevée et fécondée naturellement et donc de respecter un maximum la nature.
Cela demande beaucoup de temps et un travail de minutie.
Merci à toutes celles et ceux qui soutiennent cette initiative au travers le parrainage et qui ont compris l’enjeux de réintroduire l’Abeille Noire ancestrale.

J'ai toujours travaillé avec de l'Abeille Noire depuis mes débuts.
Je voulais faire quelque chose d'utile à mon petit niveau et essayer de sauvegarder cette Abeille Noire ancestrale et endémique, "Apis Mellifera Mellifera".
Elle est plus résistante par sa rusticité naturelle. Elle était là aussi, bien avant nous, c’est la raison pour laquelle elle a toute sa place sur nos ruchers.
Je vois déjà les dégâts causés par l'importation et l'invasion des plantes ou des animaux (exemple: le frelon asiatique) et les conséquences sur les biotopes locaux sont dramatiques!
Les abeilles noires du rucher bénéficient d’une flore variée, entre champs de pissenlit au printemps et forêts d’acacias et de châtaigniers…
Pour préserver l’Abeille Noire locale, j’ai créé un lieu spécifique à la fécondation des reines, éloigné des autres ruchers voisins potentiellement environnants.
Je le nomme le rucher de fécondation temporaire.
Je prépare ensuite l'emplacement d'un nombre de ruches suffisant pour participer à la fécondation des reines.
Deux jours avant les vols de fécondation, je place les ruches souches contenant des mâles pour la fécondation et le lendemain j’y place mes ruchettes.
La fécondation doit se dérouler 2 ou 3 jours plus tard sans qu’aucun mâle d’autres ruchers extérieurs, n'aient eu le temps de repérer les phéromones des reines noires.
Ensuite une fois fécondée par les mâles noirs elle va pondre toute sa vie des larves d'abeilles noires et l'essaim sera de race noire durant toute la vie de la reine.
On peut donc ramener cet essaim sur le rucher principal et même le disposer ailleurs si on le souhaite.
Voilà comment je fonctionne. Cette méthode d’essaimage artificiel, permet d’avoir une reine élevée et fécondée naturellement et donc de respecter un maximum la nature.
Cela demande beaucoup de temps et un travail de minutie.
Merci à toutes celles et ceux qui soutiennent cette initiative au travers le parrainage et qui ont compris l’enjeux de réintroduire l’Abeille Noire ancestrale.

Que se passe-t-il ce mois-ci sur votre rucher ?

Chères Marraines, chers Parrains,
Permettre à des élèves de dorloter des abeilles qui ne piquent pas ?
C’est la super initiative lancée par nos collègues des Dorloteurs d’Abeilles.



Dès le lancement du projet, ils ont échangé avec de nombreux enseignants, ultra-motivés à l’idée de lancer un atelier autour des abeilles solitaires avec leurs élèves.
Mais ils ont vite &eacu...




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