FAAC FRANCE

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Depuis sa création en 1965, FAAC a pour mission d’améliorer la qualité de vie et la sécurité de ses clients en simplifiant et en automatisant les actions quotidiennes par la conception et le déploiement de dispositifs innovants et fonctionnels d’automatisation et de contrôle d’accès, à usage automobile et piétonnier.

3 BUSINESS UNIT RESPONSABLES
Au sein de FAAC Group, chaque acteur est important, qu’il s’agisse de ceux qui conçoivent et produisent, de ceux qui sont en contact avec le client, ou du personnel marketing et commercial. « Ensemble » est notre mot d’ordre. Aussi nous nous efforçons de rendre nos solutions parfaitement adaptées aux besoins quotidiens de nos clients.
En outre, nous surveillons attentivement le marché afin de découvrir et d’interpréter à l’avance leurs nouveaux besoins. Cette approche nous permet de garantir leur satisfaction présente et future.


Voir leur site internet

En 2021, est franchie une nouvelle étape dans notre volonté de réduire notre empreinte écologique avec la création de 4 ruchers aux couleurs de l'entreprise. La protection de l'environnement est une des thématiques choisie et portée par les salariés de FAAC FRANCE. D'ailleurs des parrains et marraines de l'association untoitpourlesabeilles déjà très actifs se cachaient au sein de l'entreprise FAAC FRANCE.
C'est donc tout naturellement qu'un rucher dédié à son réseau FAAC Agréés a été créé.

agréés faac

3 autres ruchers proches de nos agences principales complètent cet engagement.
Retrouvez nos différentes actions pour le développement durable sur Linkedin :
www.linkedin.com/company/faac-france/mycompany

Les ruches en images

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L'apiculteur : Mathieu CHIROSSEL

UTPLA apiculteur Mathieu CHIROSSEL

Mathieu pratique l’apiculture en activité principale depuis 2015.
L’apiculture est une pratique familiale ancestrale qui lui tient à cœur de faire perdurer et de développer.
Au siècle dernier, dans bon nombre de fermes, les ruches en paille étaient installées pour attirer les essaims et récolter le miel en fin d’année.
Cette pratique fut transformée au milieu du siècle dernier par  l'utilisation de la ruche Dadant une vraie révolution apicole que l’un des grands oncles de Mathieu vécu.
Aujourd’hui, ses colonies évoluent toujours dans ce modèle de ruche en pratiquant l’élevage et la sélection massale.
Après une formation en cours du soir et 4 saisons chez différents apiculteurs professionnels, il s’occupe actuellement d'une cinquantaine de ruches qu’il a développé d’année en année à partir de souches issues d’une longue sélection locale.
Soucieux de l'environnement et pour ne pas altérer la récolte, il pratique les méthodes apprises au sein de structures labellisées AB.
A terme, il cherche à passer sous la labellisation Nature et progrès pour une reconnaissance de ses pratiques actuelles.
En plus d’une pratique respectant l’abeille, l’apiculteur et la récolte, un de ses objectifs est de conserver un produit vivant.
Ses miels sont issus d'une seule et même récolte, ils sont non transformés et non mélangés avant mise en pots.

Portes ouvertes

Bonjour,

Mathieu vous convie à sa journée portes ouvertes le 3 Juin prochain !

L'occasion de venir découvrir vos abeilles et passer un moment en la présence de Mathieu.

Les places étant limitées, nous vous invitions dès à présent à réserver si vous souhaitez participer à cet évènement.

https://www.untoitpourlesabeilles.fr/portes-ouvertes/333-matinee-au-rucher-du-roussillon-.html

 

Belle semaine à vous.

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Le rucher du Roussillon

Le rucher du Roussillon

Son rucher est situé sur les bocages vallonnés du Roussillon, une zone peu cultivée avec principalement des prairies et des bois.

Cet environnement de collines riches en arbres mellifères lui permet de récolter du miel de printemps, de châtaignier, d'acacia parfois ou encore de tilleul.

Cette diversité permet d’offrir des couleurs, des saveurs et des textures très diversifiées.

Elle permet de proposer à chacun ou à chaque instant de dégustation, un plaisir différent. 

Dans une volonté d’une production de proximité, ses miels sont récoltés principalement dans une zone située à moins de 10 km à vol d’abeille de la miellerie.

Les ruches sont transhumées en fin de saison sur des secteurs d'altitude proche comme les monts du Pilat ou le Diois.

En plein été, le Roussillon n'offrant que très peu de ressources, cette transhumance permet de ne pas avoir à nourrir les ruches et les jeunes colonies en fin d’année.

Cela leur assure des réserves importantes et parfois une récolte de miel de lavande ou de miellat de sapin.

L'apiculteur : David GIRAUD

UTPLA apiculteur David GIRAUD

J'ai commencé l'apiculture il y une petite dizaine d'année, je suis passé de trois ruches à une centaine de ruches réparties sur 5 ruchers.
Je suis apiculteur amateur semi-professionnel, je n'arrive pas encore à vivre de mon activité apicole, je suis donc pluriactif (pisteur de ski de fond, accompagnateur moyenne montagne, vendeur conseil en magasin espaces verts).
Pour la formation, je suis autodidacte, je me suis construit en discutant avec les anciens et en dévorant des livres, j'ai commencé avec de petits moyens et j'ai eu le temps d'apprendre de mes erreurs et de mes expériences.
Cette vocation pour l'apiculture découle de plusieurs passions qui s'entremêlent (la botanique, l'ornithologie, l'enthomologie), de plusieurs rencontres essentielles comme "Pierrot" un de mes mentors ou "Gael" mon copain de longue date avec qui j'ai commencé cette aventure (merci à vous), et enfin d'une envie très grande d'être en adéquation avec le monde naturel du vivant qui m'entoure tout en respectant les autres. Je voudrais à présent essayer de vivre de ma passion modestement en aidant la planète et en considérant à égal son prochain. C’est pour cela que je me suis lancé dans l’aventure Un Toit Pour Les Abeilles.

Nouvelles printanières

Chères marraines, chers parrains,
Si les hommes aiment les hivers doux et ensoleillés pour manger au balcon, pour les abeilles c’est loin d’être l’idéal.
La visite des ruchers en sortie d’hiver n’a pas été source de bonnes nouvelles.
De nombreuses colonies étaient soit extrêmement faibles, soit carrément décimées.
Les pertes de cet hiver 2020 s’élèvent à 40% environ, un triste hiver pour les Happykulteurs.
La grande majorité ne manquait pourtant pas de nourriture, les cadres de réserve étaient souvent encore garnis de miel.

Il est fort probable que l’hiver très doux et très ensoleillé que nous avons eu dans notre région en soit une des raisons.
Les ouvrières, au lieu de rester confinées (!) dans la ruche en attendant calmement le début du printemps et ses premières floraisons, sont sorties beaucoup plus tôt que d’habitude.
Or en janvier et février, même s’il faisait relativement chaud et beau, la nature était encore endormie et les fleurs n’étaient pas encore sorties.
Beaucoup d’ouvrières se sont donc épuisées à chercher des ressources en nectar et en pollen.

Elles se sont ainsi retrouvées trop peu nombreuses pour relancer la colonie efficacement.
Qu’à cela ne tienne ! Le travail des mois de mars et avril a donc consisté à reconstituer les colonies du rucher.
C’est-à-dire à renforcer les colonies les plus faibles et à diviser les colonies les plus fortes pour en créer de nouvelles (faire naitre une nouvelle reine).
Aujourd’hui, fin avril, grâce à un gros travail de division et de répartition, les ruchers sont « en forme ».
Le grand soleil de ce début de printemps a été très favorable et a permis des belles floraisons avec beaucoup de nectar et de pollen.
Au rucher des Iles, les cerisiers et les pissenlits constituent une précieuse ressource pour le développement des colonies.
Le rucher de la Pierre, plus haut en altitude, met un peu plus de temps à se remettre de ces pertes hivernales.
Mais la nature est bien faite et la vie l’emporte toujours, ce n’est qu’une question de temps avant que les hausses à miel se remplissent de bon nectar.

L’happykulteur veille sur ses avettes.
Prenez soin de vous, nous on s'occupe des abeilles :)
David et Coralie

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Le Rucher de la Pierre

Le Rucher de la Pierre

Le rucher se situe sur une friche sauvage avec un jardin potager et des arbres fruitiers, d'orientation plein sud ou sur l'adret pour les puristes avec une terre assez pauvre et caillouteuse plutôt calcaire.
Ce terrain se situe à 500m d'altitude, entouré de quelques pâturages avec pissenlits, primevères, pâquerettes et autres trèfles. Il est bordé en aval d'une belle petite rivière " la Morge" avec ses zones inondables de roseaux et ses peupliers, et en amont d'une forêt de feuillus avec érables, chênes, châtaigniers, tilleuls, merisiers, aubépines.
Le panorama sur la montagne de la " Grande Sure " environ 2000m d'altitude est magnifique.
J’y récolte du miel du Massif de Chartreuse, miel toutes fleurs forestier de moyenne montagnes -Notes marquées de châtaignier et plus subtil de tilleuls - Saveur boisée, caramélisée et fumée, fruits confits - un miel assez fort en bouche de couleur foncé - Médaille d'Or 2015 et de Bronze 2017 concours bisannuel du Syndicat Apicole Dauphinois.

L'apiculteur : Renald POULAIN

UTPLA apiculteur Renald POULAIN

Renald, paysan bio depuis plus d’une dizaine d’années et ancien éleveur laitier a décidé de se diversifier dans l'apiculture biologique en 2012 (certification Ecocert).
Amoureux de la nature depuis son enfance, Renald a pour éthique le respect de l’environnement et une démarche respectueuse de l’homme et des générations futures.

Il élève lui-même ses reines et ses essaims, ayant suivi une formation spécifique d'élevage.
Ses ruches sont des dadants comportant chacune 10 cadres, elles sont fabriquées en pin douglas provenant de la forêt voisine, la peinture de protection des ruches dite Suédoise est faite par ses soins, avec de la farine, de l'huile de lin et de l'ocre.


Il cultive ses terres et plante sur plusieurs dizaines d’hectares les fleurs qui permettront à ses abeilles de s’épanouir.
Il fournit également en blé sur des variétés oubliées et pauvre en gluten les boulangeries alentours.
Les miels produits par Renald n’ont subi aucune transformation (non chauffés), ne contiennent aucun additif.
Ils gardent ainsi toutes leurs propriétés gustatives et bienfaits pour la santé.

Son objectif est d'atteindre 250 ruches pour vivre de l'apiculture.

Quelques nouvelles fraiches

Bonjour à tous,

L'année 2022 s'est très bien passée, j'ai pu faire beaucoup de miel de printemps et d'été.
Ma petite exploitation commence à grandir grâce a l'installation de mon fils Valentin à partir du 1er avril 2023.

Pour moi c'est une très grande fierté car on va pouvoir travailler entre père et fils.
Nous sommes actuellement fin février, le temps est très clément. Les abeilles commencent à sortir pour s'alimenter en pollen de noisetier et et de seaules.
L'hivernage se passe très bien, j'ai un tout petit peu d'abeilles qui sont mortes environ sept ruches sur 230 ruches ce qui est en dessous du taux de mortalité constatée sur le territoire. 
Avec l'installation de Valentin, nous allons augmenter notre cheptel à 350 ruches avec 100 nouvelles colonies supplémentaires pour le redémarrage de la saison apicole d'ici un bon mois.

Merci à vous pour votre soutien encore si précieux.

Valentin et Renald

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Le rucher de la table du roi

Le rucher de la table du roi

Grâce à Alain et David, deux autres apiculteurs, Renald notre apiculteur Normand a pu découvrir le secteur de Fontenaibleau et sa forêt domaniale.
Il bénéficie de 4 beaux emplacements où seront réparties 50 ruches en parrainage.

Les abeilles pourront butiner Tilleuls, Chataîgniers, Acacias et Bruyère.

Les miels de Renald sont certifiés agriculture biologique.

 

L'apiculteur : Alexandre BLOIS

UTPLA apiculteur Alexandre BLOIS

Qui suis-je ?
Un jeune apiculteur habitant le magnifique département de la Gironde.
Après avoir longtemps travaillé pour une société de construction, je me suis remis en question et je me suis tourné vers un métier où la nature joue un rôle central.
D’abord pratiqué comme un hobby, peu à peu, je passe plus de temps sur mon rucher.
J’ai fini par laisser de côté ma profession pour me consacrer exclusivement à ses jolies demoiselles.

Pourquoi avoir choisi de devenir apiculteur ?
Parce qu’aujourd’hui, si les abeilles n’étaient plus là, le monde serait sans couleur, sans saveur et sans odeur.
Face à des conditions climatiques et environnementales qui ne cessent de se détériorer, je suis persuadé que les abeilles sont notre avenir et que sans elles, le monde ne ressemblerait plus à ce qu’il est aujourd’hui.

L’univers apicole est un monde particulièrement intéressant.
La hiérarchie, leur organisation… Tout ce qui compose leur système peut nous apprendre beaucoup de choses sur le monde dans lequel on vit.
Aujourd’hui, j’apprécie particulièrement partager mon expérience avec les enfants afin de les sensibiliser à la cause des insectes pollinisateurs car tout comme eux, elles sont notre avenir.

Pourquoi avoir choisi de travailler avec un toit pour les abeilles ?
Comme beaucoup de professions liées à l’agriculture ou à l’élevage, il s’agit d’un secteur en tension.
La pénibilité du travail peut en rebuter certains et de nos jours, il est compliqué de vivre correctement de l’apiculture.
Un Toit Pour Les Abeilles nous permet de revaloriser notre profession et de partager notre passion.
Grâce à un partenariat avec CBK, ils nous proposent de nouvelles technologies afin d’assurer le bien-être de nos abeilles lors de leur hivernation mais aussi pouvoir les surveiller si un problème quelconque surgit.
Tout cela est un véritable plus pour la profession.

Que s'est-il passé ces derniers mois du côté de vos abeilles

L’année 2022 : une année entre deux eaux

Cette année 2022 a rimé avec beau temps, mais aussi sécheresse, incendies… Les départements français n’ont pas été épargnés par les conditions climatiques. Cela a aussi été le cas pour les apiculteurs.
En 2021, la pluie a mis à mal la saison apicole quant à cette année, ça a été la sécheresse. Avec près de 14 000 tonnes de miel, cette année a été décevante pour les apiculteurs.

 

Une belle saison

Le printemps a laissé un bon espoir aux apiculteurs de faire une belle récolte de miel. 
Le temps était magnifique, les abeilles ont rapidement profité. Nous avons frissonné quand des gelées printanières sont arrivées, mais nos abeilles ne se sont pas laissé abattre et elles ont continué à polliniser tout autour d’elle. 
Nous les avons placés sur un champ de colza, ce qui leur a permis de profiter d’une nourriture abondante à proximité de la ruche. Leur développement a été rapide et très satisfaisant. Elles ont très vite grossi, au point de remplir les dix cadres de la ruche. 
La bonne santé des ruches ne faisait aucun doute. Nous avons placé des hausses dès que cela a été possible et elles ont produit une belle quantité de miel de colza. Un miel qui cristallise très vite, mais qui une fois malaxé devient extrêmement crémeux et fond littéralement sur la langue. Un véritable plaisir pour le palais.

 

Un été très sec

Après un printemps prometteur, la sécheresse s’est invitée. Cela a été une véritable catastrophe écologique pour les apiculteurs. Par manque d’eau, beaucoup de plantes n’ont pas fleuri. 
Malheureusement, sans fleur, il n’y a pas de nectar et sans nectar, il n’y a pas de miel. Toutes les fleurs riches en nectar, en pollen comme le trèfle blanc, le pissenlit, le coquelicot, la ronce ou encore le lierre ont bien eu du mal à fleurir. 
Nos abeilles ont très vite manqué de nourriture et nous avons dû les nourrir afin de préserver au mieux les essaims. Nous avons dû être vigilants pour qu’elles aient toujours de l’eau à portée, car les abeilles consomment énormément d’eau que ce soit pour produire du miel ou pour rafraîchir la ruche. La récolte du miel de châtaignier ou toute fleurs a été très compliquée à produire. Malgré ces mauvaises conditions, nous n’avons pas eu de pertes de ruches.

 

Un bel automne

Heureusement, pour nos petites abeilles, la fin d’année a été marquée par des floraisons tardives. Si cela prouve le réchauffement climatique, cela a permis à nos hyménoptères de profiter d’un bon apport de nourriture avant la période d’hivernage.
Toutefois, à l’automne, nous ne produisons plus de miels. Tout est réservé aux abeilles pour préparer la longue saison hivernale. À l’automne, une autre difficulté, bien connue des apiculteurs, est : le frelon asiatique.
Les deux mois avant l’hivernage, ils sont particulièrement nombreux devant les ruches. Attrapant et déchiquetant les abeilles qui rentrent et qui sortent de la ruche. Ils sont un vrai fléau ! On peut parfois passer plusieurs heures devant les ruches à les faire fuir ou à les tuer pour sauver nos abeilles. Nous avons dû fermer certaines ruches, car la pression du frelon était trop forte. Quel stress pour nos abeilles ! Être enfermés plusieurs jours pour éviter que les frelons ne s’introduisent dans la ruche et ne dévorent pas tout ce qui s’y trouve : larves, œufs, abeilles et la reine bien sûr.

 

Un hiver clément

Après les premières gelées, les frelons n’ont plus été un problème. Les températures étant très douces cet hiver, les abeilles sont beaucoup sorties pendant la période hivernale. 
Au 27 février, j’ai la joie de ne déplorer aucune perte. 
J’attends la nouvelle saison avec impatience. 
Bien sûr, nous avons battu un record de sécheresse historique cet hiver, mais quand on aime la nature et les abeilles, on ne désespère pas ! Malgré les prévisions alarmantes des météorologues sur une éventuelle sécheresse cet été, la nature peut être surprenante ! 
Peut-être que l’année 2023 sera l’apothéose de l’apiculture !

Votre apiculteur Alexandre

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Ma petite abeille de Bordeaux

Ma petite abeille de Bordeaux

Les ruches sont situées sur des sites Natura 2000 ayant une flore et une faune exceptionnelle.
La diversité biologique garantit à mes abeilles d'être dans un environnement sain et équilibré qui leur assure un bien-être absolu, ce qui était ma priorité.
J'essaie d'avoir le moins d'impact possible sur le travail de nmes abeilles, leur apportant seulement ce dont elles ont besoin.
La seconde partie de mon rucher se trouve en plein milieu d'une forêt d'acacias.
Aucun traitement, aucune nuisance, aucun bruit si ce n'est celui de la nature.
Il y a 23 ruches dadants dans ces forêts qui ne sont dérangées que par les soins que je viens leur prodiguer.
Mon projet, étant d'agrandir le rucher avec l'achat d'une cinquantaine de ruches l'an prochain est de s'inscrire dans une démarche de sauvegarde des abeilles.
Nous espérons, cette année, pouvoir récolter du miel d'acacias, de ronces et de fleurs.

Que se passe-t-il ce mois-ci sur votre rucher ?

Que se passe-t-il dans la ruche en mai ?  

Introduction
Les beaux jours s’installent doucement et le soleil fait son grand retour ! Les abeilles sont de sortie et ça fait du bien !
Les voyez-vous dans vos jardins et dans les parcs effleurer les fleurs avec douceur et conviction ?
Quel bonheur de les observer… Un spectacle empreint de magie et de poésie.
Au mois de mai, les abeilles profitent de toutes les ressources mellifères qui les entourent et q...




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