FLORETTE

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Leader français des salades, purées, fruits et légumes frais prêts à l’emploi, Florette est une marque normande fondée par des agriculteurs il y a plus de 38 ans.

Intégrée à une coopérative agricole française, Florette s’engage pour un développement durable alliant performance économique, responsabilité sociale et respect de l’environnement.

Avec ses 6 ateliers de fabrication répartis sur toute la France, Florette est au plus près des consommateurs pour leur garantir des assiettes pleines de fraîcheur, pour se faire plaisir sans contrainte chez eux comme en restauration.


Voir leur site internet

Florette s’anime autour de 3 axes d’engagements :

• Préserver la Terre et le vivant en respectant le sol, la biodiversité et les ressources naturelles ;
• Contribuer à la vie dans l’entreprise et les territoires où elle est implantée ;
• Proposer une alimentation sûre et saine pour tous. Depuis 2022, Florette soutient Un Toit pour les Abeilles avec déjà :

* 54 ruches parrainées depuis le début du partenariat

* 2,2 millions d’abeilles préservées, qui pourront jouer leur rôle essentiel de pollinisateur.

Ce partenariat en faveur du maintien de la biodiversité s’inscrit dans le prolongement de la politique RSE de Florette. C’est un engagement déterminant pour le monde agricole dont Florette fait partie, puisque les abeilles et autres insectes pollinisateurs ont une action vitale dans la reproduction de plus de 80% des espèces végétales.

Les ruches en images

  • La ruche FLORETTE
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L'apiculteur : Mathieu CHIROSSEL

UTPLA apiculteur Mathieu CHIROSSEL

Mathieu pratique l’apiculture en activité principale depuis 2015.
L’apiculture est une pratique familiale ancestrale qui lui tient à cœur de faire perdurer et de développer.
Au siècle dernier, dans bon nombre de fermes, les ruches en paille étaient installées pour attirer les essaims et récolter le miel en fin d’année.
Cette pratique fut transformée au milieu du siècle dernier par  l'utilisation de la ruche Dadant une vraie révolution apicole que l’un des grands oncles de Mathieu vécu.
Aujourd’hui, ses colonies évoluent toujours dans ce modèle de ruche en pratiquant l’élevage et la sélection massale.
Après une formation en cours du soir et 4 saisons chez différents apiculteurs professionnels, il s’occupe actuellement d'une cinquantaine de ruches qu’il a développé d’année en année à partir de souches issues d’une longue sélection locale.
Soucieux de l'environnement et pour ne pas altérer la récolte, il pratique les méthodes apprises au sein de structures labellisées AB.
A terme, il cherche à passer sous la labellisation Nature et progrès pour une reconnaissance de ses pratiques actuelles.
En plus d’une pratique respectant l’abeille, l’apiculteur et la récolte, un de ses objectifs est de conserver un produit vivant.
Ses miels sont issus d'une seule et même récolte, ils sont non transformés et non mélangés avant mise en pots.

nouvelles de Juin

Bonjour à vous, marraines et parrains du rucher du Roussillon,

Voici quelques nouvelles depuis ce printemps.

Les colonies ont réussi à produire un peu de miel sur les floraisons de colza et d’acacia. Elles sont actuellement positionnées sur le châtaignier, mais avec le temps très sec, malgré quelques orages isolés, je constate que cette récolte ne sera pas très mellifère cette année.

La récolte devrait avoir lieu d’ici quelques jours, avant de procéder, comme chaque année, à la transhumance vers la Drôme des collines.
Les ruches y resteront environ un mois et demi, sur les lavandes sauvages et cultivées, un moment toujours important pour les abeilles… et les apiculteurs !

En espérant que les températures élevées de ces derniers jours ne s’installent pas durablement sur tout le mois de juillet.

Je vous souhaite une belle fin de mois de juin, et bonnes vacances à celles et ceux qui auront la chance d’en profiter dès ce début d’été !

À bientôt,

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Le rucher du Roussillon

Le rucher du Roussillon

Son rucher est situé sur les bocages vallonnés du Roussillon, une zone peu cultivée avec principalement des prairies et des bois.

Cet environnement de collines riches en arbres mellifères lui permet de récolter du miel de printemps, de châtaignier, d'acacia parfois ou encore de tilleul.

Cette diversité permet d’offrir des couleurs, des saveurs et des textures très diversifiées.

Elle permet de proposer à chacun ou à chaque instant de dégustation, un plaisir différent. 

Dans une volonté d’une production de proximité, ses miels sont récoltés principalement dans une zone située à moins de 10 km à vol d’abeille de la miellerie.

Les ruches sont transhumées en fin de saison sur des secteurs d'altitude proche comme les monts du Pilat ou le Diois.

En plein été, le Roussillon n'offrant que très peu de ressources, cette transhumance permet de ne pas avoir à nourrir les ruches et les jeunes colonies en fin d’année.

Cela leur assure des réserves importantes et parfois une récolte de miel de lavande ou de miellat de sapin.

L'apiculteur : Camille DUBRAY

UTPLA apiculteur Camille DUBRAY

J’ai cueilli mes premiers essaims d’abeilles en 2013.
J’avais envie, par curiosité, de m’occuper d’abeilles et de mieux les comprendre.
J’avais aussi envie de m’investir dans une activité qui avait du sens pour moi.
Passionné et autodidacte, j’ai appris grâce aux livres et principalement en ouvrant mes propres ruches énormément au début.
Je me suis aussi formé auprès d’amis apiculteurs professionnels pour les gestes spécifiques ou techniques.
Enfin, je me suis spécialisé dans le sanitaire et les maladies des abeilles en 2018 en devenant technicien sanitaire apicole.
Je trouve que la cueillette crée un joli lien avec l’essaim.
On va le chercher quelque part, bien souvent on le sauve car peu de gens se déplacent pour cueillir et les particuliers sont souvent démunis ;
On le soigne, on en prend soin, puis on l’installe dans le rucher.
Chaque ruche a un peu sa propre histoire.

J’ai ainsi développé un cheptel constitué uniquement d’essaims sauvages issus de la cueillette entre 2013 et 2018,
en passant tout en douceur de 4 essaims cueillis en 2013 à 24 colonies en 2014, puis à 60 en 2015, puis à 100, 120, puis 160 colonies d’abeilles en 2018.
C’est cette année-là que j’ai commencé à gagner ma vie grâce à l’apiculture, et ce sans jamais avoir acheté d’essaim d’abeille.
Comme mes abeilles sont issues de la cueillette, j’ai principalement de l’abeille noire dans mes ruches.
Je travaille avec des ruches de type dadant qui me semblent mieux adaptées aux contraintes modernes de l’abeille.
Je compte augmenter doucement mon cheptel pour atteindre les 200 ruches (statut paysan).
Je n’en veux pas plus car il me semble plus difficile de bien s’en occuper si on en a plus.

Je suis ravi d’avoir pu intégrer Un Toit Pour Les Abeilles.
Cela représente une opportunité pour moi de m’assurer qu’une partie de ma production sera vendue au sein d’un projet porteur pour l’abeille,
et de surcroît à un tarif convenable pour l’apiculteur.
Ça me permet aussi de dégager plus de temps au rucher à m’occuper des abeilles. C’est une chance pour moi car je suis passionné par les abeilles
et je préfère nettement le temps passé au rucher à celui passé à la commercialisation.
Même s’il faut bien gagner sa vie, les abeilles restent toujours la priorité dans notre métier.
C’est aussi stimulant d’intégrer des projets plus vastes que son petit projet à soi de sauvegarde de l’abeille.

Nouvelles juin 2025

Chers Parrains et Marraines,

Saison difficile. On court après les abeilles pour les remettre d’aplomb et espérer qu’elles se relèvent d’un début de saison très peu engageant.

J’ai réussi tant bien que mal à faire des essaims et à compenser une bonne partie des pertes hivernales et printanières.
Je suis heureux de constater qu’une partie de ces essaims pourra produire sur la miellée estivale.
Certaines ruches ont beaucoup de mal à se remettre des différentes attaques microbiennes qu’elles ont subies, malgré les heures passées à prendre soin d’elles.

Il est venu le temps des transhumances :

  • sur lavande dimanche dernier,

  • sur châtaignier la nuit qui vient.

C’est une période difficile à vivre pour mes enfants, qui voient leur papa partir seul dans la nuit.
Difficile aussi pour l’apiculteur, car éprouvante physiquement : on charge et décharge des ruches, on termine souvent entre 2h et 4h du matin, couvert de sueur et très fatigué.
Il arrive qu’il faille un jour ou deux pour s’en remettre.

Merci encore pour votre soutien,
et j’espère pouvoir vous donner de meilleures nouvelles en fin de saison.

Votre apiculteur, Camille.

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Le rucher de Mirmande

Le rucher de Mirmande

Je m’occupe de 160 colonies installées tout près de chez moi.
La plupart de mes ruchers sont fixes, c’est à dire que les abeilles ne se déplacent pas.
Je transhume deux d’entre eux au milieu des champs de lavande (20 kilomètres) et des forêts de châtaigniers (40 kilomètres) chaque année.
Autour de chez moi, on trouve pas mal de fruitiers qui assurent bien le début de saison, des prairies en jachère des phacélies ou encore de la luzerne.
Il y aussi beaucoup de pruniers sauvages en forêt, de ronce, d’aubépine, de nombreux acacia, du tilleul.

L'apiculteur : Jean-Philippe CALVEZ

UTPLA apiculteur Jean-Philippe CALVEZ

J'ai commencé l'apiculture il y a 6 ans avec l'envie d'aider au repeuplement de ruche en Bretagne et de partager ma passion pour les abeilles, et en particulier pour l’abeille noire.
Je me suis donc tourné vers l'élevage de reines afin de pouvoir fournir des essaims d'abeilles noires de qualité.
Mon objectif est de réussir à fournir chaque année un maximum d'essaim d'abeilles et de conseiller au mieux les débutants.
Le parrainage de ruches me permettra de vivre de cette passion qui m’anime et de développer au mieux mon activité d’élevage.

Rappel portes ouvertes

Bonjour à tous,

Ne manquez pas cette occasion unique de plonger dans l’univers fascinant des abeilles !
Je vous donne rendez-vous ce dimanche 7 septembre pour une rencontre conviviale au rucher.

Au programme : découverte de la vie des abeilles, échanges autour du métier d’apiculteur, et un moment chaleureux à partager ensemble.

Il reste encore quelques places ! Inscrivez-vous dès maintenant et découvrez le programme ici :
https://www.untoitpourlesabeilles.fr/portes-ouvertes/442-partez-a-la-decouverte-de-l-abeille.html

À très vite pour cette belle expérience !

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L'Abeille Sauvage

L

Mes ruches sont éloignées des zones de cultures intenses.
La majorité de mes ruchers se trouve proche de la Vallée de Rance.
Les ruches sont entourées par la ronce qui est la fleur dominante, mais on trouvera aussi beaucoup de châtaigner.
Le miel produit par les abeilles est un miel de Ronce avec une touche de châtaigne. Très agréable en bouche…
J'ai actuellement 48 ruches en production répartie sur 7 ruchers différents.
Je travaille dans le respect de l'abeille noire avec différents types ruches principalement de la Dadant, mais aussi quelques Warré, et une kenyane.
Tout est dit, j’espère que vous serez nombreux à me soutenir dans cette belle aventure.

L'apiculteur : Benjamin CUVILLIEZ

UTPLA apiculteur Benjamin CUVILLIEZ

Baigné par la nature et les abeilles depuis l’enfance, mon itinéraire me conduit toutefois à exercer le métier de charpentier dans les Cévennes.
En 2009, suite à des travaux de rénovation chez un apiculteur professionnel, ce dernier m’offre deux colonies, c’est le début de l’aventure !
L’apprentissage est permanent, semé d’erreurs, de rencontres, d’échanges, de lectures et de stages.
En 2018, je décide de m’installer sur les terres d’un ancien corps de ferme dans les Côtes d’Armor, (en Bretagne,) non loin de Guingamp.
Être associé à un toit pour les abeilles, c’est faire partie d’un réseau qui permet de sensibiliser et de rencontrer un plus grand nombre de personnes.
C’est aussi permettre aux consommateurs de s’investir dans une consommation responsable et engagée, de devenir « consom’acteurs ».

Préparatifs de fin de saison

Bonjour à tous,

L’été touche à sa fin, tout comme la saison apicole. La météo favorable en Bretagne nous a permis de travailler sereinement.

La dernière récolte, réalisée mi-août, est désormais en pots et, à l’heure des comptes, on peut dire que la saison 2025 est une réussite côté miels.

Il s’agit maintenant d’accompagner les colonies jusqu’à l’hiver, dont dépendra la prochaine saison. Les traitements contre le varroa sont en cours, la lutte contre les frelons asiatiques bat son plein et, heureusement, les ressources sont encore disponibles pour constituer les réserves hivernales.

Je vous joins une photo montrant une entrée de ruche réduite : cela aide les abeilles à mieux défendre leur colonie, notamment contre les frelons. La seconde photo illustre la jachère fleurie en cette fin d’été.

À bientôt,
Benjamin

 

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Le rucher de Kermorvan

Le rucher de Kermorvan

Les ruches sont sédentaires sur différents ruchers installés en priorité sur des zones naturelles et bio autour de la ferme.
Les abeilles, de type race noire produisent des miels polyfloraux aux parfums et textures très différents tout au long de l’année.
La première récolte de la saison commence en mai, avec un miel à la texture onctueuse et crémeuse,
de couleur claire et dont les très doux arômes évoquent les fleurs de phacélie, de colza, et les haies bocagères.
S’ensuit le mois de juillet avec un mélange de ronce, trèfle, châtaignier et autres fruitiers offrant une texture cristallisée.
Ce miel a un parfum agréablement fruité, boisé, délicat et persistant en bouche.
À la fin de l’été, une dernière récolte, avec des miels quasi monofloraux de sarrasin ou de miellat de chêne qui se singularisent par une couleur foncée et une texture liquide.
Le miellat de chêne révèle des saveurs complexes et une sensation de bonbon fleuri.
Je récolte le miel, l’extrais et le mets en pot directement. Il conserve ainsi toutes ses propriétés et bienfaits.
La conduite du rucher tend vers le bio (traitements, cires, soins…) pour respecter (au maximum) les abeilles, la nature et les gourmands.
Au fil des saisons, découvrez le travail des abeilles, de l’apiculteur et goûtez aux saveurs florales de la région bretonne.

L'apiculteur : Franck DELANNOY

UTPLA apiculteur Franck DELANNOY

Passionné par les animaux, notamment les insectes et reptiles depuis ma plus tendre enfance,
je suis co-fondateur de l'association loi 1901 "Le Peuple de l'Ombre" depuis 2005.
Je me suis intéressé de plus près aux abeilles et me suis formé à l'apiculture de loisir en 2014 à l'école rucher de Rieulay.
Apiculteur amateur depuis 10 ans, j'ai expérimenté plusieurs types de ruches (Warré, kényane, Dadant).
Le format Dadant reste à ce jour la plus pratique pour mon apiculture.
Aimant le travail du bois, toutes mes ruches sont fabriquées dans mon atelier de menuiserie, avec du bois non traité
(Sapin rouge du Nord, Mélèze, Douglas...). J’offre ainsi aux abeilles de vrais « petits paradis » où se loger !

quelques nouvelles apres le printemps

Chères marraines, chers parrains,

Dans les Hauts de France, nous avons eu d'excellentes conditions pour nos abeilles.

Elles ont pu faire de belles rentrées de nectar et de pollen et les colonies se sont très bien developpées .

La récolte de printemps fut bonne .

En juin, les températures elevées ont legèrement bridé les floraisons mais la récolte d'été sera prometteuse, je pense .

Merci pour votre soutien indispensable à ma petite exploitation .

A tres bientot

Franck 

 

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Le Rucher de l'Ostrevent

Le Rucher de l

Mon apiculture est essentiellement basée sur des rencontres entre passionnés, respectueux de la nature et du biotope.
Je découvre tous les jours la symbiose indispensable entre les abeilles et leur environnement.
Une de mes dernières rencontres, est celle que j’ai faite avec un exploitant agricole, sensible à la culture bio.
Quelques-unes de mes colonies fréquentent les plantes mellifères de son exploitation.
D'autres colonies sont en bordure de forêt et dans la campagne de l’Ostrevent.
Mon objectif, avec l’aide d’Un Toit Pour Les Abeilles, et vous, parrains bienveillants, c’est de continuer à développer mon cheptel (actuellement une 40e de colonies…),
afin de pouvoir déguster le bon miel que les abeilles nous offrirons au fil des saisons.

 

L'apiculteur : Wilfrid BOUCHER

UTPLA apiculteur Wilfrid BOUCHER

Je m'appelle Wilfrid, je suis origiaire de la Réunion et apiculteur en Haute Normandie dans l'Eure.
J'ai trouvé le goût à l’apiculture depuis mon enfance grâce à mon grand père qui possédait plusieurs ruches.
En 2009, j'ai commencé par prendre des cours d'apiculture dans un rucher école du syndicat apicole de Haute Normandie.
Puis en 2010, je me suis remis à l'apiculture, avec une ruche fabriquée par mes soins et un essaim récupéré dans un arbre.
Peu de temps après, j'ai développé mon rucher en récupérant les essaims de mes premières ruches, tout en apprenant à les gérer.
Depuis, pris de passion, je gère moi-même mes propres ruches qui sont placées au Marais Vernier.

J'ai rejoint Un Toit Pour Les Abeilles en mai 2014, puisque je veux vraiment lutter contre la disparition des abeilles dans le monde, disparition qui ne cesse de croitre.
En 2015, j'ai obtenu mon BP Responsable Exploitation Agricole en Apiculture.
Depuis peu, je suis devenu apiculteur professionnel et je m'occupe de quelques 200 colonies.

Nouvelles de vos abeilles!

Chers parrains,
 
L'hiver 2025 a été assez humide. Les abeilles se sont bien réchauffées entre elles.
Nous avons profité pour préparer le matériel : cirage de cadres, nettoyage de ruches, nettoyage des hausses...
 
En ce moment, les après-midis sont ensoleillés et les abeilles commencent à sortir. Elles butinent sur les fleurs de prunneliers, de saules et les chatons de noisetiers entre autre.
 
Vivement le printemps et les jolies fleurs.
 
Merci pour votre soutien.
 
A très bientôt.

 

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Le rucher de Marais-Vernier

Le rucher de Marais-Vernier

Le Marais Vernier est vaste zone humide de 4500 hectares avec ses roselières, ses prairies humides et sa tourbière de 2000 hectares (la plus grande tourbière de France).
Classé Natura 2000, la richesse du Marais Vernier tient à la fois de sa grande diversité de milieux et de la qualité de ceux-ci.

Les ruches installées dans cet environnement pourront butiner arbres fruitiers, nectars de la forêt et des prairies.
Le miel récolté sera un miel de toutes fleurs avec des notes de Châtaignier.
Wilfrid travaille avec des ruches dites DADAN et des abeilles noires (abeilles de pays).

L'apiculteur : Martine et Daniel DURAND

UTPLA apiculteur Martine et Daniel DURAND

La reconversion inattendue, dans un milieu insoupçonné, le monde des abeilles, m'a dirigé un peu plus vers de précieux éléments naturels, les fleurs, le climat, l'environnement.
En éveillant ma curiosité dans ce domaine encore inconnu, les abeilles ont renforcé mes présomptions d'un monde animal intelligent et sensible.
Quelques informations m'ont été nécessaires :
L'U.S.A.R. (Union Syndicale Apicole du Roussilon), contribua à me familiariser avec ces nouvelles connaissances :
Les abeilles. La seconde, plus scolaire, me dévoile le caractère administratif et financier d'une exploitation apicole,
même réduite, puisque mon cheptel compte une quarantaine de ruches, me permettant ainsi de m'en occuper au mieux.
Les deux formations complémentaires, m'ont apporté ce dont j'avais besoin pour commencer.
Outre la vente des incroyables produits des abeilles, la visite du rucher, purement récréative, fait partie de la halte pour les personnes intéressées,
et ne manque pas de susciter l'enthousiasme des visiteurs.
L'objectif, faire connaître, in situ, ces extraordinaires obscures, qui dans l'intérêt de tous ne doivent pas disparaître.

Réunification des essaims

À l’approche de l’hivernage, certaines colonies issues des essaims de printemps ne se sont pas suffisamment développées pour affronter la saison froide. Cela peut être dû à une ponte trop faible de la reine, à sa disparition, à un manque d’ouvrières… ou encore à une ruche devenue « bourdonneuse », c’est-à-dire sans reine, où une ouvrière pond uniquement des œufs non fécondés qui ne donneront que des mâles (faux-bourdons).

Dans ce cas, il est nécessaire de réunir ces colonies avec d’autres plus fortes pour leur donner une chance de passer l’hiver.
La méthode est la suivante :

  • Le soir, on enfume généreusement les deux ruches pour masquer les odeurs et réduire les risques de combats.

  • On place ensuite une simple feuille de journal, percée de petits trous, entre les deux colonies.

  • La plus faible est disposée au-dessus, la plus forte servant d’accueil.

  • Pendant la nuit, les odeurs se mélangent et les abeilles traversent peu à peu la feuille de papier, formant une seule colonie.

Il y a toujours un « drame » inévitable : les deux reines se retrouvent, et la plus vigoureuse l’emporte. Mais dès le lendemain matin, le calme est revenu et la colonie réunifiée peut désormais espérer renforcer ses provisions et sa population pour affronter l’hiver.

     

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Le Rucher de la Soulane

Le Rucher de la Soulane

Depuis des temps bien éloignés, la culture des abeilles a été très répandue dans notre département.
Le miel y était très abondant ; la réputation de ce produit, portée au loin, le faisait rechercher à l'envi par tous nos grands seigneurs,
et nos anciens Gouverneurs n'avaient garde d'oublier la quantité nécessaire à la table de nos Rois.
La douceur de la température et la régularité des saisons, venaient seules en aide, dans notre pays, aux méthodes les plus simples de culture.
De nos jours " Le Rucher de la Soulane" veut perpétuer cette histoire en profitant du terroir naturel et préservé du petit village de Rabouillet.
L'extraordinaire diversité de la flore environnante lui confère sa grande qualité gustative et qualitative, alliée à une belle robe unicolore orange.
Le Parc Naturel Régional Corbières Fenouillèdes en voie de finalisation, et un label espéré en 2021,
apportera sans nul doute un atout à la protection de notre environnement.

L'apiculteur : Philippe HUGUEL

UTPLA apiculteur Philippe HUGUEL

L’apiculture est pratiquée dans la famille de Philippe et Nicolas depuis deux générations : Ils ont repris l’exploitation apicole de leur père il y a maintenant plus de 10 ans.
Les deux frères gèrent aujourd’hui plus de 500 ruches et ont mis en place une activité d’élevage de reines et de création de nouvelles colonies d’abeilles (essaims).
On peut les retrouver chaque jour sur les marchés de Cavaillon, Bagnols sur Cèze, Arles, Orange, Carpentras et Avignon, où ils vendent leur miel,mais aussi de la brèche (miel en rayon), ou encore du pollen.

Philippe est aussi Président du syndicat des apiculteurs de Vaucluse, qui fédère plus de 150 apiculteurs.

News du 18 Aout 2025

Bonjour à toutes et à tous,

Nous sommes le 18 août et les récoltes sont désormais terminées pour cette saison. Malheureusement, ce n’est pas une bonne année pour nous, avec environ 50 % de production en moins par rapport à 2024.

Le plus gros déficit concerne le miel de lavande.

Pourquoi cette baisse ?
Il a manqué de pluie en mai et juin.
Les fortes chaleurs, associées à des nuits trop chaudes, ont fortement perturbé la production de nectar.
À cela s’ajoute la présence de papillons qui se développent dans la tige des plants de lavande et empêchent la production de nectar.

Bref, une année à oublier, qui nous rappelle tristement celle de 2003

Côté colonies, heureusement, elles se portent plutôt bien dans l’ensemble. Elles ont réussi à constituer quelques réserves en attendant la possible miellée du lierre.

Je vais maintenant m’occuper des visites d’automne et procéder aux traitements contre le varroa.

Merci à vous pour votre fidélité,
Je vous souhaite une belle fin d’été,
Prenez soin de vous.

Philippe

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Le rucher D'Entraigues

Le rucher D

Les ruches de Philippe et Nicolas sont installés à proximité d’Avignon sur la commune d’Entraigues près de Gigogan, sur une zone de Garrigues et de forêts.

Philippe travaille avec des abeilles de races Caucasienne, un peu de Buckfast et depuis 2011, sélectionne un peu de Carnica.

De façon à suivre les floraisons, les deux frères pratiquent chaque année la transhumance de leurs ruches vers le plateau d’Albion, les Alpilles ou l’Isère.

Le miel récolté pour un toit pour les abeilles est un miel toutes fleurs de consistance cristalline (solide) à crémeuse composé notamment de miellat (à partir de la sève des plantes) qui est une grande source d'apport en acides aminés et lui confère un gout assez relevé, très parfumé et une couleur plutôt sombre.
On y retrouve aussi des notes de fleurs d'amandiers butinées au printemps et un mélange floral de prairies (pissenlits, trèfles, pruniers sauvages...)

Que se passe-t-il ce mois-ci sur votre rucher ?

Chers parrains, chères marraines,

Avant de démarrer, nous tenions à vous souhaiter une belle et heureuse rentrée en ce début de mois de septembre !
À vos enfants qui ont retrouvé les bancs de l’école, à vous qui avez repris le chemin du travail, et à vous, parrains et marraines, toujours aussi jeunes mais un tout petit peu plus âgés, qui nous suivez et nous soutenez depuis tant d’années.
Un...




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