30
Avr
2014

Traiter « au coucher du soleil ou après »

Un arrêté, qui sera publié « d’ici trois à quatre mois », imposera de traiter les cultures en floraison au « coucher du soleil et durant les trois heures après le coucher du soleil », a déclaré Stéphane Le Foll à l’occasion de la signature, lundi au ministère de l’Agriculture, d’une charte de bonnes pratiques agricoles et apicoles en pollinisation.

 Le futur arrêté viendra préciser l’arrêté du 28 novembre 2003 relatif aux conditions d’utilisation des insecticides et acaricides à usage agricole en vue de protéger les abeilles et autres insectes pollinisateurs.

Stéphane Le Foll a indiqué qu’une étude de l’Anses venait de démontrer la sensibilité des abeilles à la lumière. « La luminosité fait sortir les abeilles », a-t-il souligné, ce qui devrait au minimum conduire à éviter les épandages en matinée.

La charte de bonnes pratiques agricoles et apicoles en pollinisation, cosignée par les semenciers (Gnis, UFS, Anamso), l’Institut de l’abeille (Itsap) et les réseaux de développement apicole (ADA France), énonce une série d’engagements réciproques des apiculteurs et des agriculteurs-multiplicateurs.

Elle dispose notamment que « le multiplicateur […] se montrera extrêmement vigilant sur les conditions de traitement, notamment en période de floraison ». Ainsi est-il « recommandé » au multiplicateur « de n’opérer de traitement sur fleurs pendant le butinage des abeilles, que lorsque les abeilles sont absentes, à la tombée de la nuit ou lorsque d’autres conditions (température, hygrométrie) sont réalisées », par référence au plan de développement durable de l’apiculture.

Source : www.lafranceagricole.fr/abeilles-phytosanitaires-traiter-au-coucher-du-soleil-ou-apres

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30
Avr
2014

1 minute 1 idée

Olivier Demaegdt qui a collaboré étroitement au projet Un toit pour les abeilles explique pour la section L’entreprise du journal L’express, le principe de parrainage en 1 minute .

 

Retrouvez également le blog d’Olivier quotidiendurable.com

 

 

 

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29
Avr
2014

Apithérapie : Miraculeux, le venin d’abeille ?

Connaissez-vous l’apithérapie ? Il s’agit de traitements à base de produits de la ruche, comme la cire, le miel, la gelée royale, mais également le venin d’abeille. Oui, le venin !

Peut-être surprenant, l’utilisation de venin remonte à des temps très anciens. Des textes chinois datant de 2000 ans avant J.-C. en feraient mention. Hippocrate lui-même prescrivait ce poison pour traiter l’arthrite. On l’utilise pour soigner les rhumatismes, l’arthrite chronique et la sclérose en plaques. On étudie actuellement ses effets dans le cas de la maladie de Parkinson.

Administré à même les piqûres d’abeille ou, dilué, via des seringues, on applique généralement le venin sur les zones à traiter. On parle aussi d’apipuncture, soit l’acupuncture utilisée avec le précieux venin, utilisée le plus souvent comme traitement de l’épilepsie et de l’incontinence.

Efficace, le venin ? Pour la sclérose en plaques, ça reste à démontrer. D’ailleurs, certaines études montrent plutôt des symptômes aggravés lors d’apithérapie chez l’animal. Et puis, il faut considérer le danger que représente le potentiel allergène du venin. L’AFA, une association internationale, vise à faire reconnaître le sérieux de cette approche alternative dans le monde médical. Bientôt un «buzz» qui fait «bzzz» ?

Source : http://blogues.lapresse.ca/sante/miraculeux-le-venin-dabeille

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24
Avr
2014

20ème Fête du Miel à Mouans-Sartoux

fete-miel-2014

Dimanche 27 avril 2014, Mouans Sartoux accueille la 20ème Fête du Miel qui met à l’honneur la lavande et les lavandiculteurs.

 


FÊTE MIEL MOUANS SARTOUX –  La Fête du Miel de Mouans Sartoux invite le public à découvrir l’apiculture depuis les plantes mellifères jusqu’à l’extraction du miel tout en évoquant, bien entendu, le rôle que jouent les abeilles dans la pollinisation. Les apiculteurs invitent, cette année, les lavandiculteurs de Provence auxquels ils apportent leur soutien car les lavandes sont en péril, menacées par le dépérissement à phytoplasme, une maladie qui freine le développement des cultures. Les lavandiculteurs tiendront un stand sur lequel ils vendront des produits issus de la lavande (fleurs séchées, essence, huile essentielle AOC…) et pratiqueront des démonstrations de distillation de lavande. Une conférence sur « La lavande, son histoire, ses utilisations » est programmée à 11 h et 15h30 et les visiteurs pourront (re)découvrir cette plante mellifère emblématique de Provence grâce à une grande exposition photos.
Le chef Gui Gedda vous initiera à la cuisine au miel. De nombreuses animations se dérouleront toute la journée.

20ème Fête du Miel
La lavande et les lavandiculteurs à l’honneur !
Dimanche 27 avril 2014
Mouans-Sartoux (06)

PROGRAMME
Toutes ces activités sont gratuites et se déroulent de 10 h à 12 h et de 14 h à 19 h.

 

– Le jardin mellifère : une partie du parc du Château de Mouans-Sartoux sera spécialement aménagé pour accueillir un parcours au milieu de la flore mellifère et pollénifère provençale. Cet espace, animé par des apiculteurs botanistes passionnés, sera organisé autour de zones illustrant la diversité florale de la région (collines de maquis, garrigues, cultures agricoles, parcs et jardins). Les lavandes y occuperont une place toute particulière.

 

– L’initiation à la dégustation pour partir à la découverte de la diversité des miels de Provence, diversité obtenue grâce à la transhumance des ruchers. Chaque participant pourra ainsi, en utilisant tous ses sens, apprendre les techniques de dégustation des miels. Cette initiation rencontre toujours un véritable succès auprès du public.

 

– L’extraction de miel de romarin, réalisée en direct dans la salle du conseil municipal de la mairie de Mouans-Sartoux, permettra au public de comprendre la méthode d’élaboration du produit. L’occasion pour les visiteurs d’avoir un contact privilégié avec les producteurs.

 

– Les démonstrations de cuisine aux miels de Provence : Chef provençal reconnu, Gui GEDDA, accompagné de sa fille Mireille, feront découvrir cette facette de plus en plus connue et reconnue de la gastronomie française. Ils cuisineront directement sur place de nombreux plats que le public pourra déguster : Suppi à la sauce dite américaine, miel de romarin ; pâtes fines au jus de crustacés ; et pour finir un Royal chocolat, sauce caramélisée au miel de lavande.
 Le monde des abeilles présenté aux enfants à travers des ateliers ludiques : pour apprendre tout en s’amusant, la « pêche aux pollens » fera découvrir aux enfants la relation qui unit la fleur à l’abeille. Des animatrices proposeront aussi aux enfants de s’initier à la pâtisserie au miel en confectionnant des cup-cakes « abeille » ou « ruche ». Un quizz, divers ateliers autour de collages, découpages et coloriages, ainsi qu’un atelier dédié à la fabrication et à la décoration de bougies en cire d’abeille seront également proposés.

– Un stand sur la gelée royale : animé par le groupement des producteurs de gelée royale (http://www.geleeroyale-gpgr.fr), ce stand permettra aux visiteurs de tout connaître sur ce produit mystérieux de la ruche, trésor de vitalité.

Nouveautés 2014

 Grand concours photos sur le thème « Autour du Miel » (apiculteurs, abeilles, ruches, miel, butinage…) a été organisé. Le principe est simple : huit des photos envoyées, du lundi 3 février au mercredi 27 mars 2014, par des participants ont été sélectionnées par un jury. Elles seront exposées à la médiathèque ainsi que dans les abribus des rues mouansoises durant les trois semaines qui précèderont la manifestation. Le public votera alors pour la photo de son choix à la médiathèque ou sur la page Facebook créée à l’occasion. Le photographe lauréat remportera, grâce aux votes du public, un panier garni de produits du miel. Il pourra ultérieurement récupérer son cliché imprimé au format abribus (120 x 176 cm).

– Un rucher d’artistes en herbe. Dans le cadre des ateliers de l’Espace de l’art concret de Mouans-Sartoux, les élèves de l’établissement ont créé des oeuvres d’art sur la base d’une ruchette en bois ; toutes seront exposées dans le parc du château de Mouans-Sartoux. Ces créations côtoieront le Rucher d’artistes élaboré lors du 10ème anniversaire de la fête avec des oeuvres de Marcel ALOCCO, Martin CAMINITI, Anthony GRIPON, Gottfried HONEGGER, Bernard PAGES, BEN, Jean-Philippe ROUBAUD, Laurent SEPTIER, Cynthia LEMESLE, Cédric TESSEIRE, MIJARES, Anne PERRET, Olivier REYBOZ, Laure ZANDERIGO et Sandra ZIRILLI.

Enfin, l’association KOKOPELLI, Semeur de Vie depuis 1999, présentera un stand de semences potagères et aromatiques Bios, dont certaines mellifères, libres de droit et reproductibles (non-hybrides F1 et non-OGM)

Pour en savoir plus sur le Miel et les abeilles, découvrez le livre « Miel, l’art des abeilles, l’or de la ruche » en cliquant ICI

Les Apiculteurs en Provence en quelques mots

4 500 apiculteurs provençaux exploitent près de 165 000 ruches dans la région Provence-Alpes-Côte d’Azur, première région française a possédé le plus grand nombre d’apiculteurs professionnels (350). La production en miel de Provence s’estime autour 2 000 tonnes par an, soit 8 % de la production nationale. La principale production de miel de Provence est le miel de lavande qui représente en année normale plus de la moitié de la production totale. Ambassadeurs passionnés, les apiculteurs réalisent 60 % de la distribution de miel en vente directe. L’apiculture provençale, très dynamique, s’organise notamment autour du SAPP (Syndicat des Apiculteurs Professionnels de Provence), de l’ADAPI (Association pour le Développement de l’Apiculture Provençale) et du SYMPAS (Syndicat des Miels de Provence et des Alpes du Sud).

Source : www.nicerendezvous.com/mouans-sartoux-fete-miel-2014-lavande

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23
Avr
2014

Au jardin ce week-end : semez des fleurs pour les abeilles


Butineuses et butineurs ont besoin de disposer en permanence d’un solide garde-manger ! Plantez pour cela des mélanges de fleurs des champs «spécial pollinisateurs» ou bien laissez pousser quelques herbes sauvages.

Il suffit juste de tendre un peu l’oreille. Dans la glycine en fleurs, telle un océan aux vagues mauve clair, un vrombissement continu perturbe le silence de la campagne endormie sous ce chaud soleil d’avril. Des centaines d’abeilles mais aussi de bourdons sauvages butinent inlassablement les fleurs de cette belle grimpante au faîte de sa splendeur. Il y a les fameuses abeilles charpentières, ou bourdons bleus (Xylocopa violacea), impressionnantes de par leur taille mais absolument inoffensives, qui nichent dans du bois mort, mais aussi, comme leur nom l’indique, dans les charpentes des maisons. Plus classique, le bourdon terrestre (Bombus terrestris), reconnaissable au bout de son abdomen blanc surmonté de deux raies, noire et jaune d’or, creuse son nid dans la terre tout comme le bourdon des champs (Bombus pascuorum), qui vit en colonies d’une centaine d’individus. Sans parler des anthophores, osmies, mégachiles et anthidies, toutes sauvages et solitaires, mais aussi d’apis mellifera, l’abeille domestique. En récoltant pollen et nectar pour nourrir leurs larves, ces infatigables hyménoptères contribuent à féconder les fleurs d’un grand nombre de plantes.

L'abeille charpentière.
 

L’image est rassurante, réjouissante même, mais ne doit pas faire illusion. Car sur les 865 espèces d’abeilles et de bourdons sauvages recensées en France, un grand nombre sont menacées de disparition. Insecticides utilisés sans discernement mais aussi parasites, destruction des habitats, baisse de la biodiversité végétale liée à l’expansion des monocultures rendent ces précieux auxiliaires du jardinier particulièrement vulnérables.Peut-être avez-vous déjà installé un «hôtel à insectes»dans lequel cette minuscule gente ailée à six pattes va pouvoir nicher en toute sécurité et reconstituer ses rangs par trop clairsemés.

Pour compléter la panoplie, installez des bandes fleuries même de quelques mètres carrés, dans votre jardin et sur votre pelouse, car la glycine, mais aussi les pommiers ou l’arbre de Judée, ne resteront pas éternellement en fleurs. Or abeilles et bourdons, que la disette menace à certaines périodes de l’année, ont besoin de disposer en permanence d’un solide garde-manger! Semez pour cela, en situation bien exposée, des mélanges de fleurs des champs «spécial pollinisateurs» disponibles dans toutes les bonnes jardineries ou bien laissez pousser quelques herbes sauvages dont butineuses et butineurs raffolent: mélilot blanc, trèfle violet, lotier corniculé, mauve, centaurée, lamier, etc. Vous aurez également la surprise d’y admirer quantité de papillons, friands, eux aussi, de nectar sucré.

● Au potager

Fleur de courgette.
 

Semez les cucurbitacées sous abri. Sauf dans les régions du Midi où il est possible de les installer dès à présent en pleine terre, vous pouvez gagner du temps en semant courgettes, concombres, pastèques, courges et potirons dans des godets en plastique ou en tourbe (7 à 8 cm de diamètre) que vous placerez dans votre châssis, votre serre, votre véranda ou sous un tunnel plastique. Remplissez les récipients au trois quarts avec du terreau «spécial semis», déposez trois ou quatre graines, recouvrez avec du terreau puis arrosez délicatement en pluie. Veillez à ce que vos semis soient bien exposés à la lumière (placez-les près d’une fenêtre le cas échéant) et ne manquent jamais d’eau. Dans trois semaines à un mois, les jeunes plants seront prêts à être installés à leur emplacement définitif dans votre jardin.

Repiquez les semis de tomates. Dès qu’elles ont atteint le stade quatre feuilles, les jeunes tomates que vous avez semées en terrine il y a quelques semaines doivent être repiquées dans des godets individuels de taille comparable à ceux utilisés pour les cucurbitacées (voir plus haut).Sélectionnez les plus belles plantules puis déterrez-les soigneusement à l’aide de la lame d’un couteau rond en évitant au maximum de mettre les racines à nu. Replantez-les ensuite chacune séparément au centre d’un godet que vous remplirez de terreau spécial semis. Arrosez jusqu’à saturation, puis emmagasinez vos plants sous abri à côté des semis de cucurbitacées. Vous mettrez tout ce petit monde en pleine terre après les saints de glace (11, 12 et 13 mai).

● Dans vos massifs

Des jonquilles.
 

Tressez narcisses et jonquilles. Ce n’est pas parce que ces belles liliacées ont cessé de fleurir qu’il faut les couper à ras! Pour donner naissance à de nouveaux bulbes qui leur permettront de refleurir au prochain printemps, narcisses et jonquilles ont besoin de toutes leurs feuilles. Ces capteurs solaires on ne peut plus naturels fabriquent en effet, par le truchement de la photosynthèse, les sucres dont vos narcisses ont besoin pour reprendre des forces et assurer leur descendance. En même temps ces touffes vertes, un peu défraîchies, prennent de la place et ne sont pas du plus bel effet dans vos massifs de fleurs. Pour joindre l’utile à l’agréable, Muriel de Curel, propriétaire du domaine de Beauregard (Essonne), propose ni plus ni moins de tresser les feuilles de vos narcisses et jonquilles: ces derniers pourront ainsi continuer à «photosynthétiser» tout leur saoul sans nuire à la beauté de vos parterres!

Source : www.lefigaro.fr/au-jardin-ce-week-end-semez-des-fleurs-pour-les-abeilles.

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22
Avr
2014

Visite de la Ruche MARS DRINKS

Le 16 avril dernier, Alain LEVIONNOIS, apiculteur passionné d’Ile de France, a ouvert aux salariés de MARS DRINKS, les portes de son Rucher du Cours Doux, situé en plein cœur de la Région de la Brie Verte à Féricy.

          

L’occasion pour la quarantaine de participants MARS DRINKS de visiter le Rucher et découvrir les petites butineuses de la Ruche qui porte leur nom.

Au programme de cette journée :

Présentation du métier d’Apiculteur historique et actuel

 

Explications techniques et théoriques sur cette profession dans La Salle des Fêtes de Féricy.

Présentation et démonstration du matériel apicole (ruches, cadres, en-fumoir…)

 

Sensibilisation sur les problèmes que rencontre l’abeille aujourd’hui

Présentation des produits de la Ruche et dégustation de miel

  

Découverte de la ruche – visite de la ruche MARS DRINKS

Dans un second temps, les salariés de MARS DRINKS, ont pu profiter de conditions météos très favorables pour aller visiter le Rucher d’Alain LEVIONNOIS et découvrir leur Ruche. Une fierté pour l’ensemble des salariés MARS DRINKS qui contribue, par leur parrainage, à la sauvegarde des abeilles!

  

Chacun a pu, muni de sa tenue de protection, découvrir et toucher la Ruche MARS DRINKS. Alain LEVIONNOIS a pu également répondre aux différentes questions des salariés très intéressés par le monde curieux des abeilles !

                   

L’occasion pour Un Toit Pour Les Abeilles de remercier MARS DRINKS, ainsi que l’ensemble de ses salariés, pour leur engagement solidaire pour la sauvegarde de l’abeille et leur intérêt durant cette journée conviviale de partage.

 

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19
Avr
2014

Piqûre d’abeilles : les zones les plus sensibles ?

C’est à cette question, des plus originales, qu’a tenté de répondre un étudiant de l’Université de Cornell. Le résultat de son classement se base sur le Schmidt Sting Pain Index, une échelle de classement de la douleur.

Pour les besoins d’une étude scientifique, plutôt atypique, Michael Smith a fait la désagréable expérience de tester les différentes parties anatomiques sur lesquelles une abeille pouvait vous piquer, avant d’attribuer une note de 1 à 10 à chacune de celles-ci en fonction de la sensibilité à la douleur.

Un classement effectué à partir de la « Schmidt Sting Pain Index », que le journal scientifique PeerJ publie dans son édition du 4 avril.

Après avoir sélectionné 25 zones clés, et à raison de 5 piqûres quotidiennes testées sur sa propre anatomie pendant 38 jours, l’étudiant de l’Université de Cornell a réussi son objectif. « Les résultats, dit-il, ne sont pas toujours similaires à ce que l’on pourrait penser« . Ainsi, le pénis, qui arrive, avec la note de 7, n’est pas en pole position des pires zones. Il se situe juste derrière le scrotum et à égalité avec la joue. La narine, bien plus sensible, atteint la note de 9, tout comme la lèvre supérieure. Au contraire, le crâne et la partie supérieure du bras occasionnent moins de douleurs.

Suivant la localisation de la piqûre, la perception de la douleur diffère, explique Michael Smith. Un effet psychologique qui joue très sûrement dans l’appréhension de la douleur ressentie.

« Heureusement, ajoute l’étudiant, et cela est bon à savoir, les abeilles ne sont pas réputées être agressives envers l’homme« , conclut-il.

Source : sante.doctissimo.fr/Piqure-d-abeilles-zones-les-plus-sensibles

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18
Avr
2014

Le Sénat reconnaît l’abeille comme bio-indicateur

Les Sénateurs ont adopté un amendement à la loi sur l’avenir de l’agriculture reconnaissant l’abeille comme un bio-indicateur dans le cadre de la surveillance des produits phytopharmaceutiques.

Vue en gros plan d’un abeille tueuse. AP/SIPA

« L’abeille est un bio-indicateur particulièrement performant, puisqu’elle est quotidiennement en contact de plusieurs éléments biotiques et abiotiques des écosystèmes tels que les végétaux, l’eau, le sol et l’air », a souligné l’auteur de l’amendement, Alain Fauconnier (PS).

« Son corps couvert de poils lui permet de conserver les éléments avec lesquels elle est en contact. Son activité de butinage lui fait exercer une fonction de prélever sur des centaines de points par jour et sur une aire de plusieurs kilomètres de rayon ».

Dans ces conditions, elle entre parfaitement dans le cadre du système de surveillance des produits phytopharmaceutiques mis en place par le projet de loi, a ajouté le sénateur de l’Aveyron.

Cet amendement est cohérent avec le plan de développement durable de l’apiculture qui dispose notamment qu’il faut diminuer l’impact des pesticides sur la santé des colonies d’abeilles et promouvoir leur rôle d’indicateur des atteintes à la biodiversité et à l’environnement, a précisé M. Fauconnier.

Les sénateurs ont également voté les articles pour un meilleur encadrement de l’utilisation des antibiotiques vétérinaires, avec comme objectif de réduire des antibiotiques critiques pour éviter le développement de bactéries multi-résistantes.

Adopté par les députés en première lecture en janvier, le projet de loi ambitionne de « verdir ». Son examen au Sénat, commencé mercredi, doit s’achever dans la nuit de mardi à mercredi 16 avril.

Source : www.challenges.fr/le-senat-reconnait-l-abeille-comme-bio-indicateur

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17
Avr
2014

Animation Apicole chez Leroy Merlin France

Intervention de Luc, Apiculteur Un Toit Pour Les Abeilles.
Le 3 avril dernier, Luc Apiculteur Un Toit Pour Les Abeilles de la région Nord, est allé à la rencontre du Parrain Entreprise LEROY MERLIN France.
L’occasion pour les salariés, de découvrir avec curiosité le monde des abeilles, et le travail d’un apiculteur passionné.
                    
Au programme de cette journée découverte :
   
     – Exposition de différents types de ruches

     – Présentation du matériel apicole : cadres, enfumoirs, cire, vareuse, etc.

     – Explications techniques et théoriques autour de la ruche

     – Echanges avec les salariés sur le métier d’Apiculteur et sur le monde des abeilles

     – Fabrication de bougie à partir de cire d’Abeilles

     – Présentation d’un essaim dans une ruchette vitrée

 

En prime :

     – Dégustation des différents type de miel récoltés par Luc

     – Dégustation de pains d’épices au miel

          

L’occasion pour Un Toit Pour Les Abeilles de remercier vivement LEROY MERLIN France pour son soutien et son engagement en faveur des abeilles. Egalement un grand merci à toutes celles et ceux, qui sont venus rendre visite à Luc et ont permis de créer une vraie interaction entre le monde des abeilles et les hommes …

17
Avr
2014

Les abeilles et la vie

Elles étaient sur Terre bien avant nous. En les voyant butiner pour fabriquer du miel, nos ancêtres ont découvert le principe de l’agriculture.

C’est grâce à elles que la plupart des fleurs sont pollinisées, et c’est ainsi que nous pouvons manger chaque jour des légumes et des fruits.

C’est par une danse frétillante combinant des demi-cercles, des mouvements d’abdomen et des variations de bourdonnement que les exploratrices indiquent, de retour à la ruche, la direction et la distance de la source d’approvisionnement qu’elles ont découverte. Un véritable langage. Ces conclusions de Karl von Frisch, contestées depuis leur publication en 1943, ont été confirmées en 1992 au moyen d’une abeille robot.

L’abeille possède quatre mémoires. La mémoire de travail, la mémoire immédiate, la tardive et la permanente. Pour Randolf Menzel surnommé par ses pairs «l’homme qui murmure à l’oreille des abeilles», c’est cette mémoire permanente qui opère la synthèse entre l’acquis et l’inné (c’est-à-dire l’acquis des générations précédentes), et gouverne ces facultés incroyables observées chez l’abeille: sens de l’orientation, calcul des distances, horloge interne et transmission de l’information.D.W.

«Les abeilles et la vie», Didier Van Caulewaert, Michel Lafon

Source : http://www.lavenir.net/article/les.abeilles.et.la.vie

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15
Avr
2014

Cire d’abeille : 5 bienfaits à connaître !

Issue de la ruche, la cire d’abeille est un remède utilisé depuis plus de 2000 ans, notamment pour soigner les problèmes de peau. Aujourd’hui disponible partout, on aurait tort de s’en priver !

Pour des mains rajeunies

 A force d’utiliser nos mains, elles s’usent ! Elles sont sèches, rugueuses, rougeâtres… et vous en avez un peu honte ! Essayez la cire d’abeille. Grâce à sa richesse en vitamine A, elle hydrate et protège la peau des agressions, sur le long terme.

En pratique : Au bain-marie, faire chauffer 10g de cire d’abeille avec 15g de beurre de karité. Dès que la préparation est fondue, la sortir du feu et laisser refroidir. La mettre dans un pot et y ajouter 5g de glycérine, 5 gouttes d’huile essentielle de lavande et 5 gouttes d’huile essentielle de santal. Mélanger et appliquer sur les mains.
Pour accélérer la cicatrisation

 La cire d’abeille est conseillée en cas de cicatrices. D’abord, elle possède des propriétés anti-inflammatoires qui apaisent la blessure. Ensuite, comme elle est riche en vitamine A, elle nourrit la peau et facilite la cicatrisation.

En pratique : Faire fondre de la cire d’abeille au bain-marie et y ajouter 10 ml d’huile d’amande douce. Une fois la préparation bien liquide, la verser dans des petits contenants. Appliquer sur la cicatrice fermée en massant pour faire pénétrer.
Pour ne plus avoir la peau sèche
L’hiver, la peau est agressée par le froid. Heureusement la cire d’abeille est là ! Parmi ses vertus thérapeutiques naturelles, il y a l’imperméabilité. Comme elle est occlusive, elle retient l’eau et forme un film étanche sur la peau. Une stratégie nourrissante naturelle et efficace contre le froid.

En pratique : Mélanger une cuillère à café de cire d’abeille blanche et deux cuillères à soupe de lanoline. Ajouter trois cuillères à soupe d’huile d’olive, une cuillère à soupe de gel d’aloe vera et deux cuillères à soupe d’eau de rose. Faire chauffer le tout au bain-marie et retirer dès que la cire est fondue. Mettre la préparation dans un pot et badigeonner la peau.

Pour de jolies lèvres toute l’année

 Parmi les secrets de beauté naturels issus de la ruche, il y a le baume à lèvres à la cire d’abeille. Très hydratant, il soigne les gerçures fréquentes en hiver. En été, son action imperméable sert de protection contre le vent et le soleil. Une solution naturelle intemporelle !

En pratique : Faire fondre de la cire d’abeille au bain-marie et y ajouter 10 gouttes d’huile d’amande douce. Une fois la préparation bien liquide, la verser dans des petits contenants. Appliquer sur les lèvres dès que nécessaire.
Pour soigner l’eczéma sec

Rougeurs, démangeaisons, croûtes… L’eczéma est une maladie inflammatoire de la peau qui touche 2 à 6% de la population. La cire d’abeille est l’un des composants principaux du « cérat de galien » appelé aussi « cold cream » recommandé pour les personnes atteintes de cette maladie. Inventée au IIe siècle, ce remède est connu pour la fraîcheur qu’il laisse sur la peau. Il soulage rapidement les démangeaisons et soigne les affections cutanées. Il se fabrique aisément à la maison.

En pratique : Dans un récipient, mélanger 7g de cire d’abeille, 17g d’amande douce et 26 gouttes d’huile florale de rose. Mettre le tout à chauffer à feu doux au bain-marie et retirer dès que la cire est fondue. Fouetter la préparation et verser le tout dans un pot. Mettre au frais. Appliquer sur les démangeaisons à volonté.
Attention : Vérifier l’état de la crème régulièrement avant usage car elle se conserve mal. Il ne faut plus l’utiliser si elle est rance.

Laquelle choisir ?

Composant de nombreux produits cosmétiques, la cire d’abeille est aussi utilisable pure et à la maison. Il en existe deux types.
La cire d’abeille jaune : Elle doit sa couleur au pollen des fleurs butinées par les abeilles. Naturelle et pure, c’est celle qu’il faut choisir pour les soins de la peau.
La cire d’abeille blanche :  Elle est surtout utilisée dans les produits industriels pour lustrer les meubles, le bois. Pour la créer il y a deux moyens. Le premier est naturel : on la blanchit à la lumière. La deuxième blanchit la cire chimiquement à l’aide d’agents oxydants.
Où s’en procurer : Pour un produit naturel et non chimique il vaut mieux se procurer de la cire d’abeille à sa source c’est-à-dire, à la ruche. De nombreux apiculteurs en vendent, ils sauront vous conseiller. Sinon la cire d’abeille est aussi vendu dans les magasins biologiques..

Source : www.medisite.fr/medecines-douces-cire-dabeille-5-bienfaits

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14
Avr
2014

Apithérapie : L’abeille est mon amie

 

Les abeilles, exemples de propreté.

On connaissait les abeilles travailleuses, voici les abeilles guérisseuses . Les scientifiques s’intéressent de plus en plus aux produits issus de la ruche. Antiseptique, fortifiant, agent protecteur ou encore vasodilatateur, ces derniers ont des qualités thérapeutiques assez surprenantes. La prochaine fois que vous croisez une abeille, remerciez-la.

L’homme cultive les produits de la ruche depuis l’antiquité. Par pur plaisir ? Non. Certes, le miel fait partie de ces choses goûteuses que la nature nous offre et a longtemps été utilisé pour conserver les aliments. Néanmoins les produits de la ruche possèdent bien des propriétés thérapeutiques qui font de cette dernière une véritable pharmacie naturelle. Cela a donné naissance à l’apithérapie, une médecine alternative qui utilise exclusivement le miel, la gelée royale, la propolis mais aussi le venin pour soigner les malades.

Le plus consommé

Le miel, nutriment sucré obtenu à partir du nectar ou du miellat est sûrement le produit de la ruche le plus connu pour ses qualités thérapeutiques. Il est un puissant antioxydant qui permet de mieux lutter contre des maladies communes comme le rhume ou la grippe en renforçant le système immunitaire. Cette qualité, couplée au sucre, aux vitamines, aux minéraux et oligo-éléments contenus dans le miel en fait un « combustible » idéal pour le cerveau.

D’autre part, son acidité, son taux de sucre très élevé, ses enzymes et sa faible teneur en eau font du miel un antiseptique par excellence. À ce titre, le miel est un cicatrisant reconnu par les scientifiques et est couramment utilisé pour se débarrasser de bactéries indésirables nichées dans le tube digestif.

Un repas royal

Des abeilles autour d'une alvéole de gelée royale

Des abeilles autour d’une alvéole de gelée royale

La gelée royale est un savant mélange de pollen et de sécrétions hormonales des nourrices, utilisée pour nourrir les plus jeunes larves et la reine. Elle est un descompléments alimentaires les plus riches que l’on puisse trouver dans la nature. Produit selon les besoins de la ruche, ce liquide blanchâtre est difficile à récolter, un prélèvement trop important mettant en péril la survie de la ruche. Elle est un concentré de protéines diverses, d’acides aminés, de lipides, de sucre, d’oligo-éléments et de vitamines (elle est le produit naturel ayant une teneur en vitamine B5 la plus élevée que l’on puisse trouver dans la nature).

La gelée royale est donc idéale en cas de fatigue physique ou mentale ou lors d’une période de convalescence.

Propolis : la multifonctionnelle

La propolis est une substance gommeuse issue d’un mélange de cire d’abeilles de résine végétale et de différents produits trouvés dans la nature. Contrairement au miel ou à la gelée royale, la qualité de la propolis dépend directement de l’environnement de l’abeille, à ce titre il convient de faire attention à sa provenance en cas de consommation. Utilisée initialement comme enduit sur les parois de la ruche pour désinfecter cette dernière, la propolis est aussi un antibactérien et un puissant conservateur – les égyptiens s’en servaient pour leurs momies.

Les huiles essentielles qu’elle contient ont un effet anesthésiant, c’est pour ces raisons entre autres que la propolis est utilisée pour assainir et cicatriser les plaies en usage externe et contre différents types d’infections internes, de la gingivite à l’otite en passant par l’angine.

Ce qui ne tue pas rend plus fort

L'abeille est retirée délicatement à la suite d'une piqûre médicale pour ne pas la tuer.

L’abeille est retirée délicatement à la suite d’une piqûre médicale pour ne pas la tuer.

Le venin, composé en partie de mellitine (ou melittine), favorise la circulation du sang en régulant la pression sanguine et en augmentant la production de globules rouges. La mellitine a par ailleurs une action anti-inflammatoire qui, couplée aux effets analgésiques des autres composantes du venin, en fait un traitement naturel contre les inflammations des articulations, des muscles et des tendons. Il possède en outre des propriétés antiseptiques – à la fois bactéricide, antifongique et antibiotique.

Le venin d’abeille est utilisé pour traiter des maladies inflammatoires comme la tendinite, des affections rhumatismales et arthritiques chroniques ou encore la sclérose en plaque.

L’apithérapie, toujours considérée comme une médecine alternative à déjà ses adeptes, y compris chez les scientifiques. À ce titre, la Roumanie fait figure de pionnière puisque depuis 1974, elle dispose d’un Institut de recherche et de développement apicole. Elle est par ailleurs un des rares pays au monde où des cours d’apithérapie sont proposés dans les formations médicales classiques.

Source : www.allo-medecins.fr/apitherapie-l-abeille-est-mon-amie

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09
Avr
2014

Les abeilles meurent plus dans les pays du nord de l’Europe

Pire destination pour les abeilles? La Belgique. La mortalité des abeilles est plus importante dans les pays du nord de l’Europe, selon le premier rapport EPILOBEE de la Commission européenne. 

 
Les abeilles meurent davantage au Nord de l’Europe qu’au Sud. C’est ce qui ressort du rapport EPILOBEE dévoilé lundi par la Commission européenne à Bruxelles.
 
La Belgique apparaît comme le territoire le plus touché, avec un taux de mortalité de 42,5 % sur les périodes hivernales et estivales. Notre voisin est suivi par le Royaume-Uni (38,5 %), la Suède (31,1 %) et la Finlande (29,8 %). La France se retrouve en cinquième position avec un taux de mortalité à 27,7 %.

Le problème est moins inquiétant pour les pays du Sud comme la Grèce (9,1 %), l’Italie (7,6 %) ou l’Espagne (16,3 %), toujours sur la moyenne des périodes hivernales et estivales.

Selon le rapport, la France est le mauvais élève concernant la période apicole, entre le printemps et l’été 2013. La mortalité des abeilles y est la plus élevée : 13,6 %. Elle est le seul pays à franchir la barre des 10 % sur les dix-sept États de l’étude. En France, la production de miel est passée de 33 000 tonnes par an en 1995 à un peu moins de 15 000 tonnes en 2013, selon Le Monde.

Pour mener à bien cette enquête pilotée par l’Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail (ANSES), et estimer au mieux la mortalité des abeilles, 1 354 « inspecteurs des abeilles » ont visité 31 832 colonies placées dans 3 284 ruches de 17 pays de l’Union européenne. Des ruches qui ont été visitées trois fois : à l’automne 2012, au printemps 2013 et l’été 2013.

Pourquoi un tel écart de mortalité ? Les pesticides (encore) suspectés

Pourquoi un tel écart de mortalité ? Les pesticides sont  (encore) suspectés. C’est la première fois qu’a lieu une enquête d’une telle importance sur le déclin des abeilles, ces insectes pollinisateurs indispensables à 84 % des végétaux cultivés en Europe. Mais associations et syndicats d’apiculteurs reprochent au rapport de ne pas faire mention une seule fois, dans la trentaine de pages, des pesticides et des insecticides qui favorisent la mortalité des abeilles.

« Le projet n’a pas intégré la détection de pesticides »

En réponse, l’ANSES a tenu a rappeler que « EPILOBEE a centré son travail, pour ses deux premières années de fonctionnement, sur la mise en place de critères harmonisés de mesure de l’affaiblissement des colonies ». L’Agence, qui explique que le projet « n’a pas intégré, à ce stade, la détection de pesticides », reconnait toutefois qu’il devrait « être complété pour prendre en compte l’ensemble des facteurs potentiellement à l’origine des phénomènes de mortalité constatés » comme le type d’agriculture pratiqué près des ruches.

Le prochain rapport EPILOBEE pourrait donc prendre en compte l’impact des pesticides ainsi que les résultats du moratoire, entré en vigueur le 1er décembre, qu’a pris Bruxelles à l’encontre de trois insecticides impliqués dans le déclin des abeilles, comme le rappelle Le Monde.

Il manquerait 7 milliards d’abeilles

Le rapport EPILOBEE sort quelques jours après la Troisième semaine européenne de l’abeille et de la pollinisation qui a eu lieu du 31 mars au 2 avril 2014. L’occasion de rappeler qu’il manquerait 7 milliards d’abeilles pour polliniser les champs européens.

Vidéo à voir : https://www.youtube.com/video/abeilles

Source : www.sudouest.fr/les-abeilles-meurent-plus-dans-les-pays-du-nord-de-l-europe

 

Ecrit par Un toit pour les abeilles dans : L'abeille en danger | Tags : Commenter cet article
07
Avr
2014

Miel, l’art des abeilles, l’or de la ruche

Miel, l'art des abeilles, l'or de la ruche

Trésor de la nature, symbole de douceur, de prospérité et d’abondance, le miel est une merveille. Mais savez vous comment travaillent les abeilles pour produire ce délicieux nectar ? C’est ce que vous proposent de découvrir les éditions de l’Homme avec l’ouvrage Miel, l’art des abeilles, l’or de la ruche.

Vous y découvrirez tout ce que vous devez connaître des abeilles et de leur organisation qui aboutit à la production du miel. Vous serez sans doute surpris de découvrir l’extraordinaire variété de plantes et de fleurs butinées qui donnent des miels aux couleurs, aux textures et aux saveurs si différentes. Et le miel n’est pas le seul trésor de la ruche. Propolis, cire, gelée royale, pollen sont autant de sources de bienfaits pour notre santé.

L’ouvrage vous propose également de découvrir les joies de la cuisine au miel à travers une cinquantaine de recettes délicieuses et n’imaginez pas qu’il ne s’agit que de desserts ! Vous retrouverez le miel dans des boissons, des entrées, des plats et des desserts évidemment. Vous y apprendrez également les merveilleux accords entre miel et fromages.

Un ouvrage à se procurer de toute urgence pour comprendre pourquoi il est si important de protéger les abeilles et les trésor qu’elles produisent au quotidien. En cette semaine du développement durable, apportez votre pierre à l’édifice en consommant bio ou en jardinant sans utiliser de pesticides.

par Nicolas Depardieu, Jeudi 3 avril 2014

Source : www.zegreenweb.com/miel-l’art-des-abeilles-l’or-de-la-ruche

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